L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.
Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.
Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

Nationalité Français
Le 25 novembre 2020 toutes les associations et les institutions qui sont impliquées dans l’accompagnement des femmes victimes de violence étaient convoquées dans la salle Félix Éboué de la préfecture de la Martinique. Il s’agissait là pour le Représentant de l’État de nous lister les engagements pris suite aux travaux des ateliers organisés dans le cadre du Grenelle des violences faites aux femmes initié par l’État.
Officialisée en 1977 par les Nations-Unies, cette journée couvre plusieurs événements à travers le monde avec comme objectif de célébrer les avancées des droits des femmes. Vie-publique.fr fait le point en cinq questions pour comprendre la création de cette journée.
Moun a bo di kiw sé:
L’index de l’égalité femmes-hommes est un outil mis en place graduellement depuis 2019 par le ministère du Travail afin de supprimer les inégalités professionnelles entre les femmes et les hommes dans les entreprises. Publié chaque année au plus tard le 1er mars au titre de l’année précédente, il est maintenant obligatoire pour toutes les entreprises d’au moins 50 salariés.
L’éducation est une science (moyennement) exacte. Cette semaine, Nicolas Santolaria s’interroge sur cette propension des hommes à utiliser le prétexte du travail pour échapper à la partie de Bata-waf avec leurs enfants.
Une étude réalisée par les Nations unies et publiée mercredi révèle que 9 personnes sur 10 ont des préjugés envers les femmes dans le monde, femmes comprises.
En matière de présence de femmes dans la vie publique, la Martinique commence peut-être à rattraper son retard sur d’autres territoires de France et d’Outre-mer. Sur les 116 têtes de liste enregistrées officiellement par la préfecture de Martinique pour les municipales, 20 sont des femmes [17.24%] contre 13 en 2014 [ 12.26%].
C’est du Nigéria que nous vient ce texte de l’autrice Zainabu Jallo mis en scène et joué par la comédienne, danseuse et saxophoniste belge d’origine rwandaise Carole Karemera, accompagnée de Cécilai Kankonda. Des trois personnages présents dans le texte initial il n’en demeure que deux. Lola, la psychologue clinicienne et Malinda la « criminelle », celle qui par un acte, au dehors d’elle- même, a tué son Daniel de mari, cet homme violent qui la tabassait. Elle attend son procès dans sa chambre du bloc L, celui des individus dangereux de quelque manière que ce soit, et reçoit la visite de Lola qui vient l’«expertiser »(!) L’une sujet connaissant , l’autre objet de connaissance, le cadre ainsi posé ne tiendra pas. Cette opposition va très vitre est subsumée par les conditions vie des femmes au Rwanda. Les violences conjugales dont était victime Malinda ne sont pas étrangères à la situation que vit Lola. Elle aussi est confrontée aux coups d’un mari, Ali. Cette communauté de situation l’emportera sur les oppositions de statuts qui les définissaient. Et Malinda maïeuticienne avérée, délivrera Lola de ce qu’elle n’osait dire dans un renversement des rôles frisant le contre-emploi.
Chaque semaine, « Le Soir » publie une chronique d’un membre de Carta Academica* sur un sujet d’actualité. Cette semaine : quand la parole du poète peut recréer le monde en le disant autrement…
La Martinique vit depuis le 5 décembre 2019, une nouvelle période de mobilisation historique pour s’opposer au projet gouvernemental de réforme du système de retraite.
On sait le rôle important et grandissant que jouent dans nos sociétés les réseaux sociaux (WhatsApp et autres) en termes de diffusion et circulation d’informations de toutes natures, « fake news » y compris.
Pour les partisans de l’autonomie de l’article 74, le maintien par l’Etat des pouvoirs régaliens était la parade parfaite contre toutes les dérives du statut annoncé. Dès lors que l’Etat garderait ses pouvoirs de police, de justice et de défense, il n’y aurait plus rien à craindre. C’était, à côté de l’idée qu’il était débile d’avoir deux collectivités sur un si petit territoire, l’argument-massue de la campagne électorale. Après le refus du « 74 » et la limitation du changement au périmètre de l’article 73, cet argument parut encore plus évident, alors que le millefeuille administratif allait s’enrichir de trois communautés d’agglomérations.
Dans son offre initiale, l’homme d’affaires avait annoncé garder 114 des 235 salariés du groupe
Alors que toutes les régions de la France hexagonale sont désormais touchées par le Coronavirus (carte interactive de france info à consulter par ici), dans les Outre-mer dix cas avérés sont dénombrés dans trois territoires.
Dans le monde entier, les femmes luttent et ont toujours lutté. C’est ainsi qu’elles ont pu faire progresser notoirement leur condition. Mais les attaques se multiplient : nous disons haut et fort Stop !
Lura débute sa carrière à 17 ans ! Suivront rapidement des collaborations avec des pointures comme Bonga, Tito Paris et Cesaria Evora. Elle est repérée en 2004 par le label Lusafrica qui avait révélé cette dernière.
Non-élagage des arbres ou des haies, dépôt sauvage de matériel ou d’objets bloquant la voie publique, occupation à titre privatif du domaine public, occupation illégale du domaine public par un commerçant… Le maire peut infliger une amende allant jusqu’à 500 €. C’est ce que précise la loi du 27 décembre 2019 pour l’engagement dans la vie locale et la proximité de l’action publique qui a modifié le Code général des collectivités territoriales.
Le 5 mars 2020, l’Etat français est à découvert climatique. C’est ce que les organisations de l’Affaire du Siècle ont calculé, pour la première fois, en se penchant sur l’objectif de neutralité carbone que l’Etat français s’est lui-même engagé à atteindre pour 2050. Résultat : nous sommes encore très loin du compte. Le 5 mars 2020, soit en seulement 2 mois et 5 jours, la France a émis autant de gaz à effet de serre que ce qu’elle devrait émettre en une année entière si elle respectait cet objectif de neutralité. Jusqu’à la fin de l’année 2020, la France va creuser sa dette climatique, alors que nous sommes déjà nombreuses et nombreux à témoigner des effets concrets des changements climatiques.
Genesis, groupe phare de la pop-rock des années 80, annonce un dernier tour de piste pour cet automne, avec une tournée des grandes arènes au Royaume-Uni et en Irlande.
Le 5 mars l’Université et les laboratoires s’arrêtent ? Une question dont la réponse ne va pas tarder. Une coordination montée par personnels de l’enseignement supérieur et de la recherche (chercheurs, ingénieurs universitaires, vacataires souvent précaires, personnels des EPST et des universités) les y appellent. Un mouvement né lors des mobilisations sociales sur les retraites et nourri des craintes suscitées par la LPPR – loi de programmation pluriannuelle de la recherche – qui ne promet guère d’argent mais veut encore accentuer compétitions et contrats de courtes durées. Il est soutenu par plusieurs syndicats FO-ESR, SUD RECHERCHE EPST-SOLIDAIRES, SUD EDUCATION, SOLIDAIRES ETUDIANT·E·S, SNESUP-FSU, SNEP-FSU, SNCS-FSU, SNASUB-FSU, CGT-FERC SUP, SNTRS-CGT, CGT-INRA, L’ALTERNATIVE, UNEF, ANCMSP, SNTRS-CGT, Solidaires). Voici l’interview de Clara Biermann, Enseignante-chercheuse en ethnomusicologie à l’université Paris 8, Musidanse E.A. 1572 et membre associée au CREM-LESC UMR 7186, Vice-présidente de la Société française d’ethnomusicologie et membre du comité Facs et Labos en lutte.
Bordeaux, La Rochelle et Le Havre ont, dans le sillage de Nantes, tiré leurs richesses du commerce triangulaire. Dans ces villes, ce passé reste encore largement occulté et les élus comme la plupart des candidats aux municipales semblent peu enclins à raviver cette douloureuse mémoire.