Vendredi 25 mars, dès 17h30
— Communiqué de presse de Culture Égalité —
Dans le cadre d’un partenariat avec Culture Égalité, la ville de Fort-de-France invite sa population à découvrir les rues, places et bâtiments qui portent des noms de femmes, le vendredi 25 mars à 17h30.
Le départ se fera au siège de Culture Égalité au 158 rue Victor Hugo. Nous nous rendrons au Marché de poissons « Man Zouzou », puis nous nous dirigerons vers l’avenue Jean-Jaurès pour découvrir l’immeuble Olga Mesnil. Nous continuerons ensuite vers la place Toto Bissainthe, rue Bolivar, pour se diriger vers la place Paulette Nardal et enfin nous arriverons à l’avenue Rosa Parks, sur le bord de mer. Une biographie de ces femmes sera lue sur chaque site.
Nous terminerons cette marche par une animation quizz au restaurant Fuji pour découvrir d’autres femmes de Fort-de-France. Des petites surprises attendront les gagnant.es. Nous vendrons également nos productions autour de femmes qui ont marqué l’histoire de la Martinique.
Nous vous attendons nombreuses et nombreux, pour découvrir ces femmes trop souvent effacées par l’histoire. Rendez-vous le vendredi 25 mars, dès 17h30 au 158 rue Victor Hugo et dès 18h30 au restaurant Fuji Sushi au 46 rue Ernest Desproges.

Après une semaine de procès éprouvante pour les victimes, leur famille, le verdict est tombé : 14 ans de prison pour ce grand-père indigne qui a été reconnu coupable des faits que ces fillettes, devenues femmes, n’ont eu de cesse de dénoncer.
Article basé sur le rapport 2021 du ministère chargé de l’égalité femmes hommes,
Sommaire
Comment des hommes en viennent-ils à s’engager contre le patriarcat ? Que peut faire un homme, dans sa vie quotidienne, pour participer à la lutte féministe ?
En amont de la journée internationale des droits des femmes et à cinq semaines du premier tour de l’élection présidentielle, les organisations féministes Oxfam France, Equipop et Care France publient un nouveau rapport dressant le bilan de la « grande cause nationale du quinquennat » d’Emmanuel Macron.
— Par Culture Egalité —
Culture Égalité participe à la quête d’autonomie et de liberté des femmes. Les 4 et 5 février 2022, elle a organisé un week-end visant à développer nos savoirs et à fortifier nos corps. C’était, d’abord, la redécouverte de Suzanne Roussi Césaire, figure longtemps oubliée, ensuite, une marche hors de nos murs, réels ou idéologiques, ainsi qu’une invitation à occuper l’espace public.
Marie-Claire Chevalier avait été jugée pour avoir avorté après un viol à l’âge de 16 ans. Défendue par Gisèle Halimi, sa victoire avait rendu possible la légalisation de l’IVG, trois ans plus tard.
Après plusieurs mois de travail, l’équipe de l’UFM est extrêmement fière de vous présenter son nouveau site web :
— Par Culture Égalité —
C’est à l’initiative de l’Union des Femmes de Martinique (UFM) et l’Atelier le Point Rouge que Yolanda Naranjo s’est vue offrir une résidence d’artiste centrée sur le thème des menstruations. Le féminisme ne s’est intéressé aux règles que depuis peu. Le corps féminin a souvent été un point aveugle de la pensée féministe aux prises avec la domination patriarcale. L’émancipation supposait de nier les spécificités pour atteindre un idéal égalitaire neutre qui en réalité proposait, masqué, le masculin comme neutralité. Cette invisibilisation des règles était soutenue par les discours religieux. Les religions sémitiques (notamment juives et musulmanes) associent différentes croyances et interdits aux règles. Les femmes sont considérées en état d’impureté rituelle lorsqu’elles ont leurs règles. En Islam, pendant son cycle menstruel, la femme musulmane n’a pas le droit de faire sa prière ni son jeûne ni d’avoir un rapport sexuel (avec pénétration) avec son mari. Par ailleurs, pendant le pèlerinage de la Mecque, la circumambulation lui est interdite. Ces restrictions, ces interdits ne sont pas l’exclusivité des monothéismes, sikhisme, jaïnisme, hindouisme etc. y concourent eux aussi. Les menstrues des femmes étaient taboues hier et elles le sont encore aujourd’hui.
Les associations signataires, réunies ce 11 décembre 2011 à Fort-de France, à l’occasion de la journée internationale des Droits Humains, dénoncent les conditions d’accueil et de séjour réservées aux personnes migrantes qui arrivent en Martinique. 
Accusé de
En Haïti, la violence contre les femmes prend des dimensions extrêmement alarmantes. Quasi quotidiennement, les femmes sont victimes de kidnapping, d’extorsion, d’assassinat politique, de viols et de massacres.
En cette Journée internationale pour l’élimination des violences faites aux femmes, l’ONG Oxfam publie un rapport mesurant l’impact de la crise sur ce problème de société à l’échelle mondiale. Avec des violences qui ont augmenté de 25 % à 111 % en fonction des pays.
Ce 25 novembre 2021, journée internationale pour l’élimination des violences faites aux femmes, est particulièrement marqué par les multiples violences de la situation actuelle aux-quelles sont exposées les femmes.
Mexico – Des milliers de manifestants sont descendus jeudi dans les rues d’Europe et d’Amérique latine pour exiger la fin des violences faites aux femmes, la police dispersant certains rassemblements notamment à Istanbul et Mexico.
En 2020, plus d’une femme sur dix a déclaré lors de l’écoute avoir été menacée de mort.
L
— Par Daniel M. Berté —
« Dans le monde, 35% des femmes sont victimes de violences.