— Par Florent Grabin, Président de l’Association Écologique P.U.M.A. —
 Nous avons été alertés par des sympathisants qui nous ont invités à écouter pour comprendre l’interview d’un des Avocats sur une télévision privée, qui lui sert de prétoire pour développer sur le fond du dossier Chlordécone, cette opération d’écoute n’a pas été de tout repos, car cet invité tentait de développer son argumentaire tout en étant très agité du bocal, ce qui fait qu’il glissait régulièrement sur des peaux de banane.
Nous avons été alertés par des sympathisants qui nous ont invités à écouter pour comprendre l’interview d’un des Avocats sur une télévision privée, qui lui sert de prétoire pour développer sur le fond du dossier Chlordécone, cette opération d’écoute n’a pas été de tout repos, car cet invité tentait de développer son argumentaire tout en étant très agité du bocal, ce qui fait qu’il glissait régulièrement sur des peaux de banane.
Arrêtons-nous aux points les plus importants de son argumentaire de défense.
Sur la question de la prescription il campe toujours sur différents comparatifs qui n’ont rien à voir, ni de près, ni de loin, avec le délai, le qualificatif de son recours qui inévitablement abouti à la prescription et au non-lieu. Il tente de faire du juridisme qui aura pour épilogue la confirmation du rejet de sa procédure. Confiant, il tente de mettre la pression sur la justice en faisant appel à la population qui n’accepte pas cet appel.
Concernant son argument sur le fait que selon le Registre des Cancers de Martinique, il y aurait plus de cancer de la prostate dans le Sud, que dans le Nord ou la pollution est plus importante, prenant à témoin le Professeur Dominique BELPOMME, là encore il glisse sur une peau de banane.

 Le scrutin organisé par la CTM a rendu son verdict. 26.633 martiniquais ont voté pour choisir leur pavillon. Ils avaient le choix entre deux variations rouge-vert-noir issues d’un premier tour rocambolesque. D’un côté le symbole originel des mouvements activistes popularisé notamment par Garcin Malsa, de l’autre un colibri noir sur trois bandes obliques. Et c’est cette dernière version qui a remporté les suffrages.
Le scrutin organisé par la CTM a rendu son verdict. 26.633 martiniquais ont voté pour choisir leur pavillon. Ils avaient le choix entre deux variations rouge-vert-noir issues d’un premier tour rocambolesque. D’un côté le symbole originel des mouvements activistes popularisé notamment par Garcin Malsa, de l’autre un colibri noir sur trois bandes obliques. Et c’est cette dernière version qui a remporté les suffrages. La CTM a validé « son » drapeau dans une apparente indifférence au regard du peu de participants au vote dans la tradition du bourrage d’urne version revisitée. Seuls quelques courageux contestent timidement. Qui les couleurs qui ne sont pas une surprise dès lors qu’elles étaient dans le cahier des charges, qui l’absence de génie créatif de par la récupération d’un colibri dans une banque de données graphiques et qui la symbolique dans laquelle certains voient une capacité de notre colibri à faire du sur place, voire à faire marche arrière.
La CTM a validé « son » drapeau dans une apparente indifférence au regard du peu de participants au vote dans la tradition du bourrage d’urne version revisitée. Seuls quelques courageux contestent timidement. Qui les couleurs qui ne sont pas une surprise dès lors qu’elles étaient dans le cahier des charges, qui l’absence de génie créatif de par la récupération d’un colibri dans une banque de données graphiques et qui la symbolique dans laquelle certains voient une capacité de notre colibri à faire du sur place, voire à faire marche arrière.
 Avec un écart de 24 % entre la retraite moyenne d’une femme et celle d’un homme, l’inégalité est claire à l’heure actuelle. Et elle pourrait empirer avec la réforme des retraites à venir.
Avec un écart de 24 % entre la retraite moyenne d’une femme et celle d’un homme, l’inégalité est claire à l’heure actuelle. Et elle pourrait empirer avec la réforme des retraites à venir. Par Albert Serra, Baptiste Pinteaux
Par Albert Serra, Baptiste Pinteaux Il suffit d’avoir été au moins une fois, une seule, en présence d’une œuvre qui nous a marqués ou bouleversés pour nous être posé la question : l’art change-t-il la vie ? Le livre de
Il suffit d’avoir été au moins une fois, une seule, en présence d’une œuvre qui nous a marqués ou bouleversés pour nous être posé la question : l’art change-t-il la vie ? Le livre de 
 BALISAILLE, en partenariat avec la Ville du Saint-Esprit, se réjouit d‘accueillir en Martinique du 16 au 30 janvier 2023 l’écrivain haïtien Lyonel TROUILLOT.
BALISAILLE, en partenariat avec la Ville du Saint-Esprit, se réjouit d‘accueillir en Martinique du 16 au 30 janvier 2023 l’écrivain haïtien Lyonel TROUILLOT. 
 Depuis le 23 novembre, des danseurs et chanteurs lyriques participent à ce projet d’ateliers lancé un mois plus tôt. Une opération qui entend favoriser les talents sur ce territoire et, à long terme, la diversité au sein de la vénérable institution.
Depuis le 23 novembre, des danseurs et chanteurs lyriques participent à ce projet d’ateliers lancé un mois plus tôt. Une opération qui entend favoriser les talents sur ce territoire et, à long terme, la diversité au sein de la vénérable institution. C’était l’une des légendes du rock. Le guitariste Jeff Beck, devenu célèbre avec The Yardbirds, groupe de rock des années 1960, est mort mardi 10 janvier à l’âge de 78 ans, a annoncé sa famille mercredi soir dans un communiqué. « Après avoir soudainement contracté une méningite bactérienne, il est décédé paisiblement », est-il également expliqué sur le compte Twitter du musicien.
C’était l’une des légendes du rock. Le guitariste Jeff Beck, devenu célèbre avec The Yardbirds, groupe de rock des années 1960, est mort mardi 10 janvier à l’âge de 78 ans, a annoncé sa famille mercredi soir dans un communiqué. « Après avoir soudainement contracté une méningite bactérienne, il est décédé paisiblement », est-il également expliqué sur le compte Twitter du musicien. Inutile de feindre la surprise
Inutile de feindre la surprise 
 Dans le remarquable article de
Dans le remarquable article de  Les multiples plaintes pour
Les multiples plaintes pour  Atouts indéniables pour le contrôle des routes commerciales et les jeux de pouvoirs qui leur sont corollaires, les outre-mer restent perçus comme des étrangetés périphériques, plus ou moins éloignées et exotiques.
Atouts indéniables pour le contrôle des routes commerciales et les jeux de pouvoirs qui leur sont corollaires, les outre-mer restent perçus comme des étrangetés périphériques, plus ou moins éloignées et exotiques. Par Dmytro Sukholytkyy-Sobchuk
Par Dmytro Sukholytkyy-Sobchuk De Pier Paolo Pasolini
De Pier Paolo Pasolini Par Ali Asgari, Alireza Khatami
Par Ali Asgari, Alireza Khatami Par Hlynur Pálmason
Par Hlynur Pálmason
 « Certes, la responsabilité relève de ceux qui exercent un pouvoir. Mais elle est aussi la nôtre, quel que soit notre degré d’insertion sociale et plus encore, si, hommes de culture, nous avons pour vocation la formation d’une conscience et d’une volonté publiques pour que les pouvoirs soient mis en condition de servir l’intérêt général, de défendre le bien commun et d’affirmer le rayonnement international de l’Algérie »
« Certes, la responsabilité relève de ceux qui exercent un pouvoir. Mais elle est aussi la nôtre, quel que soit notre degré d’insertion sociale et plus encore, si, hommes de culture, nous avons pour vocation la formation d’une conscience et d’une volonté publiques pour que les pouvoirs soient mis en condition de servir l’intérêt général, de défendre le bien commun et d’affirmer le rayonnement international de l’Algérie » L’Église d’Angleterre a présenté mardi ses excuses pour les liens passés avec l’esclavage d’un organisme financier qui lui est lié, aujourd’hui engagé dans un vaste processus de dédommagement des communautés victimes. «Je suis profondément désolé», a réagi l’archevêque de Canterbury Justin Welby, le chef spirituel de l’Église anglicane. «Le temps est venu de prendre des mesures en réponse à ce passé honteux».
L’Église d’Angleterre a présenté mardi ses excuses pour les liens passés avec l’esclavage d’un organisme financier qui lui est lié, aujourd’hui engagé dans un vaste processus de dédommagement des communautés victimes. «Je suis profondément désolé», a réagi l’archevêque de Canterbury Justin Welby, le chef spirituel de l’Église anglicane. «Le temps est venu de prendre des mesures en réponse à ce passé honteux». Santé, énergie, enthousiasme : dans notre belle île de Martinique, voilà bien-sûr les souhaits personnels à adresser à chacune et à chacun pour cette année nouvelle.
Santé, énergie, enthousiasme : dans notre belle île de Martinique, voilà bien-sûr les souhaits personnels à adresser à chacune et à chacun pour cette année nouvelle.