Samedi 5 novembre 2016
Cinquante ans après la disparition de Freinet, son mouvement est toujours vivant !
https://paris.demosphere.eu/rv/49481
Samedi 5 novembre 2016 à la Maison des Métallos à Paris.
Cette septième édition du salon est dédiée au cinquantenaire.
Programme prévisionnel
13 h : Ouverture
13 h 15 à 14 h 30
Un moment de théâtre pour introduire en beauté la première table ronde : « Les combats de Célestin Freinet », un texte de Jean-Claude Idée :
1965, une classe d’élèves est chargée de mener des recherches sur Célestin FREINET en vue de l’interviewer. Au fil des investigations, on découvre la vie de cet homme complexe et les combats qu’il a menés toute sa vie. Ce pacifiste qui a fait deux guerres, ce communiste individualiste et réactionnaire, rejeté tant par le Parti communiste que par les conservateurs interpelle. Cet instituteur, inventeur d’une pédagogie humaine et moderne qui vise à former des citoyens libres, autonomes, responsables et critiques, aura suscité autour de lui beaucoup de haine et beaucoup d’amour.
14 h 30 à 15 h 45
Première table ronde « Célestin Freinet, l’homme : ses actions, ses valeurs, son militantisme »
François Perdrial et Sylvain Dufour des « Amis de Freinet », Catherine Chabrun de l’ICEM, Leonardo Leonetti de la FIMEM (Fédération internationale des mouvements de l’École moderne) et Jean-Claude Idée.

Beaucoup parmi les partisans de la fusion du Département et de la Région au sein d’une collectivité unique baptisée C.T.M. ne voulaient y voir que des avantages : fin des chevauchements de compétences et des financements croisés entre ces deux collectivités de plein exercice ,économie de moyens humains, matériels et financiers, plus grande cohérence dans la définition et la conduite des politiques suivies ,poids plus important vis-à-vis des représentants de l’ETAT.
Voici les lauréats des principaux prix littéraires de 2016:
La BU du campus de Schoelcher vous invite à une conférence-débat mardi 8 novembre à 18h45 :
2016 fête les 500 ans de la disparition du peintre flamand Jérôme Bosch. De son vrai nom Jheronimus van Aken, celui que les hispanophones nomment El Bosco reste un peintre majeur dont on ne sait que peu de choses, et dont l’oeuvre aussi énigmatique que fascinante continue à intriguer et passionner. Pour dissiper un peu le mystère autour du peintre et de son œuvre, José Luis Lopez-Linares a réussi à faire entrer ses caméras dans le Musée du Prado de Madrid, et s’est principalement concentré sur l’oeuvre maîtresse du musée – qui est un peu au Prado ce que La Joconde est au Louvre – et du peintre : Le jardin des délices. Ce triptyque complexe et foisonnant, dont les panneaux intérieurs représentent l’Eden, les enfants d’Adam et Eve et l’Enfer, a depuis sa création nourri de nombreuses interprétations, parfois contradictoires.
Le ciel des Antilles était en pleurs
Depuis une semaine, je ne peux me défaire d’un profond malaise qu’il me faut partager avec vous aujourd’hui. Le jeudi 20 octobre 2016, sur France 2, chaîne télévisée du service public français, l’Émission politique recevait sur son plateau Bruno Lemaire. Le candidat à la primaire de la droite et du centre eut maille à partir avec Ghislaine Joachim Arnaud, syndicaliste martiniquaise, qui insistait pour qu’il cesse de l’appeler par son prénom et l’interpellait sur le caractère ultralibéral de son programme économique. De cette séquence, on ne retient plus aujourd’hui que l’hilarité du public, lorsqu’elle a comparé le discours de M. Lemaire à du « pipi de chat ». La scène, admettons, fut assez cocasse. Admettons. C’est la semaine suivante que j’ai été saisie par une forte inquiétude, lorsque les mêmes rires ont retenti dans l’assistance au cours de l’intervention d’Elie Domota, qui répondait dans les mêmes conditions et avec la même énergie au candidat François Fillon. L’ex Premier ministre français avait soulevé l’indignation de descendant.e.s d’esclavagé.e.s et de colonisé.e.s fin août 2016 en déclarant :
Après le demi-siècle de rattrapage économique et social qu’a connu la zone Antilles des années 1960 aux années 2000, nos régions de Martinique et Guadeloupe connaissent aujourd’hui des difficultés économiques inédites, dans un contexte hexagonal Français dépressif et un environnement mondial toujours plus incertain, caractérisé par un ralentissement de la croissance, y compris dans les pays émergents.
Rien ne sera plus jamais comme avant.
Le prix Goncourt a été attribué à Leïla Slimani pour le roman « Chanson douce » (Gallimard). Il s’agit du deuxième roman de l’auteure.
DISPARITION – L’ancienne gloire du cirque soviétique est décédée mercredi 2 novembre à la suite d’un arrêt cardiaque dans son hôtel à Rostov-sur-le-Don en Russie.
Dans le cadre d’un partenariat avec la CCAS et le CE des Caisses d’Epargne d’Ile de France, l’AFASPA présente le film « TAAFE FANGA » d’Adama Drabo au programme du 2ème Festival du film malien en France, mardi 8 Novembre 2016 à 20h, cinéma LA CLEF, 34 rue Daubenton Paris 5e – Métro Censier-Daubenton.
Un décret publié pendant la Toussaint (!) autorise désormais la création d’un immense fichier regroupant les données personnelles de 60 millions de Français. Nombreux sont ceux qui s’opposent aujourd’hui à son instauration. Explications.
Le prix littéraire Médicis 2016 a été attribué mercredi à l’écrivain français Ivan Jablonka, 43 ans, pour son livre « Laëtitia ou la fin des hommes » (Seuil). Le livre avait déjà obtenu le « Prix littéraire du Monde » 2016
Yékri … Yékra ! Comme ce cri poussé par les conteurs au début des contes créoles d’antan lontan pour solliciter l’attention de leurs auditoires, la newsletter Yékri veut attirer l’attention sur la culture créole, sur les talents ultramarins au sens large. Elle reprend l’objectif de la newsletter
Conférence -débat au Centre Culturel du Bourg, rue principale Ernest André.