Vendredi 20 juillet 2018 à 19h 30 au T.A.C.

Du lundi 19 février au vendredi 1er mars 1968 va se dérouler un procès traduisant dix-huit patriotes guadeloupéens, devant la Cour de Sûreté de l’État. Un seul d’entre eux, déclaré « en fuite » sera jugé par contumace.
Qui sont ces hommes ?
Que leur reproche-t-on ?
Pourquoi un juridiction d’exception?
Ce texte est une adaptation théâtrale proposant de larges extraits des audiences, telles que rapportées dans l’ouvrage de référence intitulé « Le procès des Guadeloupéens », étayé du traitement réservé à cette affaire, étayé essentiellement par la presse écrite de l’époque. Le processus de création renvoie, en même temps à un talk-show, un programme de télévision au cours duquel au cours de laquelle un journaliste et un historien analysent et commentent les termes de la poursuite.
Guy LAFAGES est professeur d’arts plastiques, après avoir exercé à la télévision. Il enseigne, par ailleurs, le cinéma et l’audiovisuel. Son travail de dramaturge l’a déjà amené à adapter, en créole, des textes d’Eugène Ionesco et de Marcel Pagnol. Il accorde autant de place au travail d’écriture qu’à la mise en scène, nous invitant à être lecteurs et spectateurs.

DISSENSUS. Cessons de penser que les algorithmes prennent des décisions ; ils ne font qu’exécuter les choix de ceux qui les ont écrits, rappelle le chercheur Hugues Bersini.
Les fans étaient déchainés dans les centres commerciaux qui, certainement par amour des clients, avaient installé chaises et grand écran. Ce même amour qui avait conduit des chefs d’entreprises, tellement peu conciliants le reste du temps, à assurer que leurs salariés puissent suivre les matchs sur le lieu de travail.
Je n’ai pas le colonialisme français et les faiseurs de pwofitasyon au bout du fusil. De fusil je n’en ai pas.
Après la mort de Roger Bellemare, beaucoup de ses élèves, ses collègues, ses camarades syndicaux et politiques lui ont rendu hommage.
La grand-mère n’est plus. Disparue dit-on par cet euphémisme qui n’ose dire la mort. L voleur de vie s’appelle Massala, gardien de cette forêt tropicale qui borde la vie les hommes dans l’attente de les engloutir. L’enfant, Eric, ne veut pas, n’accepte pas. Il part à la recherche de la grand-mère dans le domaine de l’après vie. Elle lui a laissé pour tout viatique morceau de papier avec de mots : une lettre. Il y rencontre un caïman blanc qui pleure sur sa blanchitude, un faune Maskili semblable à ceux de Flaubert « frappant sur la mousse des bois la corne de leurs pieds, les faunes à bouche fendue », une sirène, une Mami Wata » ,un « Wata Mama » plus connue sous le nom de « Maman Dilo » ou Maman Dlo », qu’importe le nom pourvu qu’on ait la crainte qui l’accompagne. De monstre en monstre l’enfant chemine et toujours échappe aux dangers qui menacent de l’engloutir, de l’avaler, de l’absorber. Images d’une oralité grand-maternelle qu’il faudra laisser sur le coté du chemin…
Festival d’Avignon 2018, cour d’honneur du palais des Papes
Chorégraphie Bachir Tassembedo, avec Jules Soguira Gouba et Bachir Tassembedo
— Par Géraldine de Thoré, membre de Culture Égalité —

Les portraits, créés par Elise Vigier et Marcial Di Fonzo BO à la Comédie de Caen sont des créations itinérantes, portées par un ou deux acteurs, parfois accompagnés d’un musicien.
D’Arthur Rimbaud
Quitter la terre, Joël Maillard/Sélection suisse en Avignon. Festival d’Avignon off 2018. 11.Gilgamesh Belleville
Qui suis-je d’après le roman de Thomas Gornet, m.e.s.. Yann Dacosta, dessinateur Hughes Barthe
Festival d’Avignon off 2018
C’est parce qu’il n’est pas question de toucher à l’actuelle répartition des richesses dans un sens défavorable aux nantis et aux plus puissants, que Macron et cie – après tous les gouvernements qui les ont précédés depuis une quarantaine d’années – poursuivent , sous couvert de sauver la Sécu, l’entreprise de démolition de cette institution fondamentale née en 1945 – et plus largement le système de protection sociale – ainsi que les autres acquis sociaux gagnés ultérieurement.
Jogging
Bal(l)lade enchantée du côté de Corée-en-Caraïbes
An flè wouj félisitaj
Une création de BAJOUR, m.e.s.. Leslie Bernard