L’ONG Walk Free publie ce jeudi un classement des pays pratiquant l’esclavage moderne, crime méconnu et multiforme.
Travail forcé, enfants vendus, jeunes femmes mariées de force, servitude pour dette, enfants soldats… L’esclavage existe encore. Dans sa version dite «moderne», il concerne près 30 millions de personnes dans le monde, selon une enquête d’une nouvelle ONG basée en Australie, Walk Free. Cet esclavage aux formes multiples est mal connu, pas toujours facile à identifier et encore moins à mesurer. Il demeure loin des regards, derrière les murs des maisons, des communautés, des usines. C’est un crime caché. Mais toutes ses victimes, souligne l’ONG, ont en commun d’être «utilisées et dominées par quelqu’un d’autre pour en tirer profit, exploitation sexuelle ou simple jouissance de domination».
C’est la première fois que cette organisation publie un classement des pays en fonction de la «prévalence de l’esclavage». L’indice a été établi en combinant trois facteurs : la prévalence estimée de l’esclavage dans chaque pays rapporté à sa population, le mariage des enfants, et les données relatives au trafic d’êtres humains.
En rouge, les pays où l’esclavage est le plus répandu.

Monsieur le Ministre Manuel Valls,
De la création d’un ministère de l’identité nationale et de l’immigration, en passant par les nationalités révocables et le bannissement collectif des Rom, se dessine en France un effondrement éthique d’une ampleur sidérante.
Avec 38 morts, la Guadeloupe détient le taux le plus important d’homicides en France volant ainsi le titre à la Corse et Marseille. Un bien triste record qui a ses particularités locales tant dans les origines que dans la forme
Notre Martinique est actuellement dans une période charnière.
Si nous acceptons que le poème épique Espejo de paciencia ait été écrit en 1608 et qu’il soit la première œuvre littéraire écrite à Cuba, avec un thème local, notre premier héros créole était un noir, Salvador Golomon, le nom de celui qui a tué le pirate (ou boucanier) français Gilberto Girón, qui avait séquestré l´évêque de la ville de Bayamo. L´auteur de Espejo de paciencia, le Canarien Silvestre de Balboa, appelle Salvador « un créole noir honnête » et « un Éthiopien digne de louange ».
Pendant trois semaines, ils ont passé au peigne fin un cargo suspecté de transporter de la cocaïne au milieu de sa cargaison de 4000 kilos de bananes.
«Du plus lointain que je me souvienne, j’ai toujours eu un côté Jeanne d’Arc, confie Carla, 50 ans. Je voulais sauver ma propre mère de son enfance malheureuse qui me choquait tant lorsqu’elle me la racontait, la réconforter d’avoir sacrifié sa vie pour mes sœurs et moi… J’étais comme totalement prise dans cette lignée de femmes “sur-responsables” de la santé et du bien-être des autres.»
Exposition de Peintures et Film
Inspiré par la diversité de son pays, le percussionniste et compositeur Mulatu Astatké publie Sketches Of Ethiopia. Un disque éclectique et charmeur dont le groove contagieux doit autant au jazz qu’à la tradition tribale.
Le niveau des élèves français est en baisse dans l’enquête Pisa 2012 qui sera dévoilée en décembre, a indiqué le ministre jeudi soir. Selon lui, les réformes en cours permettront d’inverser la tendance.
« Coup de pub gore d’American Apparel »
Certaines situations humaines nous instruisent sur la complexité non apparente des notions de mémoire, de réparation, de souffrance et de deuil. L’histoire du massacre d’Oradour-sur-Glane pourrait servir de paradigme en la matière.
La première rencontre d’Astrid-Maria Ravaud avec la musique classique remonte à l’âge où d’autres jouent à la poupée. Elle présentera un programme d’œuvres variées, allant du style baroque au contemporain, en passant par le classique et le romantique.
Les signaux envoyés depuis de longues années par l’Éducation nationale sur le thème de la notation auraient donc eu raison du principe même d’évaluation? Telle est la conclusion d’un
Au nom de la collectivité régionale,
Invité par l’équipe de Matnik Solid (Plan d’actions pour le développement de la Martinique).M. Paul Ariès a donné une conférence devant une salle comble.
Le naufrage qui, le jeudi 3 octobre, a couté la vie à 350 personnes près des côtes de ‘l’île italienne de Lampedusa a provoqué une émotion planétaire parce que, cette fois là, le drame a connu une très forte médiatisation. Mais ce n’est, hélas, que l’un des tristes épisodes du fléau quotidien qui décime les désespérés des boat peoples. En vingt ans, ce ne sont pas moins de 20.000 migrants qui ont péri en tentant de gagner les rivages de l’Europe. Chaque année, à l’échelle mondiale, des centaines de milliers de personnes*, en quête de moyen de survie ou fuyant des zones de conflit, victimes d’une véritable traite organisée pas des maffias, abandonnent leur pays dans des conditions impensables d’insécurité. C’est ainsi que des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants périssent quotidiennement de manière atroce.
La voici donc enfin cette Palme d’or décernée le 26 mai à l’unanimité du jury présidé par Steven Spielberg après cinq minutes à peine de délibération. Que l’attente fut longue, émaillée d’interviews, de polémiques et autres déclarations fracassantes! La voici donc, cette Vie d’Adèle, chapitres 1 et 2. Qu’on se rassure : ce joyau cinématographique n’a rien perdu de son éclat cannois.

—Dossier de presse de la 7ème édition —