Mercredi 12 juin 2019 à 19 h 30 Madiana V.O.

Avec Marleyda Soto, Enrique Díaz, María Paula Tabares Peña,
Genre Drame
Nationalités Colombien, Brésilien, Français
Synopsis :
Nuria, 12 ans, Fabio, 9 ans, et leur mère arrivent dans une petite île au milieu de l’Amazonie, aux frontières du Brésil, de la Colombie et du Pérou. Ils ont fui le conflit armé colombien, dans lequel leur père a disparu. Un jour, celui-ci réapparait mystérieusement dans leur nouvelle maison.
La presse en parle :
L’Humanité par Dominique Widemann
Avec ce second long métrage, la cinéaste Beatriz Seigner s’affranchit des frontières qui démarquent naturalisme et rêve éveillé, délimitent les territoires des vivants et des morts.
Bande à part par Isabelle Danel
Une histoire de vie et de mort, de famille et de fantômes, où, au coeur du drame le plus prosaïque, s’invitent la poésie et la magie.
Cahiers du Cinéma par Ariel Schweitzer
Une manière originale d’affronter le thème douloureux de la nécessité du pardon dans le cadre d’un processus de réconciliation, en l’occurrence celui propre au conflit qui a fait tant de victimes en Colombie.


L’organisation de défense des droits de l’Homme Amnesty International a annoncé ce vendredi décerner son prix le plus prestigieux à l’adolescente suédoise Greta Thunberg, égérie du combat pour le climat. Le prix d’«ambassadrice de conscience» récompense Greta Thunberg et le mouvement «Fridays For Future» («vendredi pour l’avenir») à l’initiative de marches organisées dans le monde entier pour alerter sur l’urgence de lutter contre les dérèglements climatiques.
Le billet du 28 mai dernier de Montraykréyol à propos des résultats des élections européennes m’avait échappé. Davantage qu’un commentaire, j’y vois l’expression d’une réalité politique et d’une naïveté inquiétante de la part d’universitaires. Ceux-ci se sont dit « médusés » d’entendre de la bouche d’une ministre la déclaration suivante :
Souvent emporté par un songe
Fin de saison culturelle en images à la BU du campus de Schoelcher, avec, mardi 11 juin, 19h, la projection des mini documentaires réalisés par des élèves de l’académie de Martinique dans le cadre de l’Oeil du doc 2019. Lancé en 2016, cet atelier d’éducation à l’image – et au sens critique- est renouvelé chaque année depuis, avec des établissements différents.
— Par Roland Sabra —
L’avenir d’un projet de mine d’or géante en Guyane sera tranché après le mois de juin, selon le ministre de la Transition écologique, François de Rugy, après des réserves émises lundi par Emmanuel Macron.
Jacques-Olivier Ensfelder développe depuis 3 ans une approche du théâtre pour la ville du Vauclin. Il a débuté son premier atelier dans cette ville avec 6 élèves aujourd’hui l’activité regroupe trois sections : enfants, adolescents, adultes avec plus de 60 élèves. La volonté politique et culturelle de la municipalité du Vauclin est de rendre accessible la musique la danse, le théâtre à une population qui n’en peut-être pas les moyens ; aussi les cotisations mensuelles sont relativement basses.
Le Martinique Comedy Club présente Amour(s) le one man show de Certea.
À Mangot Vulcin au Lamentin
Le préfet de Martinique a publié ce jeudi un arrêté interdisant formellement sur la voie publique l’exhibition de toute «arme factice», après la parution de plusieurs vidéos sur les réseaux sociaux montrant de fausses armes, qui ont «choqué» la population. L’arrêté interdit le port visible de tout objet ayant l’apparence d’une arme à feu «sur la voie publique, dans les transports publics et les établissements recevant du public, notamment dans les établissements scolaires, les débits de boissons ou discothèques et salles de spectacles, ainsi que dans les lieux privés ouverts à la libre circulation du public».
La Côte d’Ivoire, productrice de cacao, n’est plus dans la catégorie des pays à faibles revenus.
D’après « Le Costume » de Can Themba
Après une reprise du trafic suite à un arrêt de plus de trois mois Schœlcher est encore au service minimum .Avec tous les inconvénients d’un tel service : pas de précision sur les horaires, peu de fréquence, faiblesse des rotations et surtout une durée d’attente importante. La vie quotidienne des usagers ne cesse de se compliquer.
Un projet de loi à l’étude propose d’imposer aux marques de donner ou de recycler leurs invendus, y compris dans le domaine du luxe. Si cette mesure française est adoptée, ce serait une première mondiale dans la lutte contre le gaspillage.
Propos de Christine Angot sur l’esclavage sur France 2 : l’association des amis du général Dumas, organisatrice des commémorations du 10 mai à Paris et Villers-Cotterêts (journée nationale des mémoires de la traite et de l’esclavage) sous le haut patronage du Président de la République, et présidée par l’écrivain Claude Ribbe, dépose plainte contre X pour apologie de réduction en esclavage (article 24 de la loi du 29 juillet 1881).
A l’avant veille des commémorations du 75e anniversaire du Débarquement, la Normandie organise ce mardi 4 et ce mercredi 5 juin la deuxième édition de son forum international pour la Paix. « Il n’y a pas plus légitime que nous (ndlr: pour porter un message de paix) », estime le casque bleu en chef Hervé Morin, « Ce n’est pas par hasard que, à rythme régulier, les grands de ce monde viennent le 6 juin pour célébrer ce qui s’est passé chez nous, ce n’est pas par hasard que nous avons cinq millions de touristes qui viennent chaque année sur les plages du Débarquement au titre du tourisme de mémoire. »
En pleine guerre froide, le Manifeste Russel‐Einstein posait une question existentielle, dont l’urgence résonne avec encore plus d’intensité aujourd’hui. Les armes nucléaires sont des milliers de fois plus meurtrières qu’alors. Plus de 2 500 ogives sont en état d’alerte immédiate. Des agents pathogènes mortels menacent potentiellement la vie telle que nous la connaissons. Alors que de grandes puissances se préparent à déployer des robots tueurs, nous nous trouvons au bord de l’abîme. Moralement, l’éventualité de voir des machines déterminer nos destinées est abjecte. Les dépenses militaires mondiales ont doublé depuis la fin de la guerre froide. Et l’augmentation est appelée à se poursuivre, avec des programmes de modernisation des armes existantes et de développement de nouveaux systèmes de destruction et d’extermination. Dans un contexte de crise climatique, d’inégalités croissantes, d’ultranationalisme et d’érosion des valeurs éthiques, le risque d’une guerre par accident, par incident ou par intention demeure clairement dans le domaine du possible.
À la veille de Noël, le retour imprévu d’un grand-père qu’on croyait mort bouleverse la routine d’une famille d’apparence ordinaire.
L’Observatoire des violences envers les femmes, placé sous l’égide de L’ALEFPA Martinique, et la bibliothèque universitaire vous invitent mercredi 5 juin, 17h30, à une conférence de Mylenn Zobda Zebina et Myriam Thirot intitulée : » Violence et sexualité transactionnelle : le maintien des rapports sociaux de sexe ». La manifestation se tiendra à la BU du campus de Schoelcher (rdc).
La notion de crime contre l’humanité est affirmée dans le décret d’abolition de l’esclavage, le 27 avril 1848 qui qualifie l’esclavage comme un « attentat à la dignité humaine ». Le fait de posséder des esclaves est alors puni de la peine de déchéance de la citoyenneté. Ces dispositions législatives ont été oubliées et la loi Taubira a remis en avant ce concept en 2001. Le procès de Nuremberg a qualifié de crime contre l’humanité, « l’assassinat, l’extermination, la réduction en esclavage, la déportation, et tout autre acte inhumain inspirés par des motifs politiques, philosophiques, raciaux ou religieux et organisés en exécution d’un plan concerté à l’encontre d’un groupe de population civile ».