— Par Karen Lajon —
La vie en noir – Never trust a lawyer! Ne jamais faire confiance à un avocat! C’est un peu ce que l’on s’est dit lorsqu’après une heure d’interview contenue, voire hésitante, avec Phillip Lewis, on assiste dans la foulée à la métamorphose du bonhomme, au cours d’un débat en compagnie notamment de Gabriel Tallent. Drôle, limite bateleur, l’écrivain américain brouille les pistes et se révèle être un sacré numéro lors de son passage au Festival America à Vincennes, il y a quelques semaines.
Avec Les Jours de Silence, l’avocat qu’il est à l’origine, Phillip Lewis signe son premier roman et quel roman. Maîtrisé, brillant, « une symphonie », selon les propres mots de l’auteur, actuelle et surannée tout à la fois. Un peu comme lui avec son physique de gendre parfait et sa trajectoire au fond pas si classique que ça. « Suis écrivain, dit il, je n’aime pas mon métier d’avocat. » Ok. Un écrivain qui a pris son temps. Lewis a 47 ans, il a mis cinq ans à rédiger l’ouvrage. Pour les adeptes du « tout se joue avant six ans », vous voyez ce que je veux dire.


LA VIE EN NOIR – La Québécoise Andrée A. Michaud, Prix des lecteurs Quai du Polar en 2017, faisait partie des têtes d’affiches du Festival America, fin septembre à Vincennes. Son dernière livre, Rivière tremblante, y a fait sensation.
Ce 18 octobre, j’ai eu le bonheur de réaliser un de mes rêves, voir et entendre enfin Ta-Nehisi Coates, et ce fut au Grand Carbet du Parc culturel Aimé Césaire. C’est pourquoi j’ai envie de me remettre en mémoire ce modeste compte-rendu de lecture que je fis le jour où je découvris ce grand écrivain américain.
Résumé :
J’ai la mémoire de l’escalier
Selon ULLMAN, « tout système linguistique renferme une analyse du monde extérieur qui lui est propre et qui diffère de celles d’autres langues ou d’autres étapes de la même langue. Dépositaire de l’expérience accumulée de générations passées, il fournit à la génération future une façon de voir, une interprétation de l’univers ». (1)
L’Institut du Tout-Monde est heureux d’annoncer la création du Centre international d’études Édouard Glissant, nouvelle entité dédiée à la recherche concernant l’œuvre d’Édouard Glissant et à la diffusion de sa pensée. Fondée sur sept partenariats internationaux, le Centre entend promouvoir l’engouement considérable qui se joue actuellement autour de l’œuvre d’Édouard Glissant, en coordonnant autant que possible le renouvellement du discours critique à son propos. Vous pouvez découvrir d’ores et déjà
— Par Robert Berrouët-Oriol, l
Misié Mona mizisien fè moun Matinik monté mòn
— Par Daniel M. Berté —
— Par Robert Berrouët-Oriol —
Ya plu de brè-man-dan lakay misié Awman an komin Dianman






An flè wouj félisitaj