« Moi capitaine », un film de Matteo Garrone

Mercredi 7 février à 21h15  à Madiana
Madiana
Casting : Seydou Sarr, Moustapha Fall, Issaka Sawadogo
Genre :Drame 2h 2min
Synopsis :
Seydou et Moussa, deux jeunes sénégalais de 16 ans, décident de quitter leur terre natale pour rejoindre l’Europe. Cependant, sur leur chemin, les rêves et les espoirs d’une vie meilleure sont très vite anéantis par les dangers de ce périple.
Le film est inspiré de l’histoire de Fofana Amara, un Guinéen de 15 ans emprisonné en Sicile après avoir été forcé à conduire un bateau conduisant des centaines de migrants depuis la Libye.

La presse en parle :
CinemaTeaser par Perrine Quennesson
Une force que le film doit autant à sa splendide photographie qu’à ses interprètes, Seydou Sarr en tête.

Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Une odyssée puissante.

Franceinfo Culture par Jacky Bornet
Le réalisateur italien imprègne son film d’un souffle épique dans ce qui pourrait être un Lawrence d’Arabie du pauvre.

L’Humanité par Cyprien Caddeo
Une véritable odyssée, traversée de quelques occurrences fantasmagoriques, car Matteo Garrone n’a pas renié son goût pour la matière mythologique.

Le Dauphiné Libéré par Nathalie Chifflet
Dans Moi, capitaine, le cinéaste italien Matteo Garrone se met dans les pas de deux adolescents fuyant le Sénégal pour vivre leurs rêves ailleurs. Une odyssée puissante, couronnée à la Mostra de Venise par le Lion d’argent du meilleur réalisateur.

Le Parisien par Renaud Baronian
Du très grand cinéma.

Les Echos par Adrien Gombeaud
Dans « Moi, capitaine », Garrone s’attaque à la grande question contemporaine de l’immigration. Le résultat est un film puissant qui tient autant du conte moderne que du document.

Libération par Léa Masseguin
Le long métrage de Matteo Garrone retranscrit avec justesse les conditions des périples vers l’Europe des migrants africains.

Marie Claire par E.B.
Le réalisateur italien flirte parfois avec le kitsch dans la théâtralisation de la violence. Mais les personnages auxquels on s’attache sont portés par un souffle impressionnant, et on ressort de cette épopée la boule au ventre.

Première par Gael Golhen
Refusant le pensum socio ou le témoignage édifiant, Garrone montre de manière inédite la migration – parfois très dure, souvent très violente – à travers les yeux de ceux qui la vivent.

Voici par La Rédaction Un conte migratoire qui, sans être exempts de quelques maladresses, ne laisse pas indemne.

Bande à part par Hélène Robert
Une odyssée épique et émouvante.

L’Obs par François Forestier
Malgré les quelques effets mélodramatiques, les valeurs défendues par le film sont les nôtres, et ces marcheurs que le désert avale, ces femmes et ces enfants jetés dans des geôles par des seigneurs de guerre, ces visages brûlés par le vent de la solitude, sont inoubliables.