Jeudi 24 mai 2018 à 19h 30 Madiana en V.O
De Hirokazu Kore-eda
Avec Masaharu Fukuyama, Koji Yakusho, Suzu Hirose plus
Genres Drame, Policier
Nationalité Japonais
Synopsis :
Le grand avocat Shigemori est chargé de défendre Misumi, accusé de vol et d’assassinat. Ce dernier a déjà purgé une peine de prison pour meurtre 30 ans auparavant. Les chances pour Shigemori de gagner ce procès semblent minces, d’autant que Misumi a avoué son crime, malgré la peine de mort qui l’attend s’il est condamné. Pourtant, au fil de l’enquête et des témoignages, Shigemori commence à douter de la culpabilité de son client.
La presse en parle :
L’Humanité par Dominique Widemann
Le cinéaste japonais aborde pour la première fois le thriller judiciaire, qu’il tisse avec ses thèmes récurrents, drames familiaux et filiations. Une réussite spectaculaire.
aVoir-aLire.com par Gérard Crespo
La délicatesse du cinéma de Kore-eda est ici greffée à une trame policière surprenante. Ou comment renouveler son art tout en lui restant fidèle.
Bande à part par Danièle Heymann
Intrigue austère, dont Kore-eda s’empare sans trembler. Semblant mettre à l’épreuve ses propres ressources d’empathie et de résilience si prégnantes dans son œuvre, il va, comme l’avocat, tenter de dynamiter en douceur les plus brutales évidences.

— Présentation Steve Zébina —
Festival de Cannes 2018. Opprimés, affamés, humiliés, pourchassés, les invisibles gagnent souvent le premier plan. Il faut dire que malheureusement, ils constituent une considérable majorité représentative.
«Allez, on remballe le Festival», comme l’a annoncé Edouard Baer, le maître de cérémonie ce samedi soir.Voici les prix décernés :
Les réalisateurs Gaspar Noé (« Climax ») et Pierre Salvadori (« En liberté ») ont été récompensés ce jeudi soir à la Quinzaine des Réalisateurs, a annoncé la section cannoise qui fêtait cette année ses 50 ans.
Date de sortie 4 juillet 2018 (1h 23min)
Avec l’offensif Spike Lee en compétition, l’engagée Ava DuVernay dans le jury et une montée des marches d’actrices noires et métisses ce mercredi soir, la question de la présence des Noirs au cinéma s’invite au Festival de Cannes.
Dans le cadre de 
Le cinéma français comme la télévision se font l’écho de préjugés et de stéréotypes… Ces deux médias tournent encore trop souvent en « blanc…et… noir »; dans une société française si riche pourtant de ses couleurs et de sa diversité.
VIDÉO – Découvrez la sélection officielle de la 71e édition, présidée par Cate Blanchett, dévoilée jeudi par Thierry Frémaux. Dix-huit films sont en lice pour décrocher la Palme d’or, quinze dans la catégorie Un certain regard, sept en séances spéciales et deux en séance de minuit.
La célébration du 150e anniversaire de l’abolition de l’esclavage dans les colonies françaises est l’occasion de publications aussi utiles que bienvenues. Comme le synthétique Les Abolitions de l’esclavage (PUF, » Que sais-je ? « , 128 p., 9 euros) et le superbe album Arts et lettres contre l’esclavage (Cercle d’art, 240 p., 29 euros), tous deux de Marcel Dorigny. Ou encore le passionnant essai Les Routes de l’esclavage. Histoire des traites africaines, VIe-XXe siècle (Albin Michel/Arte Editions, 230 p., 19,50 euros), de Catherine Coquery-Vidrovitch, qui est également consultante de la série documentaire proposée par Arte, mardi 1er mai (20 h 50). Ambitieuse, cette ample fresque (4 × 52 min) envisage les traites africaines sur quelque mille quatre cents ans.
Si vous me demandez ce qu’est pour moi le festival Les Révoltés du Monde, je vous répondrai qu’il est une incitation généreuse à découvrir le monde tel qu’il est, non pour se contenter de le regarder et de le déplorer, mais pour que naisse l’envie profonde d’avec les autres le changer. Et puisque, selon la formule chère à Saint-Exupéry, empruntée aux Indiens d’Amérique, je crois que « nous n’héritons pas de la terre de nos parents, nous l’empruntons à nos enfants », j’ai été plus particulièrement sensible aux deux films consacrés à ceux qui sont l’avenir du monde, et cela qu’on les aime ou les maltraite, qu’on les reconnaisse ou qu’on les nie. À ceux qui, parce qu’ils sont les plus petits et les plus vulnérables, souffrent d’abord et de la plus injuste façon des guerres que se livrent entre eux les adultes. Et nous menant du continent africain au continent américain, les documentaires

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Milos Forman, réalisateur de Vol au-dessus d’un nid de coucou et d’Amadeus, est mort. Le cinéaste d’origine tchèque, devenu américain dans les années 1970, avait 86 ans.
