19, 20, 21 janvier 2017 à 19h 30 au T.A.C.
Adaptation théâtrale du roman « Le Quatrième Mur » de Sorj Chalandon La pièce / le roman
Mise en scène: Luca Franceschi
Auteur : Sorj Chalandon
Direction artistique : Thierry Auzer
Chorégraphie : Fanny Riou
Création musicale : Tiko (Nicolas Giemza)
Le Projet des Irrévérencieux, dès le départ, a été conçu comme une aventure de création en triptyque.
Le succès du premier volet actuellement en tournée montre bien la pertinence de notre propos et la qualité toujours présente de notre démarche artistique.
Avec le premier volet Les irrévérencieux, nous avons réussi à porter une fable onirique « qu’est-ce qu’une vie sans projet, sans ambition, sans rêve ? », à façonner une Commedia dell’arte ancrée dans la modernité, par le croisement et comme catalyseur de disciplines, comme celles explorées dans la rencontre avec la culture hip-hop. Cette possibilité de puiser dans ces diverses techniques, cette capacité à provoquer l’inventivité, la création et l’improvisation propre à la Commedia
dell’arte telle que nous la défendons.
Ce second opus marque donc pour nous la volonté d’aller encore plus loin, en gardant cette rencontre de disciplines urbaines, du 16ème siècle à nos jours, populaires, avec cette fois une écriture contemporaine, brûlante d’actualité, une « fable d’une salutaire insolence » !


Saint-Domingue et Nouvelle-France
De Matt Ross
L’électricité peut tuer, tout le monde le sait, au moins depuis le décès de Claude François électrocuté pour avoir voulu changer ou manipuler une ampoule défectueuse tout en étant encore dans son bain.
Bacalaureat (Baccalauréat en français)
L’ouvrage, soutenu par la Fondation Gabriel-Péri, analyse les diktats du Trésor français.
Après Comment rater ses vacances et La Corse prend le maquis en juin 2016, les éditions du Chêne dévoilent Ni Dieu, ni eux, un recueil de 96 pages regroupant plus d’une centaine de dessins choisis par Chloé, la femme de Tignous (à noter, une postface signée de sa main, forte et bouleversante). Parus dans Charlie Hebdo ou Marianne, ils fustigent les fanatismes de toutes les religions. Pour combattre les dérives des textes sacrés par des huluberlus et pour lutter contre l’obscurantisme quoi de mieux que la culture, l’esprit critique & citoyen par le biais d’illustrations qui font mouche à chaque fois.
Deux ans après les attentats à Paris contre le journal satirique Charlie Hebdo et l’épicerie Hyper Cacher, quelques centaines de personnes se sont rassemblées samedi soir dans le centre de la capitale pour un hommage sobre aux 17 morts, dont les noms ont été lus.
De Xavier de Lauzanne
de Jim Jarmusch
Cognitis enim pilatorum caesorumque funeribus nemo deinde ad has stationes appulit navem, sed ut Scironis praerupta letalia declinantes litoribus Cypriis contigui navigabant, quae Isauriae scopulis sunt controversa.
Le succès de cette pédagogie basée sur la liberté et l’éducation sensorielle ne s’est pas démenti depuis le 6 janvier 1907, jour où le docteur Maria Montessori inaugurait, à Rome, sa première école.
Love Me Tender explore et questionne le positionnement et la symbolique du couple dans la société, dans différents contextes géographiques, sociaux…
Montréal, le 4 janvier 2017
Une laitue de mer aux mille vertus. Peu à peu, la consommation de kombu, wakamé, nori ou haricot de mer s’impose dans les assiettes européennes. À la fois légume et condiment, l’algue est bourrée de protéines, de sels minéraux et offre aux amateurs de cuisine le goût puissant de la mer.
De Katell Quillévéré
Dans le cadre du cycle mensuel « Une nuit, une œuvre… », le Mémorial ACTe donne carte blanche à L’Artocarpe
Le texte suivant reprend largement les informations données par le comité français de soutien à Mumia.
Les uns à côté des autres, tous assis en silence, dans la grande salle de conférence, prenaient progressivement conscience de la maladie de l’esclavage. Et ceux, dont ils avaient reçu semblable révélation, entre passé et avenir, retrouvaient, avec la vérité servie, tout l’héritage doctrinal, permettant d’en guérir. L’esprit collectif martiniquais est-il vraiment une émanation du monde invisible des esclaves africains ? Reste-t-il victime de ce dualisme fondateur entre l’origine et l’histoire, entre sa substance de peuple et les maux de l’esclavage? Où est la perfection ? Où est la dégradation ? L’intelligence moderne appelle-t-elle cette fascination de l’originaire ? Certes, n’est-il pas dépassé, inutile, ce positivisme affiché, qui s’attache à fixer pour toujours un état historique, datant de plusieurs siècles, à illustrer, comme causes originelles de maladie, les faits d’exploitation d’un racisme systématisé et légitimé, en provenance des pires théories de la dégénérescence, durant la période coloniale ? Tout l’avenir du peuple martiniquais serait-il contenu là, à l’origine des sacrifices humains de l’esclavage ? N’est-ce pas philosophie pessimiste que ce renvoi continuel à tous les sens cachés de cette période ?
L’écrivain londonien, savoyard d’adoption est décédé hier lundi 2 janvier.