En 1995, la Fondation Cartier pour l’art contemporain présentait la première exposition monographique du photographe malien Malick Sidibé hors du continent africain. Un an après la disparition de l’artiste le 14 avril 2016, elle lui rend hommage avec Mali Twist, une grande exposition rétrospective accompagnée d’un ouvrage, conçus et dirigés par André Magnin en collaboration avec Brigitte Ollier.
À côté d’œuvres iconiques, l’exposition propose pour la première fois un vaste ensemble de photographies vintage et de portraits inédits d’une beauté intemporelle. Véritable plongée dans la vie de « l’œil de Bamako », ces clichés exceptionnels en noir et blanc révèlent comment Malick Sidibé a su saisir, dès le début des années 1960, la vitalité de la jeunesse bamakoise.
L’exposition souligne également la diversité des portraits que Malick Sidibé réalisait dans son studio. Jeunes vêtus à la dernière mode, trio sur une moto, enfants déguisés pour le carnaval, femmes d’une parfaite distinction, adolescents radieux, c’est toute la société de Bamako que l’on voit sur les portraits rassemblés pour l’exposition. En les faisant poser devant un fond neutre ou un rideau à rayures, en les photographiant le plus souvent debout, seul ou à plusieurs, parfois en gros plan, Malick Sidibé compose pour chacun de ses modèles un double sur papier, authentique et spontané.

Les tout premiers soubresauts de l’humanité avaient déjà vu l’homme pratiquer le rituel du masque. Les tribus guerrières arboraient des masques terrifiants pour effrayer leurs ennemis, les sorciers s’agitaient sous ces mêmes accoutrements pour décontenancer leurs adeptes, dans le théâtre de la Rome antique, les masques contribuaient à la caractérisation des personnages qui entraient en scène pour la comédie. Chez nous, les « diables rouges » continuent à ensanglanter nos rues le Mardi gras.
Rencontre avec Frédéric Gros, philosophe et préfacier du dernier volume de l’Histoire de la sexualité de Michel Foucault.
Création
Ils sont six sur scène, avec leur batterie, venus de diverses écoles de formation. A la fois semblables et différents ils posent d’emblée la question de l’individu et du collectif. Qu’est-ce qui fait groupe? Quelle colle pour le lien social ? Un chœur peut-il être sans coryphée ? Y-a-t-il un texte sans contexte? La liste est longue des interrogations que porte « Les batteurs » le travail d’Adrien Béal en réponse à un commande du Théâtre de la Bastille.
Le musée Van Gogh d’Amsterdam, consacré à l’œuvre du peintre hollandais Vincent Van Gogh, possède des tableaux martiniquais des peintres Paul Gauguin et Charles Laval. Ce prestigieux musée a programmé pour octobre 2018 une exposition qui mettra en valeur le séjour de Gauguin et Laval à la Martinique en 1887.
À ses débuts journalistiques Camille ALEXANDRE sera d’abord critiqué, chahuté…
Hac ex causa conlaticia stipe Valerius humatur ille Publicola et subsidiis amicorum mariti inops cum liberis uxor alitur Reguli et dotatur ex aerario filia Scipionis, cum nobilitas florem adultae virginis diuturnum absentia pauperis erubesceret patris.
Dans cette famille martiniquaise, Cendrillon était le souffre-douleur. En effet, le quotidien de cette adolescente recueillie était fait d’humiliation et de pauvreté, contrairement aux deux autres filles du foyer. Comme dans le conte de Perrault, la famille adoptive de Cendrillon lui avait ménagé un statut de servante, de bonne à tout faire.
Matnik an diznèfsan, té ni tranndé komin
L’artiste Joëlle Ferly annonce le lancement d’un parcours sonore inédits, fait de 10 étapes, invitant les personnes qui aiment les histoires à venir écouter des récits auprès de bornes prévues à cet effet.
Le musicologue Claude Dauphin vit et travaille à Montréal. Auteur du livre de référence «
Il était inévitable qu’un jour les nerfs du président craquent ! Certes, ce n’est pas une tragédie pour la Martinique, plus que jamais saine et vivante dans sa postérité. C’est la tragédie commune de tout esprit paranoïaque, ici ou ailleurs, cédant brusquement à une invasion de vertige, de surestimation pathologique du moi. Ce n’est pas la tragédie des citoyens martiniquais, qui ont l’amour de leur île, bien planté dans le profond de leurs coeurs. C’est la tragédie de tous ceux, élus ou pas, que le péché d’amour de soi obsède jour et nuit. Et pour cela, il n’y a nul remède, et surtout pas en politique, où la doctorale folie amène à pleurer, comme une mort annoncée, ce qu’on craint de laisser, quand la gestion est banqueroute ! Non, injurieux bras d’honneur, tu ne te vanteras pas de voir la Martinique fermer la bouche sous l’autorité ! Elle continuera de crier vers de plus reposants avenirs, en dépit d’une jeunesse sans travail, et de chômeurs, par milliers, presque à l’état mendiant. Elle revendiquera, même lassée de voir l’idéologie trahie, par une alliance bizarrement accoutrée, elle ne se lamentera pas sur les mains, qui ont signé celle-ci, car elle voit dejà venir ce moment du temps, où cette gouvernance va expirer dans les pleurs funèbres des quelques affidés, et autres conseillers, en souvenir des échecs passés, tel le TCSP !
4 acteurs alternatifs de Martinique :
« La langue française est truffée de sexisme. Elle porte en elle l’héritage d’une histoire marquée par la domination des hommes. Elle a été sculptée, structurée, modelée, réglementée par les hommes au travers des époques où les femmes étaient tenues à l’écart de la littérature, des institutions linguistiques et de l’espace public ».
Le ministère de la culture va créer un observatoire afin de centraliser les données sur les arts de la scène.
Le comportement déplorable d’Alfred Marie-Jeanne à Ste Luce ne surprend que ceux qui le veulent bien. Sauf qu’arrivée en fin de piste, il a des difficultés à tenir la route. En effet, le parcours politique du « président des Martiniquais » a été jalonné d’outrances qui ont porté jusqu’aux qualités intrinsèques des personnes auxquels il en voulait. Les Pilotins l’ont expérimenté à leurs dépens, ou certains d’entre eux, leur ancien maire n’ayant pas craint de mettre le doigt y compris sur les handicaps physiques de ses opposants. Une famille connue de la commune en aurait fait les frais, dans un climat d’assouvissement des bas-instinct du peuple qui semble en redemander.
Si ni an neg toutt moun ka di ki té kont koulè lapo’y sé té bien Michaël Jackson. Moun di pou éséyé konprann li, sé an maladi ki té mété’y koulè a i té vini an : an koulè gri kondi yo di.
En guise d’introduction à l’idée que c’est dans la rencontre que le savoir naît, et donc qu’il s’agit d’ouvrir le monde aux enfants pour les former, il importe de lire l’ excellent ouvrage de Philippe Meirieu, « Frankenstein pédagogue », paru en 1996, aux Editions ESF à Paris.