(A propos de Fin(s) du monde , aux éditions Long cours)
— Par Georges-Henri Léotin —
Fin(s) du monde, tel est le titre du dernier ouvrage de Roger Parsemain. Un titre qui interpelle. A l’oral, quand on entend fin du monde, on peut avoir une petite idée de ce que cela peut vouloir dire, même s’il est difficile de concevoir, d’imaginer ce que c’est que la fin du monde. Et il se trouve maintenant que sur la couverture du livre de Parsemain, il y a un s entre parenthèses après fin, ce qui signifie qu’il pourrait y avoir plusieurs fins du monde ! Quelque part dans l’ouvrage, le lecteur sera éclairé, il découvrira un des sens que ce pluriel peut avoir. Nous vous laisserons découvrir une des significations possibles, de cette fin plurielle.
Nous remarquons que le tout premier poème, présenté comme « envoi », s’intitule L’œil d’éternité, un titre qui contraste avec celui de tout l’ouvrage, si on considère que l’éternité apparait comme étant tout le contraire de la fin du monde. Nous reviendrons sur ce point, mais nous voudrions faire tout d’abord une présentation de l’ensemble de l’ouvrage.

Un chaud effroi
— Le n° 353 de « Révolution Socialiste », journal du G.R.S. —
Avec Rossy de Palma, André Dussollier, Eduardo Noriega
A l’issue des élections européennes qui se sont tenues le 9 juin et suite à la décision du président de la République de dissoudre l’Assemblée Nationale et de convoquer des élections législatives sous trois semaines, l’ensemble des organisations du spectacle vivant et de la culture signataires souhaitent s’exprimer d’une même voix.
— Par Jean-Marie Nol, économiste —
— Collectif —
— Par Michèle Bigot —
— Par
Lancée par
Emmanuel Macron, élu président de la République française en 2017, a rapidement suscité des réactions contrastées parmi les Français. Si certains voyaient en lui un réformateur capable de moderniser la France, d’autres étaient sceptiques, voire hostiles, à son égard. Cette impopularité s’est accentuée avec le temps, en particulier lors de la crise des Gilets Jaunes, marquée par des manifestations violentes et des critiques virulentes à son encontre. Notre présente analyse totalement inédite retrace les moments clés qui ont contribué à l’impopularité de Macron et l’origine de la banalisation orchestrée de l’extrême-droite en France. Mais tout d’abord il faut examiner les réactions qu’il a suscitées au sein de la population française à l’origine de son ire et de son courroux qui explique en partie les actuels évènements potentiellement destructeurs pour les français. Dès le début de son mandat, Emmanuel Macron a été critiqué pour ses déclarations jugées déconnectées de la réalité des Français. Ses « petites phrases », souvent perçues comme arrogantes ou méprisantes, ont alimenté le ressentiment.Parmi les plus célèbres : »Je traverse la rue et je vous trouve un emploi » : Lors d’une rencontre avec un jeune chômeur, Macron suggéra que trouver un emploi était facile, s’il suffisait de chercher.
À deux semaines du premier tour des élections législatives, un collectif de sportifs et sportives français de toutes disciplines s’engage dans une
— Par Sabrina Solar —
Man té di’w
— Par Jean Marie Nol, économiste —
La Flamme arrivera en Martinique le dimanche 16 juin au soir par bateau dans la baie de Fort-de-France, sur le Maxi Banque Populaire skippé par Armel LE CLEACH.
Celui qui croyait au ciel
— Par Jean-Marie-Nol, économiste —
On le sait …
— Par Robert Berrouët-Oriol, l
En cette année 2024, une étape du parcours de la flamme olympique signalera un moment historique pour la Martinique, alors qu’elle s’apprête à accueillir cet emblème de paix et d’unité le 16 juin. Avant de poursuivre son voyage vers Paris pour les Jeux d’été, la flamme illuminera trois lieux emblématiques de l’île : le stade Louis Achille, la Montagne Pelée et le Lycée Victor-Schœlcher de Fort-de-France. Cet événement sera l’occasion pour les enfants de Louis Thomas Achille de rendre hommage à leur aïeul, le professeur Louis Achille, une figure majeure du sport et de la culture en Martinique avant même sa départementalisation en 1946.
Le volet économique du « contrat de législature » du Nouveau Front populaire (NFP) n’est pas véritablement un programme détaillé. On n’y trouve pas de données chiffrées, ce qui peut s’expliquer par la brièveté de la campagne. Toutefois, ce contrat présente diverses actions planifiées selon un calendrier en trois phases : dans les deux premières semaines, les cent premiers jours, et le reste de la législature.
— Par Mireille Jean-Gilles —
Pierre-Jean Samot, figure emblématique de la politique martiniquaise, s’est éteint le 14 juin 2024 au Lamentin, à l’âge de 89 ans. Né le 21 août 1934 à Fort-de-France, il a marqué de son empreinte la commune du Lamentin qu’il a dirigée en tant que maire de 1989 à 2018. Sa carrière politique a commencé sous la houlette de Georges Gratiant, ancien maire du Lamentin, dont il est devenu le premier adjoint en 1983. Cette collaboration a jeté les bases de son engagement politique profond et de son souci constant du bien-être des citoyens.