— Par Widad Amra —

—Fondation Clément : du 16 Janvier au 3 Mars 2013.—
Par Widad Amra, écrivaine—
Peindre. Peindre. Toujours peindre !
L’attente a duré un temps.
Après Clair de lune, Présence et Absence, Il est mort le soleil, Le jour et la nuit,
L’artiste Mundaray est sur la toile, offrant Trace d’existence.
Après la nuit.
Après l’ambiance lunaire. La lune fantasque tournant la planète. La lune tapie au fond des bois. La lune croissant. Quartier. Demi – lune. Du pays Caracas. Sous le ciel d’Italie. Lune, dans le ciel de Paris. Lune cherchée, trouvée en caresses de nuit, en quête de l’idéal.
Après les arbres s’élevant dans le ciel et le noir. Puisant la force du blanc et de l’ocre discret.
Après le noir, complice de nuit et pas de deuil. La nuit, le temps du rêve. Le temps de l’âme en cavalcade. La nuit, pleine de mystères nombreux dans les sous bois.
Après les sous bois d’où surgiront les fantasmes en chaussures rouges, bleu nuit. D’où surgira la femme invisible, glissant le pied , dans le cadeau offert.


Il y a au moins deux manières de concevoir l’esthétique. D’un côté on peut voir dans l’esthétique une théorie de l’art, un domaine du savoir s’interrogeant sur les conditions de production et de réception de l’œuvre d’art. D’un autre côté, la notion d’esthétique peut renvoyer à l’ensemble des idées à partir desquels un artiste ou un groupe d’artistes exprime leur conception de l’art.
Les résultats provisoires de l’étude sur le recensement de 2008 menée par Maks Banens et Éric Le Penven montrent une concentration des couples de même sexe dans les villes ; plus celles-ci sont importantes, plus le pourcentage de couples homosexuels est élevé. Dans l’agglomération parisienne, 7,4 couples sur 1.000 sont de même sexe, soit 19.000 couples. À Paris intra-muros, 2,4 % des couples sont homosexuels. Plus la ville est petite et moins le pourcentage de couples homosexuels est élevé. Avec des exceptions. Comme à Montpellier où, pour 1.000 couples, 6,8 sont de même sexe. « Pour les couples de lesbiennes, Montpellier est la première ville de France », relève Maks Banens, avec 2,7 couples de femmes pour 1.000, contre 2,4 pour 1.000 à Paris.










Si Platon a écrit toute sa philosophie sous la forme de dialogues, transformer ce théâtre des idées en spectacle vivant impose une véritable épreuve dramatique. Derrière chaque mot, le metteur en scène doit déceler (ou inventer) une intention, une situation, des non-dits… Bref, élaborer le sous-texte qui, sur scène, en dit plus long que les paroles échangées ; cet ensemble de signes qu’on appelle théâtralité. Au contraire, s’en remettre aux seules idées philosophiques, se réfugier derrière la force (si grande soit-elle) des sujets traités par Platon, c’est renoncer à tout projet véritablement scénique, et condamner le spectateur au plus opaque des ennuis.

Poursuivi pour injures raciales par un collectif antillais, l’humoriste Nicolas Bedos s’est déclaré « peiné que des gens n’arrivent pas à comprendre le degré zéro du second degré », mercredi 9 janvier sur France info. « Il faut apprendre à lire un papier qui est l’inverse exactement de ce qu’ils ont compris. Cela me fait de la peine que des gens n’arrivent pas à comprendre le degré zéro du second degré », s’est insurgé l’humoriste, assurant qu’il a écrit « une satire du touriste gros con facho qui vient justement dans les îles pour se dorer la couenne ».


