Vendredi 27 & samedi 28 octobre à 19h30 à Tropiques-Atrium
 La musique cubaine, riche et envoûtante, a conquis le cœur des mélomanes du monde entier depuis des décennies. Parmi les légendes vivantes de la scène musicale cubaine, Los Van Van occupe une place de choix. Fondé en 1969 par le bassiste et compositeur Juan Formell, ce groupe emblématique est souvent qualifié de « Rolling Stones de la Salsa », et pour cause. Los Van Van est à la fois une institution de la musique cubaine et une source intarissable d’innovation artistique.
La musique cubaine, riche et envoûtante, a conquis le cœur des mélomanes du monde entier depuis des décennies. Parmi les légendes vivantes de la scène musicale cubaine, Los Van Van occupe une place de choix. Fondé en 1969 par le bassiste et compositeur Juan Formell, ce groupe emblématique est souvent qualifié de « Rolling Stones de la Salsa », et pour cause. Los Van Van est à la fois une institution de la musique cubaine et une source intarissable d’innovation artistique.
Los Van Van a laissé une empreinte indélébile sur la musique cubaine. Le groupe est reconnu pour avoir créé le rythme appelé « songo », qui a évolué au fil des années pour devenir la « timba », le style musical principal qu’ils jouent aujourd’hui. La structure de base du groupe est celle de la charanga, mais elle a été modernisée avec l’ajout de trombones, guitare, basse électrique, synthétiseur et batterie. Cette combinaison unique d’instruments crée un son distinctif qui attire les foules du monde entier.
Le décès de Juan Formell en 2014 a marqué une étape importante pour le groupe.



 Le monde de l’audiovisuel et de la musique en Martinique est en deuil suite au décès soudain de Patrice Aboulicam, plus connu sous le nom de Radix Corporation, à l’âge de 37 ans. L’annonce de sa disparition a provoqué un choc parmi ses collègues, amis et la communauté artistique. Radix était un talent de la vidéo, un producteur, réalisateur et manager, qui avait collaboré avec de nombreux artistes de renom tels que JmaX, Loy Sonjah, Kalash, et bien d’autres.
Le monde de l’audiovisuel et de la musique en Martinique est en deuil suite au décès soudain de Patrice Aboulicam, plus connu sous le nom de Radix Corporation, à l’âge de 37 ans. L’annonce de sa disparition a provoqué un choc parmi ses collègues, amis et la communauté artistique. Radix était un talent de la vidéo, un producteur, réalisateur et manager, qui avait collaboré avec de nombreux artistes de renom tels que JmaX, Loy Sonjah, Kalash, et bien d’autres.
 L’Iran est en deuil suite au double assassinat du célèbre cinéaste Dariush Mehrjui et de son épouse, Vahideh Mohammadifar, dans leur domicile de Karaj, près de Téhéran. Cette tragédie a plongé le pays dans la perplexité, alimentant les spéculations sur les circonstances entourant leur mort. L’enquête est toujours en cours, mais les signes d’un possible meurtre politique ne peuvent être ignorés.
L’Iran est en deuil suite au double assassinat du célèbre cinéaste Dariush Mehrjui et de son épouse, Vahideh Mohammadifar, dans leur domicile de Karaj, près de Téhéran. Cette tragédie a plongé le pays dans la perplexité, alimentant les spéculations sur les circonstances entourant leur mort. L’enquête est toujours en cours, mais les signes d’un possible meurtre politique ne peuvent être ignorés. Spécialisé dans le chant a cappella, l’octuor aKapela accueille du 27 octobre au 3 novembre 2023 le ténor et chef de chœur M. Bruno Boterf, grand spécialiste de la musique de la renaissance (ou Musique Ancienne) pour un stage de perfectionnement dans l’interprétation de la Musique Ancienne.
Spécialisé dans le chant a cappella, l’octuor aKapela accueille du 27 octobre au 3 novembre 2023 le ténor et chef de chœur M. Bruno Boterf, grand spécialiste de la musique de la renaissance (ou Musique Ancienne) pour un stage de perfectionnement dans l’interprétation de la Musique Ancienne.
 La 18e édition du Cinémartinique Festival, organisée par Tropiques Atrium, se déroulera du vendredi 13 au samedi 21 octobre, offrant une semaine riche en événements cinématographiques.
La 18e édition du Cinémartinique Festival, organisée par Tropiques Atrium, se déroulera du vendredi 13 au samedi 21 octobre, offrant une semaine riche en événements cinématographiques.
 Sensibiliser au cancer du sein avec humour, et oui, c’est possible ! C’est ce que fait Marie Salanon-Louisa, ancienne patiente du Montpellier Institut du Sein (MIS), dans son One-Woman-Show Les deux moches du fond. À la fin de son traitement, la comédienne de la Compagnie « Les Quintessents » décide de retracer son parcours contre le cancer du sein, qu’elle aborde d’une manière simple et sans rancoeur.
Sensibiliser au cancer du sein avec humour, et oui, c’est possible ! C’est ce que fait Marie Salanon-Louisa, ancienne patiente du Montpellier Institut du Sein (MIS), dans son One-Woman-Show Les deux moches du fond. À la fin de son traitement, la comédienne de la Compagnie « Les Quintessents » décide de retracer son parcours contre le cancer du sein, qu’elle aborde d’une manière simple et sans rancoeur. 30 euros. Avec un public fidèle qui ne cesse de grandir, Cleeveland a peaufiné son nouveau spectacle avec une certaine dose d’humour et beaucoup d’humilité. Ici, les moments de sa vie sont distillés avec beaucoup d’ironie et on s’amuse beaucoup de ses tentatives pour trouver l’âme sœur.
30 euros. Avec un public fidèle qui ne cesse de grandir, Cleeveland a peaufiné son nouveau spectacle avec une certaine dose d’humour et beaucoup d’humilité. Ici, les moments de sa vie sont distillés avec beaucoup d’ironie et on s’amuse beaucoup de ses tentatives pour trouver l’âme sœur.  Représentée pour la première fois en France¹ en avril 1966 au théâtre de l’Odéon, par la compagnie Renaud-Barrault, dans une mise en scène de Roger Blin, la pièce intitulée Les Paravents, de Jean Genet – ce grand écrivain de la marginalité –, fit en raison de son sujet, scandale auprès des défenseurs de l’Armée, commandos de parachutistes ou anciens combattants nostalgiques d’Afrique du Nord et d’Indochine : si la guerre d’Algérie, terminée depuis quatre ans, n’est pas explicitement nommée, elle infuse bien dans toute la pièce… Le scandale fut tel qu’André Malraux, alors ministre des Affaires Culturelles, intervint dans une Assemblée houleuse afin de calmer cette agitation de mauvais aloi ! En 1983, la reprise de la pièce par Patrice Chéreau, au théâtre des Amandiers de Nanterre², provoquait encore des remous, et certains soirs, relate la comédienne Dominique Blanc, il fallait d’urgence quitter les lieux, en raison d’alertes à la bombe.
Représentée pour la première fois en France¹ en avril 1966 au théâtre de l’Odéon, par la compagnie Renaud-Barrault, dans une mise en scène de Roger Blin, la pièce intitulée Les Paravents, de Jean Genet – ce grand écrivain de la marginalité –, fit en raison de son sujet, scandale auprès des défenseurs de l’Armée, commandos de parachutistes ou anciens combattants nostalgiques d’Afrique du Nord et d’Indochine : si la guerre d’Algérie, terminée depuis quatre ans, n’est pas explicitement nommée, elle infuse bien dans toute la pièce… Le scandale fut tel qu’André Malraux, alors ministre des Affaires Culturelles, intervint dans une Assemblée houleuse afin de calmer cette agitation de mauvais aloi ! En 1983, la reprise de la pièce par Patrice Chéreau, au théâtre des Amandiers de Nanterre², provoquait encore des remous, et certains soirs, relate la comédienne Dominique Blanc, il fallait d’urgence quitter les lieux, en raison d’alertes à la bombe.
 Conte
Conte Fanny J, repart à la rencontre de ses fans pour son « Intense tour ».
Fanny J, repart à la rencontre de ses fans pour son « Intense tour ». 
 Par Léa Domenach, Clémence Dargent
Par Léa Domenach, Clémence Dargent Inspirée librement du film « Un air de famille » de Cédric Klapisch, lui-même, inspiré de la pièce de théâtre « Un air de famille » de Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui,
Inspirée librement du film « Un air de famille » de Cédric Klapisch, lui-même, inspiré de la pièce de théâtre « Un air de famille » de Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui,  Mario Masse, artiste aux multiples talents, a parcouru un chemin musical riche et diversifié. Originaire de Martinique, il a débuté en tant que bassiste et guitariste, mais c’est la flûte qui est devenue son instrument de prédilection. Sa formation au conservatoire de musique Alfred Cortot a contribué à affiner ses compétences musicales.
Mario Masse, artiste aux multiples talents, a parcouru un chemin musical riche et diversifié. Originaire de Martinique, il a débuté en tant que bassiste et guitariste, mais c’est la flûte qui est devenue son instrument de prédilection. Sa formation au conservatoire de musique Alfred Cortot a contribué à affiner ses compétences musicales. 1ère édition du Festival Culturel Rural, organisé par la FMFR (Fédération Martinique des Foyers Ruraux), avec de nombreux invités qui participeront à des actions scolaires et des soirées publiques! À travers ce festival organisé dans le cadre de son projet « Anim’actions culturelles du réseau rural », la Fédération martiniquaise des Foyers ruraux poursuit plusieurs objectifs : fédérer petits et grands autour d’un événement culturel ; promouvoir la pratique du conte ; favoriser le maintien du lien social et les échanges intergénérationnels ; offrir plus de visibilité aux associations du réseau et la fédération. !
1ère édition du Festival Culturel Rural, organisé par la FMFR (Fédération Martinique des Foyers Ruraux), avec de nombreux invités qui participeront à des actions scolaires et des soirées publiques! À travers ce festival organisé dans le cadre de son projet « Anim’actions culturelles du réseau rural », la Fédération martiniquaise des Foyers ruraux poursuit plusieurs objectifs : fédérer petits et grands autour d’un événement culturel ; promouvoir la pratique du conte ; favoriser le maintien du lien social et les échanges intergénérationnels ; offrir plus de visibilité aux associations du réseau et la fédération. ! Ego sum,
Ego sum,  Retrouvez la pour la première fois avec ses musiciens sur la scène de Tropiques Atrium les 28,29 et 30 septembre.
Retrouvez la pour la première fois avec ses musiciens sur la scène de Tropiques Atrium les 28,29 et 30 septembre. Angélique Kidjo, l’artiste béninoise « 4 étoiles » comme le nombre de ses Grammy Awards, fait danser et chanter la planète depuis plus de trente ans. Classée parmi les 100 femmes les plus influentes du monde, la chanteuse est une activiste internationalement reconnue vivant entre Brooklyn et Paris. Indépendante et féministe, elle revendique l’héritage de la Sud-Africaine Miriam Makeba et de la reine de la salsa cubaine Celia Cruz qui lui ont ouvert la voie et montré comment faire sa place dans un monde d’hommes. La soixantaine énergique, Angélique Kidjo endosse à son tour ce rôle de figure tutélaire pour la nouvelle génération d’artistes africains comme Yemi Alade et Burna Boy. Des Indépendances Africaines qui l’ont vue naître en 1960 à son exil en France en 1983 jusqu’au succès international de sa musique, des routes de l’esclavage à la playlist de Barak Obama, des rythmes traditionnels yoruba de son enfance à l’avènement de ce qu’on a appelé la World Musique dans les années 90, en passant par ses reprises de l’album Remain in Lights des Talking Heads et du Boléro de Ravel, ses duos prestigieux avec Alicia Keys, Ziggy Marley, Bono, Peter Gabriel, ses créations originales avec Philip Glass et Ibrahim Maalouf…Queen Kidjo, le rythme absolu raconte le voyage de l’artiste à travers la vie et ses choix artistiques qui l’ont menée à devenir cette voix puissante et engagée qui brise les murs de l’indifférence et érige des ponts musicaux sur lesquels personne n’a encore marché.
Angélique Kidjo, l’artiste béninoise « 4 étoiles » comme le nombre de ses Grammy Awards, fait danser et chanter la planète depuis plus de trente ans. Classée parmi les 100 femmes les plus influentes du monde, la chanteuse est une activiste internationalement reconnue vivant entre Brooklyn et Paris. Indépendante et féministe, elle revendique l’héritage de la Sud-Africaine Miriam Makeba et de la reine de la salsa cubaine Celia Cruz qui lui ont ouvert la voie et montré comment faire sa place dans un monde d’hommes. La soixantaine énergique, Angélique Kidjo endosse à son tour ce rôle de figure tutélaire pour la nouvelle génération d’artistes africains comme Yemi Alade et Burna Boy. Des Indépendances Africaines qui l’ont vue naître en 1960 à son exil en France en 1983 jusqu’au succès international de sa musique, des routes de l’esclavage à la playlist de Barak Obama, des rythmes traditionnels yoruba de son enfance à l’avènement de ce qu’on a appelé la World Musique dans les années 90, en passant par ses reprises de l’album Remain in Lights des Talking Heads et du Boléro de Ravel, ses duos prestigieux avec Alicia Keys, Ziggy Marley, Bono, Peter Gabriel, ses créations originales avec Philip Glass et Ibrahim Maalouf…Queen Kidjo, le rythme absolu raconte le voyage de l’artiste à travers la vie et ses choix artistiques qui l’ont menée à devenir cette voix puissante et engagée qui brise les murs de l’indifférence et érige des ponts musicaux sur lesquels personne n’a encore marché.