— Par Fara C —
Catalyseur du mouvement Y en a marre au Sénégal, le visionnaire Fou Malade donne, avec son Bat’Haillons Blin-D, un concert lors de l’engagé Festival Africa Fête, à Marseille. Exceptionnel!
«Quitte le pouvoir: la révolte des Y en a marre», captivant documentaire d’Aïda Grovestins et Machteld Aardse, a inauguré hier le 11e Festival Africa Fête itinérant (FAFI), fondé pour perpétuer la mémoire du légendaire activiste culturel et politique Mamadou Konté (1948-2007), père de l’association Africa Fête. « Ce film montre très bien la force de Y en a Marre, qui a mobilisé autant de citoyens sénégalais en si peu de temps », souligne Cécile Rata, directrice à Marseille du FAFI.
Le charismatique rappeur Fou Malade a joué, avec son groupe Bat’Haillons Blin-D, un rôle décisif dans la réussite de Y en a marre, dont un des hauts faits de lutte a été l’éviction du président Wade. Il a utilisé la caisse de résonnance du hip hop pour appeler à un NTS (Nouveau Type de Sénégalais), et a convaincu la jeunesse à une inscription massive sur les listes électorales.

—Communiqué de presse —
Ornette Coleman, né le 9 mars 1930 à Fort Worth (Texas) et mort le 11 juin 2015 à New York1, est un saxophoniste ténor et alto, trompettiste, violoniste et compositeur, précurseur majeur du free jazz.
— Par Mille Visages —
Dans le cadre des rencontres cinéma, en partenariat avec EPCC Atrium Martinique, Ciné Lam’ propose les projections suivantes (Centre culturel Petit Bambou) Le Lamentin (Martinique) : Malavoi, Rue Cases-Nègres, Rise Up.
La Région Martinique dans le cadre du Grand Saint Pierre et la Municipalité de Saint Pierre invitent les pierrotins à assister à la projection du film SAMBA. Une belle comédie dramatique interprétée par Omar Sy et Charlotte Gainsbourg.
Journée martiniquaise de lutte contre les violences dans le couple.
Présentation et programme
Une reprise 22 ans après sa création en Martinique ou l’art de faire du neuf avec du vieux? 🙂
Luis de la Carrasca, plus que jamais de son époque, plonge dans ses racines andalouses pour nous offrir ce nouveau spectacle qui réunit avec passion un flamenco authentique aux accents modernes.
Patrick Kermann définit son théâtre ainsi : « Le théâtre est le territoire de la mort, ce lieu rituel où les vivants tentent la communication avec l’au-delà. Sur scène, dans une balance incessante entre incarnation et désincarnation, matériel et immatériel, visible et invisible, apparaissent des fantômes qui portent la parole des morts, pour nous encore et tout juste vivants ».
Pour sa cinquième pièce, Martial Courcier a choisi le thème des conflits familiaux. Entre ses deux filles, son gendre et son petit-fils, les excès d’une mère possessive provoquent un grand déballage aux conséquences inattendues.
C’est en visitant un petit cimetière de la campagne française que m’est venue l’idée de construire une « polyphonie de l’au-delà » en redonnant la parole aux centaines de défunts enterrés depuis un siècle à Moret-sur-Raguse, village symbolique inventé de toutes pièces…
Pour la presse qui offre régulièrement une couverture au Festival du Cinéma Français, la rencontre avec la délégation de cinéastes français présente à La Havane avait un attrait particulier cette année : parmi ses membres se trouvait Costa-Gavras, une légende de la cinématographie contemporaine.


Bilan. Une sélection officielle qui laissait à désirer, un palmarès qui voit les productions françaises emporter
la mise dans un univers cinématographique autrement plus vaste.