
Le plus grand festival du cinéma d’Afrique, le Fespaco, s’est ouvert samedi à Ouagadougou en présence du premier ministre du Mali, pays invité d’honneur et secoué comme le Burkina Faso par la violence jihadiste. «Le Mali et le Burkina Faso sont deux pays frères» qui «sont confrontés aujourd’hui, comme vous le savez, à un défi sécuritaire. Notre combat pour la paix et la souveraineté demeure la priorité», a affirmé Choguel Kokalla Maïga, très applaudi.
Le Burkina et le Mali sont dirigés par des militaires putschistes. «Nos deux pays sont ensemble, au coude à coude, face à l’hydre terroriste», a ajouté Choguel Maïga. Dans ce contexte, la culture a un «rôle avant-gardiste à jouer dans le processus de paix», a-t-il fait valoir.
Sur une immense scène, une soixantaine de danseurs ont mimé des combats sur les rythmes guerriers de plusieurs tambours. L’animatrice de la cérémonie d’ouverture a expliqué que la chorégraphie voulait montrer le «courage et la bravoure» de la jeunesse burkinabè face au djihadisme.
La performance, intitulée «20 millions de VDP» (Volontaires pour la défense de la patrie, supplétifs civils de l’armée), fait référence au nombre d’habitants du Burkina qui compte environ 22 millions d’habitants.

Frantz Fanon (1925-1961), psychiatre d’origine martiniquaise, bâtit en quelques livres une œuvre révolutionnaire dans laquelle il s’applique à décrire le système colonial et ses conséquences inévitables : le racisme et l’aliénation qu’il engendre. Mais il va aussi s’engager très concrètement, en Algérie. Rejetant toute forme d’obscurantisme, il entend défendre une Afrique libre, socialiste, démocratique et laïque. Son ambition ? Ni plus ni moins que forger un nouvel humanisme, assumant les traditions locales comme la boussole universaliste, récusant tout impérialisme et permettant à tous de s’épanouir librement.
Dix-neuf films pour un seul Ours d’or : le jury de la 73e Berlinale, présidé par la star américaine Kristen Stewart, a dévoilé ce samedi soir son palmarès. C’est le documentariste français Nicolas Philibert qui a séduit les jurés avec son documentaire
Par Nicolas Philibert
Tropiques Atrium Scène nationale vous invite à ce nouveau rendez-vous des arts en mars.
À la fois, danseuse, chanteuse, tambouyé, Stella Gonis voue sa vie au bèlè. En quelques années, elle en est devenue une référence. Sa voix puissante alliée à une forte présence scénique font d’elle l’une de ses plus dignes représentantes. Joueuse de tambour, chanteuse, danseuse, Stella Gonis est une femme bèlè. Elle fait voyager ce rythme typiquement martiniquais dans le monde avec succès.
— Par Michel Pennetier —
Qu’est-ce que l’indice des prix à la consommation (IPC) ? À quoi correspond t-il exactement ? Quelle est son utilité ? 
Par Steven Spielberg, Tony Kushner
Dans ce nouveau numéro de WE DEMAIN,
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C’est l’appel lancé par l’intersyndicale en Martinique avec ses dix centrales que sont la CDMT, la CFE-CGC, la CFDT, la CFTC, la CGTM, la CGTM-FSM, la CSTM, FO, la FSU et L’UNSA.
Le sujet suscite de nombreux débats, à l’heure où l’hôpital public manque cruellement de personnel. Faut-il maintenir l’obligation vaccinale contre le Covid-19 pour les soignants ? La Haute autorité de santé (HAS), dont les avis sont normalement suivi par le gouvernement, a ouvert la voie à la fin de cet impératif, lundi 20 février, réservant toutefois son avis définitif pour fin mars.
Le long-métrage « À l’Ouest, rien de nouveau », adaptation du célèbre roman pacifiste d’après-guerre d’Erich Maria Remarque, a remporté dimanche le prix du meilleur film aux Bafta, les récompenses britanniques du cinéma, devant « Les Banshees d’Inisherin », « Elvis », « Everything Everywhere All At Once » et « Tar ».
Un hommage mondial va être rendu à Jacob Desvarieux le leader du groupe Kassav’ décédé le 30 juillet 2021 à l’âge de 65 ans. Des concerts seront organisés dans plusieurs pays. La première représentation musicale se déroulera au festival des arts de Sainte-Lucie. le 13 mai. Quatre dates sont déjà annoncées.
Depuis quelques temps, la droite macroniste et autre, nous sert un discours visant à culpabiliser une partie de l’opinion, une fraction de la jeunesse, avec de manière abusive, si non mensongère, le thème de la fainéantise, de la paresse…Ainsi pour elle, en période de chômage massif et de difficultés pour le plus grand nombre, évoquer surtout lorsque l’on est jeune, de moins travailler, et de vouloir profiter de la vie, est une hérésie et un danger majeur pour l’ensemble de la société. Car, n’ayant pour horizon que ses seuls intérêts, à savoir nous faire travailler davantage et plus longtemps, elle prend pour cible celles et ceux, qui se rebellent et refusent de travailler plus longtemps, et surtout aux conditions actuelles. C’est à dire ces jeunes, qu’elle fustige en la faisant passer pour des « doucineurs et jouisseurs », refusant à la vérité d’entendre leur exigence de travailler moins, pour produire mieux et autrement, tout en travaillant toutes et tous. Une fraction en réalité très lucide de la jeunesse, qui tout en refusant la réforme de la retraite, dit dès aujourd’hui, qu’elle souhaite ne pas travailler comme ses parents, à savoir, pour beaucoup d’entre eux, perdre sa vie à la gagner.
Le projet BIAC-réseaux* annonce le carnaval des arts : populaires, vivants, visuels….
La Collectivité Territoriale de Martinique lance la deuxième édition de la Biennale Internationale d’Art Contemporain en plein carnaval de Fort de France.
« Plus de mille milliards de dollars » : contraints de répondre dans l’urgence à la flambée des tarifs de l’énergie, les États n’ont jamais autant subventionné la consommation des énergies fossiles qu’en 2022, alors que la crise climatique exigerait l’inverse, a déploré jeudi l’Agence internationale de l’énergie (AIE).
Comment installer le contrôle parental sur vos ordinateurs et consoles, paramétrer le filtrage de certains contenus sur les réseaux sociaux ou encore limiter le temps d’écran ? Alors que 96 % des enfants français possèdent ou utilisent aujourd’hui au moins un équipement numérique, le gouvernement lance une campagne de sensibilisation à la parentalité numérique. C’est aussi l’occasion de faire connaître le site « jeprotegemonenfant.gouv.fr ».