— Par Jean-Marie Nol —
À la rentrée 2025, l’académie de Guadeloupe prévoit la suppression de 89 postes d’enseignants, répartis entre 22 dans le premier degré et 67 dans le second degré. Cette décision est justifiée par une baisse continue des effectifs scolaires, estimée à 1 687 élèves en moins (-2,3 %) pour cette rentrée, s’inscrivant dans une tendance de diminution de 21,5 % sur les dix dernières années, soit près de 20 000 élèves en moins.
Les syndicats d’enseignants et les fédérations de parents d’élèves expriment leur opposition à ces suppressions, arguant que la baisse démographique ne devrait pas servir de prétexte à des coupes budgétaires. Ils estiment que cette situation devrait plutôt être l’occasion de réduire le nombre d’élèves par classe et d’améliorer les conditions d’apprentissage. Ils craignent également que ces suppressions n’entraînent une augmentation du nombre d’élèves par classe, compliquant le suivi pédagogique. Ces organisations ont adressé des courriers aux autorités académiques et politiques, réclamant un moratoire sur ces suppressions et sollicitant une concertation pour évaluer précisément les besoins du territoire.
Le rectorat, de son côté, assure que malgré ces suppressions, le taux d’encadrement des élèves sera maintenu, voire amélioré.

— Communiqué de presse —
La 36ème édition de la Semaine de la Presse à l’École, qui se déroulera du 24 au 29 mars 2025, aura pour thème : « Où est l’info ? ». Cet événement national, incontournable pour l’éducation aux médias et à l’information (EMI), vise à aider les élèves de tous niveaux à comprendre l’univers des médias, à développer un esprit critique et à se former en tant que citoyens éclairés.
Je connais Anthony Phelps – que j’appelais Chico – depuis les années 60 à Paris. Jamais je n’oublierai la nuit passée dans un café du boul. Mich avec Davertige, à boire goulûment de la bière et à parler de tout et de rien. A l’époque, nous vivions dans les cafés.
— Par Jean-Marie Nol —
— Par collectif (*)
— Par Jean-Marie Nol —
— Communiqué de la Confédération syndicale internationale —
— Par Jean-Marie Nol —
Du 21 au 23 mars 2025, Action Sida Martinique, dans le cadre du Sidaction s’engage une nouvelle fois dans la lutte contre le VIH, avec un focus particulier sur les seniors. Longtemps perçue comme une maladie touchant principalement les jeunes, l’épidémie de VIH touche de plus en plus de personnes âgées, notamment aux Antilles où 28 % des nouvelles infections concernent les 50 ans et plus. Le Sidaction représente une opportunité essentielle de sensibiliser, de briser le silence et de soutenir les actions de prévention et d’accompagnement de cette population trop souvent oubliée.
Riche et complexe, l’histoire du cacaoyer remonte à environ 3500 av. J.-C. Les Olmèques, l’une des premières civilisations mésoaméricaines, sont souvent considérés comme les premiers à l’avoir cultivé. Ils utilisaient les fèves pour préparer une boisson amère, qui était fréquemment agrémentée d’épices et de piments. Des recherches encore plus récentes indiquent que le recours aux fèves de cacao existait déjà dans la haute
Sommaire
Monsieur le Ministre,
— Par Jean-Marie Nol —
La précarité menstruelle est une injustice sociale et une question de santé publique qui touche de nombreuses jeunes filles et femmes menstruées en Martinique.
Il serait plus que temps que la diaspora s’inscrive dans une trajectoire de développement économique et financier des pays Guadeloupe et Martinique !
Le préjudice d’anxiété est une notion juridique qui désigne la souffrance psychologique ressentie par une personne en raison de l’incertitude liée au développement d’une maladie grave suite à son exposition à un risque, généralement professionnel. Ce préjudice est souvent associé à l’exposition à des substances dangereuses, telles que l’amiante, les produits chimiques ou d’autres agents toxiques. Bien qu’il s’agisse d’un dommage psychologique, il est désormais reconnu et indemnisé par le droit français, comme en témoigne plusieurs décisions de justice, notamment en ce qui concerne l’amiante.
Le Pass’colo est un dispositif de l’État visant à favoriser les départs en colonies de vacances des enfants durant l’année civile de leurs 11 ans, un âge charnière de l’entrée au collège. L’aide attribuée varie entre 200 et 350 € selon les ressources du foyer. Pour en bénéficier, votre enfant doit être né entre le 1er janvier 2014 et le 31 décembre 2014. Si votre enfant est né en 2013 et que vous n’avez pas utilisé l’aide en 2024, vous pouvez toujours en bénéficier cette année. L’aide est utilisable pour un seul séjour par enfant et uniquement pendant les vacances scolaires.
Deux sociétés ont subi une attaque informatique par
La
— Par Jean-Marie Nol —
Objet : Plaidoyer pour la mise en place d’une Zone Franche Sociale en Outre-mer