Du 22 au 25 Juin au Terminal de croisière de Pointe-à-Pitre.
Patricia Lollia à le plaisir de vous inviter à la POOL ART FAIR 2023 organisée par Thierry Alet et son équipe. Ce salon se tiendra du 22 au 25 Juin au Terminal de croisière sur le Port de Pointe-à-Pitre.
Elle expose ses oeuvres au STAND A9 et poursuis son travail sur le bois flotté et les éléments de récupération : planches de coffrage, OSB, meubles anciens sauvés des décharges, banderoles publicitaires polluant l’environnement.
Patricia Lollia projette un monde imaginaire où l’on rencontre des personnages légendaires ou historiques, mystiques ou mythiques.
Plasticienne autodidacte qui a commencé à peindre à la fin de l’année 2017. Aime bien allier peinture et sculpture ce qui donne un effet 3D à ses œuvres. Le relief donne plus de vie et génère un renouvellement permanent en fonction de la distance à l’objet et de l’angle de vue. L’œuvre attire l’œil et captive l’esprit en faisant éclater les limites conceptuelles. Patricia a le souci de la composition, de l’exubérance des couleurs tout en peignant ou en sculptant avec beaucoup de spontanéité.

Entrée libre – Places limitées
La peintre et écrivaine française Françoise Gilot est morte. Âgée de 101 ans, elle fut la compagne de 1944 à 1953 du peintre Picasso dont elle fut souvent décrite comme la muse. Mais aussi celle qui osa lui dire non.
L’exposition It’s Pablo-matic dénonce le comportement du maître espagnol, décédé il y a cinquante ans, et rend justice aux femmes artistes des XXe et XXIe siècles qui n’ont pas connu sa gloire.
— Par Renel Exentus —
L’exposition Apesanteur est un itinéraire qui prend comme point de départ le marronnage dans les mornes et les forêts que Wifredo Lam a pu célébrer comme « espace de résistance ». Aujourd’hui, ce même espace fait écho à l’âme de ces autres résistants que sont les acrobates.
Quand l’Art vient sublimer l’action sociale
La Maison Rouge : Maison des Arts
— Par Dominique Daeschler —
La Fondation Clément présente , l’exposition Gaston Monnerville, une dignité républicaine.
Presqu’une île propose d’aborder la mangrove à travers une expérience sensorielle poétique. Le designer déploie un parcours de « capsules de sens » réalisées en collaboration avec des artistes et artisans Victor Anicet, Martine Baker, Hervé Beuze, Miguelle Colibeau, Rachana Nossin, Fabienne Pélage, Michel Pétris et l’association Lespri Lasotè.

Complices artistiques, Jean-Michel Basquiat et Andy Warhol ont réalisé 160 toiles en commun entre 1983 et 1985, dont 70 sont montrées à la Fondation Louis Vuitton, à Paris, jusqu’au 28 août. Un choc de titans.
Fabrice Hyber a imaginé son exposition « La Vallée » comme les différentes classes d’une école, se partageant le savoir et ses méthodes d’apprentissage.
Niché au fond d’une impasse de la rue d’Assas, le musée Zadkine est installé dans la maison atelier du sculpteur. La femme oiseau, sculpture monumentale du jardinet célèbre le quarantième anniversaire de ce musée voulu par le peintre Véronique Prax son épouse. L’exposition d’une centaine d’œuvres réparties entre les deux ateliers est accompagnée de dessins, de peintures et surtout de photos des grands photographes Morain, Vaux, Kertész, Maywald, précieux témoignages de la vie artistique d’un Montparnasse aux multiples ateliers.
Le centre Pompidou consacre une grande exposition rétrospective à la sculptrice Germaine Richier.
Jusqu’ici les œuvres de la Collection Clément, qui se comptent par centaines, n’étaient exposées qu’en très petit nombre dans la Case à Léo ou au hasard des expositions consacrées à tel ou tel artiste. L’ouverture de la Pinacothèque
— Par Martine Potoczny —
« Nous n’étions que des hommes, il ne saurait y avoir de victoire,
— Par Christian Antourel —
Au-delà du truisme apparent, L’art comme action, le nouvel ouvrage collectif dirigé par Dominique Berthet soulève bien des questions passionnantes. « Truisme » puisqu’il ne peut y avoir d’art sans action, aussi spontanée (le dripping), minimaliste (les monochromes) ou éphémère (lorsque l’œuvre est anéantie par le feu comme chez Christian Jaccard interrogé par D. Berthet) soit-elle. Au commencement il y a donc le geste de l’artiste, source d’un plaisir (celui de la création) mêlé d’inquiétude (l’artiste se confronte au public, il se « compromet » selon le mot de Richard Conte, p. 37). Dès que l’artiste vise un certain public, il entend exercer sur lui une influence, lui plaire ou lui déplaire, le convaincre éventuellement, ce qui ouvre sur les problématiques de l’engagement. C’est là aussi une forme d’action, esthétique, morale ou politique appelant la ré-action du public. Mais il faut encore compter avec des actions plus physiques que celles de l’artiste occupé à créer dans son atelier (d’autant que nombre d’artistes contemporains se contentent de concevoir et laissent la réalisation à des « art-isans »).