— Par Pierre Alex Marie-Anne —
La prise à partie de journalistes et la détérioration de leur matériel professionnel qui ont eu lieu à l’occasion des festivités du 22 Mai ont soulevé l’indignation générale et une vague de protestations émanant des milieux les plus divers ; de tels faits, assurément délictueux, sont inadmissibles en Démocratie et mettent en péril la liberté d’expression qui en constitue la base. Sans aller jusqu’à considérer, comme certain personnage infatué de lui-même, que “leur personne est sacrée “, les journalistes agressés sont pleinement fondés à requérir des autorités publiques la protection qui leur est due du fait de la mission d’information, essentielle au bon fonctionnement de la société, qui leur incombe. Cela n’est pas discutable mais implique en retour une contrepartie incontournable : le respect scrupuleux par les intéressés des règles déontologiques garantissant à tout citoyen l’accès à une information, pluraliste et objective de qualité . Ce n’est malheureusement pas toujours le cas et force est de constater la multiplication de manquements caractérisés à ces règles élémentaires dont se rendent coupables certains journalistes dans l’exercice de leur activité professionnelle; interviews orientées, présentations biaisées, commentaires approximatifs voire tendancieux fourmillent, quant il ne s’agit pas tout simplement, sous-couvert de rétrospectives historiques, dites de “ mémoires sensibles”, de grossières manipulations; l’affaire de l’OJAM, déclinée en de multiples épisodes, à la veille d’élections territoriales majeures, en est une parfaite illustration.

Tous nos lieux de culture peuvent désormais ouvrir leurs portes au public tant en Martinique que sur tout le territoire national. Comme l’a souhaitée la Ministre de la culture, cette réouverture concerne l’ensemble des lieux culturels : des cinémas aux musées, en passant par les salles de spectacle vivant, les galeries d’art, les monuments, les bibliothèques ou les lieux d’enseignement artistique.
— Par Mapie, membre de Culture Égalité —
Louis Delgrès, né le 2 août 1766, à Saint-Pierre en Martinique, et mort le 28 mai 1802 (à 35 ans), à Matouba (commune de Saint-Claude) en Guadeloupe, est une personnalité de l’histoire de la Guadeloupe. Colonel d’infanterie des forces armées de la Basse-Terre, abolitionniste, il est connu pour la proclamation anti-esclavagistes signée de son nom, datée du 10 mai 1802, haut fait de la résistance de la Guadeloupe aux troupes napoléoniennes
Selon une étude de l’Insee, les ménages consacrent 11% de leur revenu disponible à la voiture. La part totale allouée aux transports est de 13,6% en 2017, en baisse constante depuis 2005. 81% de ces dépenses de transports passent donc dans la voiture (et les deux-roues motorisés).
Face aux agressions et menaces verbales sur les journalistes de Martinique la 1ère et 

Karine Jean-Pierre, est également devenue la première femme ouvertement homosexuelle à prendre place, face aux journalistes, sur l’estrade de la « Salle de presse James S. Brady »
(Questionnaire du critique littéraire Dan Burcea)
Paris – Avec un tiers du gouvernement dans la bataille, Emmanuel Macron entend nationaliser le scrutin des régionales de juin, en visant la droite et 2022, tout en minimisant la portée des résultats de ces élections bien délicates pour la majorité.
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Légende du trombinoscope :
Et le voici, le voilà, le joli mois de Mai, celui des bourgeons, du renouveau, de la promesse, de l’espoir… !
Washington – La famille de George Floyd a appelé mardi le Congrès américain à « protéger les personnes de couleur » en votant une loi de réforme de la police, après une rencontre hautement symbolique avec le président Joe Biden à la Maison Blanche un an après la mort du quadragénaire afro-américain sous le genou d’un policier blanc.
Paris – Jean Castex a annoncé mardi qu’il missionnait deux députés afin de « tirer toutes les conséquences » de la décision controversée du Conseil constitutionnel de censurer « l’enseignement immersif » en langues régionales, voté dans le cadre d’une proposition de loi à l’Assemblée.
— Par
Cette extension des horaires d’ouverture doit bénéficier à toutes les femmes françaises,
Marti
Les artistes cubains Tania Bruguera, Sandra Ceballos et Tomas Sanchez ont demandé, lundi 24 mai, le retrait de leurs œuvres du musée national des Beaux-Arts, en solidarité avec un dissident hospitalisé depuis trois semaines dans un hôpital de La Havane, sans communication avec l’extérieur. Dans une lettre ouverte adressée au directeur du musée et publiée sur Facebook, ils se disent