 Lundi 21 juillet 2014 19H30 au T.A.C. (Théâtre Aimé Césaire)
Lundi 21 juillet 2014 19H30 au T.A.C. (Théâtre Aimé Césaire)
Argument : Au début des années 1820, à Guernesey (île anglo-normande), Mess Lethierry, patron d’une petite entreprise de cabotage, révolutionne l’île en la reliant à Saint-Malo, grâce au premier bateau à vapeur. Mais un jour, ce bateau (baptisé la Durande) s’échoue entre les écueils de Douvres. Déruchette, orpheline adoptée par son oncle Mess Lethierry, s’engage à épouser celui qui ramènera ce qui pourrait sauver son oncle de la ruine : la machine à vapeur emprisonnée dans le ventre de l’épave.
Gilliatt, travailleur de la mer et force de la nature, tenu à l’écart par les habitants car soupçonné d’avoir quelques accointances avec les esprits (il est surnommé Gilliatt le malin), amoureux de Déruchette depuis plusieurs années, se porte volontaire. Il va alors affronter les éléments déchaînés et ramener la machine à vapeur. Mais lorsqu’il découvre que Déruchette est amoureuse du jeune révérend Ebenezer, il se sacrifie : après avoir organisé secrètement leur mariage, il se laisse engloutir par la mer.
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— Critique parue dans la Terrasse par Catherine Robert —
Paul Fructus réussit une remarquable adaptation des Travailleurs de la mer, de Victor Hugo, qu’il interprète avec un sens du rythme, un art de la démesure épique et une émotion éblouissants.


 — Par Michèle Levieux —
— Par Michèle Levieux — Nous, vice-présidents et membres de la gouvernance de l’université des Antilles et de la Guyane, souhaitons apporter les éléments et précisions suivants au débat sur la transformation de notre établissement en université des Antilles.
Nous, vice-présidents et membres de la gouvernance de l’université des Antilles et de la Guyane, souhaitons apporter les éléments et précisions suivants au débat sur la transformation de notre établissement en université des Antilles. Marronnage et poétique contemporaines
Marronnage et poétique contemporaines — Par Michèle Bigot —
— Par Michèle Bigot — — Par Michele Bigot —
— Par Michele Bigot — — Par Roland Sabra —
— Par Roland Sabra — — Par Michèle Bigot —
— Par Michèle Bigot — — par NouvelObs et AFP —
— par NouvelObs et AFP —
 — Le Monde.fr avec AFP—
— Le Monde.fr avec AFP— L’écrivaine sud-africaine Nadine Gordimer, qui s’était opposée au régime d’apartheid et avait obtenu le prix Nobel de littérature en 1991, est morte à l’âge de 90 ans, a annoncé lundi 14 juillet sa famille dans un communiqué. Elle est morte paisiblement durant son sommeil, dans sa maison de Johannesburg en présence de ses enfants, précise le texte.
L’écrivaine sud-africaine Nadine Gordimer, qui s’était opposée au régime d’apartheid et avait obtenu le prix Nobel de littérature en 1991, est morte à l’âge de 90 ans, a annoncé lundi 14 juillet sa famille dans un communiqué. Elle est morte paisiblement durant son sommeil, dans sa maison de Johannesburg en présence de ses enfants, précise le texte. — Par Michèle Bigot —
— Par Michèle Bigot — — Par Annick JUSTIN JOSEPH —
— Par Annick JUSTIN JOSEPH —



 Mercredi soir 9 juillet, dans le cadre du festival culturel de Fort de France un débat était organisé par le Cénacle. Son thème : « La prostitution est-elle un mal nécessaire ? » Un intitulé déjà tendancieux car qui songerait à organiser un débat ayant pour sujet « la violence est-elle un mal nécessaire ? »
Mercredi soir 9 juillet, dans le cadre du festival culturel de Fort de France un débat était organisé par le Cénacle. Son thème : « La prostitution est-elle un mal nécessaire ? » Un intitulé déjà tendancieux car qui songerait à organiser un débat ayant pour sujet « la violence est-elle un mal nécessaire ? »



