Marc Fosset, âgé de 71 ans, se battait depuis plusieurs années contre la maladie de Parkinson. Nous avons recueilli le témoignage de son ami et ancien partenaire Patrice Caratini, célèbre contrebassiste et arrangeur.
Un musicien au jeu fluide et virtuose, un être humain débordant d’humour et de gentillesse, c’est le souvenir que laissera Marc Fosset à ceux qui ont eu le privilège de le croiser. Le guitariste s’est éteint le 31 octobre à 71 ans après des années de combat contre la maladie de Parkinson, un mal qui l’avait éloigné de la scène il y a une dizaine d’années.
Marc Fosset, guitariste gaucher autodidacte, a accompagné le violoniste Stéphane Grappelli sur les scènes du monde dans les années 1980 et 1990. Il a aussi formé un célèbre duo avec le contrebassiste Patrice Caratini (voir notre entretien plus bas), et un trio avec Caratini et l’accordéoniste Marcel Azzola. Parmi ses autres collaborations, on peut citer le pianiste René Urtreger, le batteur Kenny Clarke, le contrebassiste Jean-Philippe Viret… Marc Fosset a également fait partie du groupe Magma dans les années 70
Enfant du quartier de Belleville, à Paris, où il est né le 17 mai 1949, Marc Fosset se met à la guitare en autodidacte après avoir vu jouer sur scène en 1958 Yves Montand et surtout son guitariste, Didi Duprat, gaucher comme lui.

Suite au reconfirment mis en place par le gouvernement (Décret n° 2020-1310 du 29 octobre 2020) et aux mesures locales décidées par le Préfet nous informons le public que les activités de l’UFM en direction de personnes en situation de vulnérabilité, sont considérées comme mission d’intérêt public.
Paru durant la semaine du 22 octobre 2020 sur le site Potomitan, l’article «
Vidéo de 53 min à voir ci-dessous.
ENTRETIEN – La gauche américaine ne fait pas l’effort de s’informer sur la laïcité française et plaque la grille de lecture du «racisme systémique» sur une réalité française très différente, déplore le journaliste américain Thomas Chatterton Williams.
Fort-de-France, le 31 octobre 2020.
« A son ombre », de Claude Askolovitch, Grasset, 320 p., 20,90 €, numérique 15 €.
L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.
Vincent Peillon a dévoilé le lundi 9 septembre 2013, la charte de la laïcité à l’école, dans un lycée de La Ferté-sous-Jouarre (Seine-et-Marne). La « vocation » de ce texte est « non seulement de rappeler les règles qui nous permettent de vivre ensemble dans l’espace scolaire mais surtout d’aider chacun à comprendre le sens de ces règles, à se les approprier et à les respecter », explique le ministre de l’Education dans un courrier aux chefs d’établissement.
Palmarès des compétitions
C’est désormais une évidence : une autre agriculture est souhaitable et attendue.
An lavéyé Klédòw ki kovid kapoté, an kontè ka konté…
Le carême 2020, nous a donné un aperçu des conséquences, prévisibles, du réchauffement climatique sur la distribution de l’Eau au robinet, l’irresponsabilité collective de ceux qui nous dirigent n’est plus à démontrer, c’est sans scrupule qu’ils ont organisé, avec mépris, la distribution de ce précieux liquide.
Trois jours de retrait de la part des conducteurs de la Régie des Transports de Martinique, rien n’est proposé pour palier au manquement sur 21 lignes.
— Par Daniel M. Berté —
À l’instar des adultes, les enfants sont loin d’avoir des pratiques démocratiques quand il s’agit d’amitié et sont très sensibles aux jugements de leur entourage. Explications.
David Cayla est économiste à l’université d’Angers et membre du collectif des Économistes atterrés. Il a publié en 2018 « L’Économie du réel » (De Boeck Supérieur). Son prochain livre « Populisme et néolibéralisme » paraîtra le 27 octobre chez le même éditeur.
Le philosophe Pierre-André Taguieff revient sur les origines d’un concept qu’il a contribué à forger. Selon lui, les usages polémiques discutables du terme ne doivent pas empêcher de reconnaître qu’il désigne un véritable problème : la collusion entre des groupes d’extrême gauche et des mouvances islamistes de diverses orientations.
Résumé
