
Le nouvel album de Mizikopéyi, « Jazz créole », est maintenant disponible sur les plates-formes digitales. Il vous est aussi possible de le commander (paiement Paypal) sur le site www.tonychasseur.com, rubrique « La Boutik Mizik ».
L’album physique sera disponible lors des concerts de Mizikopéyi, le 18 mai au festival Terre de Blues à Marie-Galante, le 19 mai au Lamentin Jazz project en Martinique.
Ce nouvel album regroupe des titres issus des deux précédents albums. C’est donc une sorte de compilation dont le but est d’exposer plus clairement pour les festivals cette nouvelle démarche orientée « Jazz créole » du big band.
Trois titres inédits, 5 titres remaniés pour coller à la nouvelle démarche, 4 titres qui n’ont aucune modification par rapport aux Cds précédents. Les modifications sont indiquées sur le verso du CD (voir visuel ci-dessous), à la suite du titre.
Tout ce qui est indiqué « 2013 » est donc soit nouveau, soit modifié (concernant « Flè bò kay », même si ce n’est pas indiqué « 2013 », le son a été refait pour un son plus réaliste avec ce que Tony est aujourd’hui vocalement).

— 




Le 4 avril, dans un communiqué de presse annonçant l’engagement du gouvernement en faveur du jeu vidéo, les ministres Fleur Pellerin, Aurélie Filippetti et Arnaud Montebourg y soulignaient l’importance de ce secteur pour l’avenir et l’image de la France. J’ai été envahie par un sentiment de colère, d’injustice. En effet, je me débats depuis plusieurs mois pour tenter d’enrayer la glissade de mon fils de 16 ans vers l’addiction. Nous avons tout essayé : logiciel de contrôle parental, mise sous clé de tous les ordinateurs de la maison, dialogue, sanctions, négociations, vacances dans le désert, présentation des formations supérieures liées au numérique, mais rien n’y a fait. Peu à peu, le jeu a pris toute la place. Aujourd’hui, mon fils est piégé, de manière bien banale. Rien à voir avec les cas qui font la une de l’actualité comme ces jeunes parents coréens qui ont laissé mourir de faim leur bébé en 2010, comme les hikikomori qui se laissent mourir de soif au Japon ou encore les adolescents américains qui ne font plus le distinguo entre leurs jeux et le réel et fusillent leurs proches ou des inconnus.
















