— Présentation de l’éditeur —
Delphine de Vigan est romancière. Elle est notamment l’auteur de No et moi, Prix des Libraires 2008, adapté au cinéma par Zabou Breitman, des Heures souterraines (2009), adapté pour Arte par Philippe Harel, et de Rien ne s’oppose à la nuit (2011), Prix Fnac, Grand prix des lectrices de Elle et Prix Renaudot des lycéens. Ses livres sont traduits dans le monde entier
« Ce livre est le récit de ma rencontre avec L.L. est le cauchemar de tout écrivain. Ou plutôt le genre de personne qu’un écrivain ne devrait jamais rencontrer. »
Dans ce roman, Delphine de Vigan raconte l’histoire d’une amitié. Séduction, dépression et trahison sont les trois temps de ce récit qui entraîne le lecteur dans les coulisses de la création, là où le doute, les apparences et les faux-semblants tendent un piège redoutable. Qui est le maître du jeu ?
« D’après une histoire vraie » : Delphine de Vigan signe un roman hitchcockien
— Par Anne Brigaudeau —
Comment est-il, le nouveau Delphine de Vigan ? Haletant. Après quatre ans de silence et l’écrasant succès de « Rien ne s’oppose à la nuit » sur sa mère bipolaire, la romancière publie « D’après une histoire vraie ».

Chaque édition du Festival de Théâtre de La Havane organise des moments dédiés aux conférences magistrales, aux espaces théoriques et aux ateliers. Cette année, l’art de la mise en scène est le point de départ pour repenser les manières de faire du théâtre dans notre pays ainsi que les nouvelles tendances et les reconfigurations de l’art des planches dans l’actualité.
Avant les dernières municipales, on n’avait jamais entendu parler de Saillans. Depuis qu’une liste « collégiale », sans tête désignée jusqu’à son dépôt officiel, a remporté le scrutin, ce petit bourg de la Drôme est devenu la capitale de la démocratie participative.
INTERVIEW – Pour le philosophe Damien Le Guay, auteur de La face cachée d’Halloween, la fête anglo-saxonne a perdu en France son aspect familial et «bon enfant» pour ne devenir qu’un prétexte commercial.
Il est bien loin le temps où le maire d’une commune pouvait régner en autocrate sur son domaine. Ce temps où la population était contrainte d’afficher ou de simuler sa soumission aux autorités en place, ce temps où les opposants étaient honteusement persécutés, ce temps où les élus roitelets contraignaient les employés municipaux à être, en premier lieu, des rabatteurs électoraux où, pire, des exécuteurs de basses œuvres.
Proposer une histoire de la liberté sous la forme d’un abécédaire : c’est le pari d’une équipe de chercheurs de l’université de Strasbourg. Le lecteur se promène de l’Antiquité au siècle des Lumières en passant par notre modernité.
Belle soirée de lecture théâtrale et littéraire le 29/10/2015 à Tropiques-Atrium.
Du GONG à l’UPLG, en passant par divers succédanés de la mouvance indépendantiste, « l’abstention révolutionnaire » résuma un positionnement à l’égard de la nation française. Les élections, singulièrement les présidentielles et les législatives n’étaient que l’occasion de montrer symboliquement que nous n’en sommes pas, tout en vaquant par ailleurs à nos occupations civiles, professionnelles ou autres, de ressortissants français. Nous ne pouvions faire comme si nous vivions dans un pays indépendant, sous une autorité politique propre, comme conservée sous cloche. Aucun syndicaliste ou démocrate, fût-il du plus pur nationalisme, n’hésitait à s’appuyer sur certains dispositifs législatifs français, tant qu’ils garantissaient les droits du salarié, certaines libertés démocratiques, les Droits Humains en général. Parce qu’à l’intérieur de ces dispositifs se trouvaient les fruits de la lutte des classes laborieuses d’ici et de France.
Les 5 et 6 Novembre, à l’Institut Martiniquais du Sport, Mangot Vulcin, le Lamentin.
Raef Badaoui a obtenu jeudi le prix Sakharov pour la liberté d’expression, décerné par le Parlement européen, selon des sources parlementaires. Animateur du site internet Liberal Saudi Network, Raef Badaoui a été choisi par les chefs de file des groupes politiques du Parlement comme lauréat 2015 de cette prestigieuse récompense, parfois considérée comme l’équivalent européen du prix Nobel de la paix. Raef Badaoui a été préféré aux deux autres nominés pour ce prix : une coalition d’opposants politiques au Venezuela et l’opposant russe assassiné Boris Nemtsov – dont le nom avait été présenté à titre posthume.
OBJET DU CONCOURS
Grâce au soutien de Johanna Fernandez(*), qui depuis de nombreuses années rend visite à Mumia Abu Jamal, un nouvelle ouvrage vient compléter la liste déjà longue que constitue les essais, articles et autres commentaires publiés par Mumia Abu Jamal, depuis le couloir de la mort ou la prison, plus simplement.
Le bruit en général et les bruits de voisinage constituent les principales sources de conflit dans les communes. Pour lutter contre ce fléau, les textes ne manquent pas, encore faut- il que les autorités administratives les utilisent de manière appropriée afin de prévenir, diminuer ou faire cesser les nuisances sonores provoquées par des tiers.
La grande manifestation de célébration de la Journée internationale de la langue et de la Culture créoles organisée par l’association « Tous Créoles ! » a tenu toutes ses promesses dimanche dernier 25 octobre à Rivière-Pilote.
La consommation de viande transformée mais aussi probablement celle de viande rouge augmentent les risques de cancer, selon une étude du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) dont les résultats ont été publiés lundi.
Déjapouyonn, kwéyol sé an zouti ki ka sèvi nou pou lyennen épi anlo moun ka palé’y oliron latè : sépa selman Matnik, Gwadloup épi Giyan étila yo ka palé kwéyol, ni plis di 9 milyon moun ka palé kwéyol bokoté nou kon tel Ayti étila kwéyol sé lang ofisyel, Sentlysi, Dominik ki paka palé fwansé. Plilwen nou ni Lareynyion, Moris épi Séchel. Nou ka konpwann ki kwéyol sépa lang an réjyon Lafwans selman, sépa an lang réjyonal sé an lang ki minoritè pis pa ni anpil moun ka palè’y atè Lafwans .
Selon la loi QUILLIOT (1982) qui fait du droit à l’habitation, un droit fondamental consacré quelques années plus tard par la loi BESSON de 1990 (‘’Garantir le droit au logement constitue un devoir de solidarité pour l’ensemble de la nation ‘’), le droit au logement est tenu en échec, la construction de logements sociaux en Martinique est inexistante, mais les profits de 20 % du chiffre d’affaire de nos bailleurs sociaux est bien réel !!!