Lundi 17 novembre à 14h | Mardi 18 novembre 19h à Madiana
Par Hong Sang-Soo Avec Seong-guk Ha, Yoon So-yi, Hae-hyo Kwon
Titre original Geu jayeoni nege mworago hani | 29 octobre 2025 en salle | 1h 48min | Drame
Synopsis
Tout public
Donghwa, un jeune poète de Séoul, conduit sa petite amie Junhee chez ses parents, aux alentours d’Icheon. Émerveillé par la beauté de leur maison nichée dans un jardin vallonné, il y rencontre son père qui l’invite à rester. Au cours d’une journée et d’une nuit, il fait la connaissance de toute la famille et la nature de chacun se révèle.
La presse en parle :
Cahiers du Cinéma par Mathilde Grasset
Nouvel opus d’une filmographie sérielle, où finissent par s’entremêler les situations et les personnages, Ce que cette nature te dit refuse l’aigreur ou l’abandon et accorde à son jeune personnage, en guise de profession de foi aussi humble qu’obstinée, un peu d’équivocité dans l’épaisseur nocturne.
Critikat.com par Marin Gérard
C’est sans doute dans l’ambiguïté finale que se niche la singulière beauté de ce curieux nouveau chapitre.
L’Humanité par La Rédaction
La nature, Hong la filme sans effets, sinon quelques panoramiques et dézooms qui viennent, çà et là, dévoiler une colline ou les branches d’un arbre, ou le flash d’un téléphone pendant une magnifique balade nocturne.

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— Par M’A —
— Par Jean Samblé —
Alors que le débat public français s’enferme dans le pessimisme et les extrêmes, une autre dynamique se dessine ailleurs : celle de la génération Z, qui se mobilise pour la justice sociale et la démocratie. De Hong Kong à Paris, son énergie rappelle celle de Mai 68 – et invite à repenser le changement par le bas.
— Par Sarha Fauré —
— Editorial de Viktor Lazlo, fondatrice du festival —
—Par Patrick Mathelié-Guinlet —
Le sujet humain et la liberté contre la structure.
Race Humaine
Vous avez déjà pu voir ses oeuvres sur les murs de la ville à travers des projets collectifs. Cette fois-ci, Syal, s’expose pour la première fois en solo, avec un commissariat de Medhi Michalon et Kelly Barast et nous ouvre les portes de sa forêt enchantée, au coeur du vivant. Feuilles séchées, fragments de bois, encres végétales et pigments deviennent matière pour recomposer le vivant. Siyonnaj est un carnet de passages, à la manière d’un herbier contemporain où chaque oeuvre est une halte et chaque feuille tombée, une empreinte laissée, l’exposition est à découvrir jusqu’au 26 novembre, au bar l’Insolite à Fort-de-France.
L’Europe entre Poutine et Trump

Quand les économistes s’inquiètent à juste titre de l’évolution négative prévisible de l’économie de la Guadeloupe et de la Martinique ?


La série