Voici la liste des 120 revendications initiales du collectif Liyannaj Kont Pwofitasyon (LKP) déposée le 20 janvier 2009 :
1- NIVEAU ET CONDITIONS DE VIE
1. Un relèvement immédiat et conséquent d’au moins 200 €, des bas salaires, des retraites et des minima sociaux afin de relancer le pouvoir d’achat, de soutenir la consommation des produits guadeloupéens et plus généralement la demande.
2. Le relèvement immédiat du SMIC, des salaires du secteur privé, des traitements de la fonction publique, du minimum vieillesse, des minima sociaux.
3. Un salaire minimum guadeloupéen calculé sur le coût réel de la vie en Guadeloupe.
4. Création d’un bureau d’études ouvrières, chargé de calculer l’évolution des prix des produits réellement consommés par les travailleurs.
5. Réductions d’impôts fondées sur la justice fiscale.
6. Baisse significative de toutes les taxes et marges sur les produits de première nécessité et sur les transports.
7. Baisse des taux de la taxe sur les carburants.
8. Suppression de la taxation des produits locaux
Logements
9. Gel des loyers pour une période indéterminée et pour l’année 2009 l’annulation de l’augmentation de 2,98 %.

Le 6 février 1934, une manifestation antiparlementaire est organisée à Paris devant la Chambre des députés par des groupes de droite, des associations d’anciens combattants et des ligues d’extrême droite pour protester contre le limogeage du préfet de police Jean Chiappe à la suite de l’affaire Stavisky.
Voici 230 ans, prenant acte de la
La visio-conférence organisée par Martinique-Palestine Solidarité devant plus de 150 personnes réunies à la mairie de Fort-de-France, ou connectées par internet, reste un moment intense et riche en informations, en analyses en interrogation sur la situation en Palestine, « plaque tournante », dit Élias Sanbar, de la situation mondiale. 
Les fascistes ne peuvent parvenir et se maintenir au Pouvoir qu’en s’assurant du soutien d’une large frange des couches populaires qu’ils puissent instrumentaliser dans la mise en œuvre de leurs entreprises criminelles. Pour parvenir à cette fin, ils manipulent l’information et développent une propagande massive visant à rendre les défavorisés incapables de comprendre les véritables causes de leurs difficultés, livrant dans le même temps à leur vindicte des boucs émissaires présentés comme seuls responsables de leur mal-être. Les cibles désignées par les nazis étaient les Juifs, les communistes, les handicapés, les noirs, les Roms et les homosexuels. Aujourd’hui, pour l’ensemble des classes prédatrices du monde dit «démocratique» les parias à éliminer sont «les immigrés» et «les Sans papiers». Il s’agit, dans tous les cas, de brandir de faux prétextes pour «justifier» des crimes de masse commis contre l’humanité.
Dans une initiative audacieuse, le député guadeloupéen Elie Califer, représentant du groupe Socialistes et apparentés, s’apprête à déposer une proposition de loi à l’Assemblée nationale fin février. Cette démarche vise à inscrire dans la loi la responsabilité de la France dans le scandale du pesticide chlordécone qui a empoisonné les populations de Martinique et de Guadeloupe. L’objectif central de ce texte ambitieux est de dédommager l’ensemble des victimes, qu’elles aient subi des préjudices sanitaires ou économiques.
Dans une décision très attendue, la Cour de cassation a confirmé la condamnation du magazine « Valeurs actuelles » pour un article jugé raciste, intitulé « Obono l’Africaine ». Cette confirmation, rendue publique ce mercredi, marque un tournant significatif dans la lutte contre le racisme et envoie un message fort à la société française.
Au cours de sa conférence de presse du mardi 16 janvier 2024, Macron a fait cette annonce, passée pratiquement inaperçue pour les non-initiés : « Nous avons déjà beaucoup fait et nous ferons beaucoup plus. (…) Pour ça, nous mettrons fin aux normes inutiles. Il y a encore trop de complexités qui découragent les entrepreneurs, les industriels, les commerçants, les agriculteurs, les artisans, les maires, ceux qui font. Ces complexités protègent bien souvent des rentes, des statuts, des situations établies. Et nous ne pouvons plus nous le permettre. C’est pourquoi je demande au gouvernement de supprimer les normes, réduire des délais, faciliter encore les embauches, augmenter tous les seuils de déclenchement d’obligation ».
Dans la belle baie de Saint-Pierre, en Martinique, un projet fou suscite l’incompréhension et surtout la colère des habitants du Nord-caraïbe et plus largement de tous les amoureux de l’île.
Dans le cadre de son cycle « Dé colonisations », la Fabrique décoloniale a organisé le samedi 13 janvier 2023 à la Médiathèque du Lamentin une conférence donnée par Fred RENO, professeur de sciences politiques en GUADELOUPE. Le thème annoncé « La Martinique est-elle ingouvernable ? » avait attiré une assistance nombreuse et variée, quelque peu déçue que le sujet traité fut trop peu martiniquais à leur goût.
La nomination inattendue de Rachida Dati au ministère de la Culture, le 11 janvier dernier, dans le cadre du remaniement gouvernemental orchestré par Emmanuel Macron, a engendré une série de réactions et d’interrogations au sein de la classe politique et du monde culturel. Ancienne garde des sceaux de Nicolas Sarkozy, Rachida Dati, membre du parti Les Républicains (LR), représente une prise de guerre politique pour le président Macron, donnant une nouvelle dynamique à son premier gouvernement Attal. Toutefois, cette décision a suscité des critiques et des doutes, tant au sein de LR que dans le milieu culturel, notamment en raison de la mise en examen de Rachida Dati dans l’affaire Renault-Nissan depuis juillet 2021.
Signé par une coalition hétérogène de personnalités influentes, cet appel conjoint de L’Humanité et Mediapart réunit des voix diverses, allant de Jacques Toubon, ex-Défenseur des droits, à Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT, en passant par des artistes, des universitaires, des religieux, et des représentants syndicaux. Tous partagent une conviction commune : la loi immigration représente une menace sérieuse pour les fondements de la République française, tels que la solidarité, la liberté, l’égalité et la fraternité.
Établie dès le XVIIe siècle dans la partie occidentale d’Haïti (l’île aux montagnes), rebaptisée Hispaniola (la petite Espagne) par Christophe Colomb, la colonie française de Saint-Domingue, où l’on produisait du sucre et du café, était devenue, à la veille de la Révolution, le modèle envié de la colonisation européenne. Mais cette prospérité reposait entièrement sur l’esclavage et la déportation massive de centaines de milliers d’Africains.
L’Armée zapatiste de libération nationale (EZLN), également connue sous le nom d’Ejército Zapatista de Liberación Nacional, est une organisation révolutionnaire militaire basée dans l’État du Chiapas au Mexique. Fondée en 1983, l’EZLN s’est fait connaître mondialement lors de son soulèvement armé le 1er janvier 1994. Cette organisation a été inspirée par des idéaux socialistes agrariens, libertaires et autonomistes, tout en mettant en avant le zapatisme, un mouvement politique et social centré sur les droits des populations indigènes.
Seul le témoignage poignant et public de Mme Firmine RICHARD me conduit à écrire à nouveau sur ce que personne n’ose appeler par son nom, le 
À l’initiative de
Le 19 décembre dernier, la commission mixte paritaire (CMP) a été le théâtre d’un revirement inattendu. Les élus macronistes, pourtant ancrés dans une ligne politique centriste, ont voté aux côtés des Les Républicains (LR) et du Rassemblement national (RN) en faveur de mesures historiques empruntées à l’extrême droite. Cet accord sur des dispositions controversées questionne profondément la direction prise par la Macronie en matière de politique migratoire, suscitant l’inquiétude au sein de la société.