Refonder la culture créole , c’est aujourd’hui adhérer à une nouvelle vision du social et de l’économie , mais c’est là un exercice certes abscons mais néanmoins indispensable à mener pour les jeunes générations de guadeloupéens et martiniquais. L’orientation dans la vie d’une identité culturelle n’est pas un chemin linéaire ; sans retour ni détour. Mais une identité ne serait pas une chose anodine, peut-on entendre dans la bouche de certains penseurs Antillais comme Édouard Glissant. «En Thérapie», elle charrierait avec elle une certaine vision du monde.
La crise morale que vit la Guadeloupe et la Martinique aujourd’hui est d’abord une crise de la culture créole avant que d’être une crise d’adaptation au monde technologique. La primauté des politiques sociales menées depuis plus de cinquante ans de départementalisation , mettant à l’écart la dimension culturelle propice au développement économique , doit conduire à une réflexion en profondeur tendant à donner une nouvelle impulsion au patrimoine culturel local dans la vie publique, privée et professionnelle. Il s’agit de se penser en guadeloupéen ou en martiniquais , mais en identifiant l’intérêt de son pays à celui de la France hexagonale.



Dans le temps immémorial quand tu t’appelais Yassama, tu n’avais pas de mari, parce que si un homme épousait une fille du nom de « Yassama », il devait mourir le jour même du décès du père de Yassama.
Dans son article «
Les résultats de cette étude israélienne démontrent « l’efficacité d’un vaccin contre le Covid-19 », assurent les laboratoires Pfizer et BioNTech.
Il était une fois un vieil homme et Yogourou, le Renard pâle. Ils étaient de bons amis. Chaque fois qu’ils se rencontraient, Yogourou prédisait l’avenir de quelques personnes du village.
Sao Paulo – Le Brésil a battu mardi son record journalier de décès du Covid-19, avec 1.972 décès officiellement signalés, sans aucun signe de ralentissement de la pandémie dans un pays où le système hospitalier est débordé et où la vaccination progresse lentement.
Il était une fois une femme qui n’avait pas eu de garçon. Dieu ne lui a pas donné de garçon et elle est en quête d’un garçon.
Et le scandale est encore plus grand car la majorité, jusque là silencieuse, ne réagit pas massivement contre un groupuscule dont le travail de sape de notre société se poursuit depuis près de quarante ans afin d’instaurer ses terribles valeurs.
Depuis décembre 2018, notre groupe Ba Peyi-a An chans n’a cessé d’alerter la classe politique et la population sur les dérives de la gouvernance actuellement à la tête de l’Université des Antilles ! Lors d’une conférence de presse, nous pointions déjà du doigt :
Présentation

Suite à une forte crise politique, une petite île vit une rupture systémique avec les PK, grands producteurs et distributeurs alimentaires jusqu’alors détenteurs du monopole économique local. Mais au beau milieu de cette restructuration sociétale et en pleine aire de changement climatique, les populations les plus vulnérables se voient fortement affectées.
Victor Hugo rencontre plusieurs fois le spectacle de la guillotine et s’indigne de ce que la société se permet de faire de sang-froid ce qu’elle reproche à l’accusé d’avoir fait. C’est au lendemain d’une traversée de la place de l’Hôtel-de-Ville où le bourreau graissait la guillotine en prévision de l’exécution prévue le soir même que Victor Hugo se lance dans l’écriture du Dernier Jour d’un condamné qu’il achève très rapidement2. Le livre est édité en février 1829 par l’éditeur Charles Gosselin mais sans nom d’auteur. Ce n’est que trois ans plus tard, le 15 mars 1832, que Victor Hugo complète son roman par une longue préface qu’il signe de son nom.
Cyrilia, j’ai dit bonjour !
MOI KADHAFI !
Texte original en anglais traduit en français par Adélaïde Pralon
Avec Nguyen Phuong Tra My, Tran Nu Yên Khê, Mai Thu Huong