En Martinique, les fêtes de Noël tiennent une place toute particulière dans le cœur de la population. Dès les premières notes de cantiques qui résonnent sur les ondes, l’île entière entre dans une période de ferveur, de partage et de chaleur humaine. Noël, ce n’est pas seulement un rendez-vous religieux : c’est un moment où, par delà les croyances particulières, les familles se rassemblent, où les quartiers s’illuminent, où les traditions culinaires ressurgissent et où la musique devient un véritable lien entre générations. Les chanté nwel, avec leurs refrains créoles, leurs tambours et leurs voix puissantes, rappellent que cette fête est un pilier culturel, un héritage vivant transmis d’aîeux en petits-enfants.
Au cœur de ces traditions se trouve la ribote, ou laribot en créole, une coutume profondément ancrée dans la mémoire rurale martiniquaise. Autrefois, après la messe de Noël, voisins et familles formaient une joyeuse troupe qui marchait de maison en maison en chantant des cantiques. Chaque foyer accueillait la ribote ouverte, offrant à boire — shrubb, punch, sirop batterie — et à manger — boudin, jambon de Noël, ragoût de cochon, pois d’angole.




— Patrice Kanndèl Edouard (1) —
Procès de la télé française

— Par Sarha Fauré —
Comment rendre visible une maladie longtemps ignorée et encore trop mal diagnostiquée ? C’est la question à laquelle tente de répondre Vivre avec l’endométriose, documentaire réalisé par Léa Ménard et produit par « Beau comme les Antilles », avec la participation de France Télévisions – Pôle Outre-mer. Le film, tourné au cœur des territoires ultramarins, sera projeté en avant-première dans plusieurs communes de Martinique début décembre, en présence de la réalisatrice et de Nataly Dabon, patiente experte et présidente de l’association Endo Form 972.
— Par Jean Gabard —
— Par Florent Grabin, Président de l’Association écologique P.U.M.A. —
Hier soir, 2 décembre, Tropiques-Atrium — l’ex-CMAC qu’elle dirigea pendant plus de trente ans — a ouvert ses portes pour un hommage émouvant à Fanny Auguiac. Dans une salle à moitié remplie mais profondément recueillie, plusieurs grandes figures de la scène artistique martiniquaise se sont succédé pour saluer celle qui a tant marqué la vie culturelle de l’île. Alex Bernard, Alain Jean-Marie, Claude Césaire, Ronald Tulle, Micky Téléphe, Dominique Bougainville, Tony Chasseur ou encore Malavoi, etc. ont chacun rappelé, par leurs mots ou leur musique, l’empreinte inaltérable qu’elle laisse derrière elle.
— Collectif (*) —
— Par Gary Klang —
Collection : La philosophie en commun
Pédagogie
Des musiciens se réunissent pour une jam conviviale et inspirée, imaginée comme une salutation musicale pleine d’affection, de respect et de complicité, à
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Les peines prononcées le 17 novembre 2025 dans l’affaire du
— Par Jean-Bernard Bayard —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Daniel M. Berté —
La pièce
— Les Contrechroniques d’Yves-Léopold Monthieux —

L’événement artistique « Arts in Transit : From Pointe-à-Pitre to… Dakar » s’apprête à prendre son envol vers de nouveaux horizons. Du 3 au 7 décembre 2025, la ville de Dakar, vibrante capitale sénégalaise, accueillera cette exposition itinérante qui célèbre l’art, la culture et l’héritage guadeloupéen à l’échelle mondiale.
— Par Camille Loty Malebranche —
Titre anglais : Leave The Bones
Apprenez à faire face aux risques majeurs : guide complet pour se préparer, protéger ses proches, constituer un kit et adopter les bons réflexes. 



Chaque fin d’année, l’association Clowns Doktè lance une belle campagne solidaire : « Solidarité pou ti Manman », un moment fort de mobilisation et de générosité sur tout le territoire martiniquais. L’objectif ? Sensibiliser au métier de clown hospitalier, rassembler des partenaires et des donateurs, et collecter les fonds nécessaires pour assurer les interventions clownesques dans les hôpitaux pédiatriques de l’île.
Le stage de seconde, effectué pendant 2 semaines consécutives, doit permettre aux élèves :
Un tatouage se traduit par une substance ou une préparation colorante destinée, par effraction cutanée, à créer une marque sur les parties superficielles du corps humain. Cette pratique est réglementée pour éviter les risques sur la santé. Il est conseillé d’en discuter avant avec le professionnel et votre médecin traitant. Si vous êtes mineur, l’accord du parent ou tuteur est nécessaire. Le tatoueur doit être formé, déclarer son activité à l’ARS et informer son client des risques. Vous pouvez signaler tout effet indésirable grave ou non.
Cyberharcèlement, violences physiques et sexuelles, prostitution, chantage, racket, trafic de drogues… Pour faire face à ces situations auxquelles les jeunes peuvent être exposés aujourd’hui, le site de la police et de la gendarmerie nationale « Ma Sécurité » vient d’ouvrir un espace spécifique d’échanges pour les moins de 18 ans : 
Avec Chet Baker, William Claxton, Flea | 23 juillet 2008 en salle | 2h 00min | Documentaire, Musical| Date de reprise 19 juin 2024
Le samedi 29 novembre 2025, de 10 h à 23 h, le Domaine de Fonds Saint-Jacques vibrera au rythme du Bèlè Djoubà, grand rendez-vous annuel dédié à l’héritage culturel martiniquais. La Coordination Lawonn Bèlè invite le public — curieux, passionnés, familles et pratiquants — à rejoindre cette vaste ronde de partage où s’exprime l’âme profonde de la Martinique.
À propos du spectacle
Que coûtent vraiment les Antilles à la France et l’Europe ?
— Par Hélène Lemoine —
— Par Jean-Marie Nol —
Réveillons-nous
Le 3 décembre 2025, la cour d’appel de Tizi-Ouzou (Algérie) examinera le dossier de Christophe Gleizes, journaliste français spécialisé dans le football, condamné en première instance à sept ans de prison ferme. Les faits qui lui sont notamment reprochés : avoir été en contact avec un dirigeant de la Jeunesse sportive de Kabylie dans le cadre de son travail pour les magazines So Foot et Society. Un acte journalistique qualifié d’ « apologie du terrorisme » par les autorités algériennes. Christophe Gleizes est journaliste. Cela suffit. Lorsqu’un journaliste est emprisonné pour avoir exercé son métier, qu’il travaille pour la presse quotidienne, un magazine, un média en ligne, nous devons tous nous mobiliser.
Introduction
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— Par Jean-Marie Nol —