— Par Guy Gabriel —
Cafe Society ; film américain de Woody Allen ; avec Kristen Stewart, Jesse Eisenberg, Steve Carell, Blake Lively.
New-York dans les années 30, Bobby Dorfman semble étouffer entre des parents toujours en conflit, un frère gangster et la bijouterie familiale. Il décide de tenter sa chance à Hollywood où son oncle Phil, un puissant agent de stars, accepte de le prendre sous ses ailes, en l’embauchant comme coursier. Il ne tardera pas à tomber amoureux ; mais la belle Vonnie n’est pas libre et ne peut lui offrir que son amitié…Sauf qu’un jour, la voilà qui débarque chez lui en lui annonçant que son petit ami vient de rompre.
L’amour semble renaître…
Cafe Society est un Woody Allen grand cru où tout le monde, ou presque, semble passer à côté de lui-même et de ses désirs, tant le destin s’amuse à compliquer les choses.
Sans donner l’impression de régler des comptes Allen nous parle de Hollywood avec suffisamment de distance et d’humour pour qu’on se rende bien compte que ce ne sera pas l’essentiel du propos, mais plutôt une occasion de mieux revenir à New-York, l’eldorado du réalisateur, mais aussi, et surtout celle de parler d’amour, de son impossibilité, en tout cas de son côté tempétueux, imprévisible.


Julieta , film de Pedro Almodovar avec Emma Suarez, Adriana Urgate, Daniel Grao
Pendant 3 mois, 200 jeunes ont relevé un pari fou : réaliser leur propre film documentaire !
Six fois primé au festival de Cannes, où il avait reçu la Palme d’or en 2006 pour Le Vent se lève, Ken Loach, 79 ans, se voit couronner pour la deuxième fois avec Moi, Daniel Blake, qui raconte les démarches d’un menuisier cardiaque pour récupérer sa pension d’invalidité.
● Palme d’or du court-métrage: Timecode, de Juanjo Giménez
On se réjouissait, en ce joli mois de mai, d’assister une fois encore aux spectacles de la Biennale de Danse, soumis à notre curiosité par Tropiques Atrium, et pourtant nous reste un goût de trop peu, en quelque sorte une petite déception chevillée au coeur et au corps. Certes, il y eut, magique,
Cet ouvrage poursuit deux objectifs. D’une part analyser l’image du « Noir » et son évolution dans l’imaginaire cinématographique français depuis un siècle. D’autre part, mettre en lumière la présence des Noirs et Métisses dans le cinéma hexagonal depuis les premières vues des frères Lumière jusqu’au triomphe d’Intouchables, en évoquant notamment les rôles interprétés par Josephine Baker, Habib Benglia, Darling Légitimus, Robert Liensol, Isaac de Bankolé, Firmine Richard, Jacques Martial, Alex Descas, Mouss Diouf, Aïssa Maïga, Edouard Montoute, Stomy Bugsy, Eriq Ebouaney, Joeystarr ou Omar Sy.
Cinquième film présenté en compétition, la comédie de la réalisatrice a complètement bluffé les festivaliers.[…]



Les Contes de la Mer de Aleksandra Zareba, Ignacio Ruiz, Gabriela Salguero & de Pärtel Tall, transportent le jeune public dans le monde inconnu et mystérieux des fonds marins, en trois films d’animation. Le Petit Bateau en Papier Rouge part à la découverte du monde, dans des aventures sur toutes les mers du globe. Enco, une Traversée à Vapeur présente le voyage imaginaire d’Enco, qui trouve sur la plage une épave. Le petit garçon construit ses rêves et des périples extraordinaires. Le Bonhomme de Sable nous fait découvrir la vie d’une plage quand la nuit est tombée. Personne ne sait vraiment ce qui s’y passe quand tout le monde est rentré chez soi. La plage devient alors un autre monde, peuplé de créatures mystérieuses.
SYNOPSIS
Tournée sans grands moyens dans la banlieue d’Amman en Jordanie, par les jumeaux Arab et Tarzan Abu-Nasser qui vivent là en exil depuis cinq ans, présentée à Cannes en compétition à la Semaine de la Critique, cette noire comédie nous aide à découvrir, de la vie à Gaza, autre chose que ce qui nous en est ordinairement montré au cinéma, à savoir le conflit israélo-palestinien.
Synopsis
Le film « Rose et le soldat » tourné en Martinique par le guadeloupéen Jean-Claude Barny sur est diffusé sur France 2 
Synopsis
— Par Guy Gabriel —
Synopsis
Le Festival International du film Panafricain (nommé également FIFP) a vu le jour en 2004, sous la direction de Basile Ngangue Ebelle. Ce festival annuel se déroulant sur cinq jours, a traditionnellement lieu avant le Festival de Cannes.

Le cinéaste martiniquais, Patrick Baucelin, a présenté son dernier film des Caraïbes intitulé « Au temps des isles à sucre »