 Serge Letchimy : L’accord sur la Nouvelle Calédonie illustre la voie possible : conjuguer reconnaissance des identités locales et égalité nationale »
Serge Letchimy : L’accord sur la Nouvelle Calédonie illustre la voie possible : conjuguer reconnaissance des identités locales et égalité nationale »
Le président du Conseil exécutif de la Martinique, Serge Letchimy, salue l’annonce de l’accord institutionnel trouvé à Bougival entre l’État français et les forces politiques de Nouvelle-Calédonie. Cet accord crée un « État de la Nouvelle‑Calédonie » inscrit dans la République, prévoyant notamment la création d’une nationalité calédonienne.
Cette avancée historique ouvre le champ à un renouveau politique et économique et Serge LETCHIMY se réjouit que la France ait su répondre aux spécificités calédoniennes dans le cadre de la République, en reconnaissant l’existence d’un « État dans l’État », au service de la paix, de la stabilité et de l’émancipation politique. Cette réussite témoigne de la capacité de la République à conjuguer unité nationale et reconnaissance des singularités.
Cet accord résonne de manière particulière avec la dynamique engagée au sein de l’ensemble des pays d’outre-mer signataires de l’Appel de Fort-de-France et plus particulièrement en Martinique où les élus, réunis en Congrès au cours de 5 sessions, se sont mobilisés pour définir les modalités d’exercice d’un pouvoir normatif local, tout en restant pleinement dans la République, et ont adopté une résolution visant à inscrire dans la Constitution un nouveau cadre institutionnel.

 La Martinique est aujourd’hui confrontée à une crise sans précédent, conséquence directe du narcotrafic qui menace non seulement la sécurité publique mais aussi l’ensemble du tissu socio-économique de l’île. En raison de sa position géographique stratégique dans les Caraïbes, la Martinique est devenue une plaque tournante du trafic international de stupéfiants, servant de porte d’entrée pour les drogues destinées à l’Europe. Cette situation engendre une montée en puissance des réseaux criminels, qui profitent des faiblesses locales pour s’implanter solidement et étendre leur influence, ce qui place l’île dans une situation de vulnérabilité extrême.
La Martinique est aujourd’hui confrontée à une crise sans précédent, conséquence directe du narcotrafic qui menace non seulement la sécurité publique mais aussi l’ensemble du tissu socio-économique de l’île. En raison de sa position géographique stratégique dans les Caraïbes, la Martinique est devenue une plaque tournante du trafic international de stupéfiants, servant de porte d’entrée pour les drogues destinées à l’Europe. Cette situation engendre une montée en puissance des réseaux criminels, qui profitent des faiblesses locales pour s’implanter solidement et étendre leur influence, ce qui place l’île dans une situation de vulnérabilité extrême.
 Le président du Conseil exécutif a adressé le 25 novembre 2024 une lettre officielle au préfet de la Martinique pour réagir aux propos de Jean-Christophe Bouvier. Lors d’une émission diffusée sur Martinique La 1ère le 20 novembre 2024, ce dernier a remis en question l’existence de projets structurants menés par les élus martiniquais, affirmant que les Martiniquais n’avaient jamais su travailler ensemble pour élaborer un projet d’avenir.
Le président du Conseil exécutif a adressé le 25 novembre 2024 une lettre officielle au préfet de la Martinique pour réagir aux propos de Jean-Christophe Bouvier. Lors d’une émission diffusée sur Martinique La 1ère le 20 novembre 2024, ce dernier a remis en question l’existence de projets structurants menés par les élus martiniquais, affirmant que les Martiniquais n’avaient jamais su travailler ensemble pour élaborer un projet d’avenir.
 Nous n’allons pas trahir notre histoire. Nous referons confiance à nos députés sortants qui ont déjà démontré tout au cours des années de leur mandature qu’ils ont à cœur de promouvoir notre Martinique. Jean Abrosi Ensemble, élevons nos voix contre l’intolérance, la haine, la division et l’injustice. Soutenons des politiques qui favorisent l’égalité, le mutualisme, le social, la solidarité, le respect des peuples, le respect de la dignité humaine dans le respect absolu du vivant. C’est ainsi que nous nous respecterons nous-mêmes. Serge Letchimy
Nous n’allons pas trahir notre histoire. Nous referons confiance à nos députés sortants qui ont déjà démontré tout au cours des années de leur mandature qu’ils ont à cœur de promouvoir notre Martinique. Jean Abrosi Ensemble, élevons nos voix contre l’intolérance, la haine, la division et l’injustice. Soutenons des politiques qui favorisent l’égalité, le mutualisme, le social, la solidarité, le respect des peuples, le respect de la dignité humaine dans le respect absolu du vivant. C’est ainsi que nous nous respecterons nous-mêmes. Serge Letchimy Rarement en Martinique des personnalités politiques de premier rang auront autant suscité la controverse qu’Alfred Marie-Jeanne et Serge Letchimy. C’est le premier rapprochement entre les deux premiers présidents du conseil exécutif de la collectivité territoriale de Martinique (CTM). Au cours d’une rencontre organisée dans le cadre d’élections législatives, l’adversaire du candidat Alfred Marie-Jeanne avait voulu embarrasser ce dernier en l’affublant, pour dénoncer ses méthodes autoritaires à la Région, du titre de « roi de Plateau Roy ». Il s’était produit l’effet inverse : rougissant d’aise, le Président avait répondu que cette référence suprême lui convenait parfaitement. Au cours de la récente interview accordée à Martinique-la-Première au Premier Martiniquais, on pouvait croire à une variante de cette anecdote. Sur le ton de la connivence, le nouveau président traduisit à son avantage l’embarras de la journaliste : “Si tu veux m’appeler président de Martinique, je ne vais pas me sentir insulté”. On ne peut mieux dire que Serge Letchimy et Alfred Marie-Jeanne se sont retrouvés au même niveau d’hubris.
Rarement en Martinique des personnalités politiques de premier rang auront autant suscité la controverse qu’Alfred Marie-Jeanne et Serge Letchimy. C’est le premier rapprochement entre les deux premiers présidents du conseil exécutif de la collectivité territoriale de Martinique (CTM). Au cours d’une rencontre organisée dans le cadre d’élections législatives, l’adversaire du candidat Alfred Marie-Jeanne avait voulu embarrasser ce dernier en l’affublant, pour dénoncer ses méthodes autoritaires à la Région, du titre de « roi de Plateau Roy ». Il s’était produit l’effet inverse : rougissant d’aise, le Président avait répondu que cette référence suprême lui convenait parfaitement. Au cours de la récente interview accordée à Martinique-la-Première au Premier Martiniquais, on pouvait croire à une variante de cette anecdote. Sur le ton de la connivence, le nouveau président traduisit à son avantage l’embarras de la journaliste : “Si tu veux m’appeler président de Martinique, je ne vais pas me sentir insulté”. On ne peut mieux dire que Serge Letchimy et Alfred Marie-Jeanne se sont retrouvés au même niveau d’hubris.  Il est un comportement des partis politiques martiniquais dits indépendantistes, autonomistes, bref évolutionnistes, qui n’a pas changé depuis que la question institutionnelle se pose concrètement. Bien entendu, cette attitude est venue s’ajouter à la pratique électoraliste traditionnelle qui a toujours consisté à mettre son drapeau dans sa poche chaque fois que s’annonçait une élection de maire, de conseiller général ou de député. Cette liberté prise à l’égard de supposés convictions a permis à leurs auteurs de se faire élire et de conserver leurs mandats, pour certains pendant près d’un demi-siècle.
Il est un comportement des partis politiques martiniquais dits indépendantistes, autonomistes, bref évolutionnistes, qui n’a pas changé depuis que la question institutionnelle se pose concrètement. Bien entendu, cette attitude est venue s’ajouter à la pratique électoraliste traditionnelle qui a toujours consisté à mettre son drapeau dans sa poche chaque fois que s’annonçait une élection de maire, de conseiller général ou de député. Cette liberté prise à l’égard de supposés convictions a permis à leurs auteurs de se faire élire et de conserver leurs mandats, pour certains pendant près d’un demi-siècle.  Alors qu’un comité interministériel des outre-mer, initialement prévu le 6 juillet, a été reporté, le président du conseil exécutif de Martinique, Serge Letchimy, appelle l’Etat français, dans une tribune au « Monde », à reconnaître par les « actes » la différenciation régionale, et à redonner aux outre-mer la « pleine capacité de maîtrise » de leur destin.
Alors qu’un comité interministériel des outre-mer, initialement prévu le 6 juillet, a été reporté, le président du conseil exécutif de Martinique, Serge Letchimy, appelle l’Etat français, dans une tribune au « Monde », à reconnaître par les « actes » la différenciation régionale, et à redonner aux outre-mer la « pleine capacité de maîtrise » de leur destin. Lorsqu’à la fin des années 1990 l’incertitude planait sur l’avenir du PPM, le parti de Césaire détenait outre la ville de Fort-de-France qui comprend le quart de l’électorat martiniquais, le conseil régional, un sénateur, un député et trois autres municipalités, Le Robert, Le Carbet et Le Marin. Seule la personnalité hors normes d’Alfred Marie-Jeanne disputait au PPM la présidence du conseil régional, mais
Lorsqu’à la fin des années 1990 l’incertitude planait sur l’avenir du PPM, le parti de Césaire détenait outre la ville de Fort-de-France qui comprend le quart de l’électorat martiniquais, le conseil régional, un sénateur, un député et trois autres municipalités, Le Robert, Le Carbet et Le Marin. Seule la personnalité hors normes d’Alfred Marie-Jeanne disputait au PPM la présidence du conseil régional, mais  L’extrême droite qui s’envenime, ne constitue pas une opinion politique ni même une quelconque vision alternative du monde. C’est, avant tout, l’involution totale. La négation des bases élémentaires d’un digne vivre-ensemble. Nous, Martiniquais.es, avons connu cela durant les périodes sombres de la colonisation et de son corollaire esclavagiste. Je m’associe au front républicain qui doit se dresser face à cet inacceptable.
L’extrême droite qui s’envenime, ne constitue pas une opinion politique ni même une quelconque vision alternative du monde. C’est, avant tout, l’involution totale. La négation des bases élémentaires d’un digne vivre-ensemble. Nous, Martiniquais.es, avons connu cela durant les périodes sombres de la colonisation et de son corollaire esclavagiste. Je m’associe au front républicain qui doit se dresser face à cet inacceptable. Ainsi se manifeste l’expression d’une des nombreuses carences contenues dans les statuts de la collectivité territoriale de Martinique (CTM). Ces dysfonctionnements sont nés de l’entrée par la fenêtre de l’article 73 de la nouvelle collectivité de dispositions prévues au titre de l’article 74, que les électeurs martiniquais avaenit sorti par la porte. Aussi, l’ancien président de la région Martinique qui se laissait volontiers appeler
Ainsi se manifeste l’expression d’une des nombreuses carences contenues dans les statuts de la collectivité territoriale de Martinique (CTM). Ces dysfonctionnements sont nés de l’entrée par la fenêtre de l’article 73 de la nouvelle collectivité de dispositions prévues au titre de l’article 74, que les électeurs martiniquais avaenit sorti par la porte. Aussi, l’ancien président de la région Martinique qui se laissait volontiers appeler Serge Letchimy, président du Conseil exécutif de Martinique et président du Parti progressistes martiniquais (PPM), revient sur la notion de « créolisation », défendue par Jean-Luc Mélenchon, lors d’un débat face à Éric Zemmour. Selon lui, il s’agit du seul concept qui prenne en compte les changements qui agitent la France.
Serge Letchimy, président du Conseil exécutif de Martinique et président du Parti progressistes martiniquais (PPM), revient sur la notion de « créolisation », défendue par Jean-Luc Mélenchon, lors d’un débat face à Éric Zemmour. Selon lui, il s’agit du seul concept qui prenne en compte les changements qui agitent la France. Le débat politique actuel en France sent le renfermé et la moisissure. La chevauchée infernale de l’extrême droite laisse derrière elle une gangrène qui infecte les esprits. Une nuit sans lumière. Une impasse dont beaucoup peinent à trouver l’issue.
Le débat politique actuel en France sent le renfermé et la moisissure. La chevauchée infernale de l’extrême droite laisse derrière elle une gangrène qui infecte les esprits. Une nuit sans lumière. Une impasse dont beaucoup peinent à trouver l’issue.  Ainsi donc, Serge Letchimy devient le deuxième président de la Collectivité Territoriale de Martinique (CTM) avec une voix de majorité. Il redevient en quelque sorte le
Ainsi donc, Serge Letchimy devient le deuxième président de la Collectivité Territoriale de Martinique (CTM) avec une voix de majorité. Il redevient en quelque sorte le  Monsieur le Premier ministre, Interrogé sur TF1, vous avez tenu des propos au sujet de la colonisation qui raisonnent comme un aveu : celui d’une France, qui au-delà de la reconnaissance symbolique du crime contre l’humanité que constitue l’esclavage, affiche le déni de repentance, pour ne jamais répondre au besoin vital de reconnaissance et de réparation des millions de victimes de la colonisation.
Monsieur le Premier ministre, Interrogé sur TF1, vous avez tenu des propos au sujet de la colonisation qui raisonnent comme un aveu : celui d’une France, qui au-delà de la reconnaissance symbolique du crime contre l’humanité que constitue l’esclavage, affiche le déni de repentance, pour ne jamais répondre au besoin vital de reconnaissance et de réparation des millions de victimes de la colonisation. Chaque dimanche, depuis le 9 août, Colette Césaire nous propose une émission audionumérique, qu’elle a imaginée et qu’elle réalise sur sa chaîne YouTube. Dans la bande-annonce, elle nous dit avoir voulu « une série de lectures bienfaisantes, un moment d’écoute, d’évasion littéraire et poétique ». Se référant au poème « Élévation » de Baudelaire — Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides / Va te purifier dans l’air supérieur / Et bois, comme une pure et divine liqueur, / Le feu clair qui remplit les espaces limpides — elle choisit de baptiser cette série d’un beau nom qui fait rêver, évocateur de contes d’Orient et de Mille et une Nuits, « Le Tapis Volant ». Car dit-elle, « quoi de meilleur qu’un tapis volant pour explorer les espaces limpides (…) Sur mon tapis volant, nous voyagerons de texte en texte et respirerons un air neuf qui, je l’espère, vous enchantera le cœur et l’esprit pour des lendemains meilleurs ».
Chaque dimanche, depuis le 9 août, Colette Césaire nous propose une émission audionumérique, qu’elle a imaginée et qu’elle réalise sur sa chaîne YouTube. Dans la bande-annonce, elle nous dit avoir voulu « une série de lectures bienfaisantes, un moment d’écoute, d’évasion littéraire et poétique ». Se référant au poème « Élévation » de Baudelaire — Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides / Va te purifier dans l’air supérieur / Et bois, comme une pure et divine liqueur, / Le feu clair qui remplit les espaces limpides — elle choisit de baptiser cette série d’un beau nom qui fait rêver, évocateur de contes d’Orient et de Mille et une Nuits, « Le Tapis Volant ». Car dit-elle, « quoi de meilleur qu’un tapis volant pour explorer les espaces limpides (…) Sur mon tapis volant, nous voyagerons de texte en texte et respirerons un air neuf qui, je l’espère, vous enchantera le cœur et l’esprit pour des lendemains meilleurs ». Une fois de plus , le député LETCHIMY cherche à induire en erreur l’opinion.
Une fois de plus , le député LETCHIMY cherche à induire en erreur l’opinion. Monsieur le chef de l’État,
Monsieur le chef de l’État, Que Marine Le Pen puisse disposer chez nous d’un nombre de voix aussi considérable relève du cauchemar. Cette aberration ne fait pas que nous interpeller : elle signale une carence majeure qui nous concerne tous : politiques, parents, enseignants, éducateurs, responsables de toutes sortes… !
            Que Marine Le Pen puisse disposer chez nous d’un nombre de voix aussi considérable relève du cauchemar. Cette aberration ne fait pas que nous interpeller : elle signale une carence majeure qui nous concerne tous : politiques, parents, enseignants, éducateurs, responsables de toutes sortes… !  L’ancien président du conseil régional qui conteste le déficit du compte administratif 2015 du Conseil régional a adressé une lettre à Alfred Marie-Jeanne, président du Conseil exécutif de la CTM l’informant de son intention de  demander au Préfet de la Martinique de saisir la chambre régionale des comptes.
L’ancien président du conseil régional qui conteste le déficit du compte administratif 2015 du Conseil régional a adressé une lettre à Alfred Marie-Jeanne, président du Conseil exécutif de la CTM l’informant de son intention de  demander au Préfet de la Martinique de saisir la chambre régionale des comptes. TRIBUNE — Le lycée Schœlcher doit disparaître, non parce que je le souhaite, mais parce qu’à y bien réfléchir, il est déjà mort.
TRIBUNE — Le lycée Schœlcher doit disparaître, non parce que je le souhaite, mais parce qu’à y bien réfléchir, il est déjà mort.  Sans intérêt sécuritaire avéré, l’instauration de la déchéance de nationalité se présente aux dires mêmes de ses initiateurs comme une mesure essentiellement « symbolique » . Inscrivant de fait, dans les textes, une distinction fondamentale entre Français de naissance à raison de leurs origines, de très nombreux binationaux, de fait ou de droit, ont ressenti cette mesure comme une atteinte à leur dignité et à leur légitimité. Historiquement proposée par la droite ou l’extrême droite, cette mesure est perçue comme la réminiscence d’une inspiration essentialiste de l’identité nationale française dont la République n’a jamais réussi à se défaire totalement. Or ce modèle dépassé semble méconnaître le pluralisme fondamental du corps social dont la négation ne peut avoir que des effets destructeurs, aussi bien pour la cohésion nationale que pour la sécurité collective.
Sans intérêt sécuritaire avéré, l’instauration de la déchéance de nationalité se présente aux dires mêmes de ses initiateurs comme une mesure essentiellement « symbolique » . Inscrivant de fait, dans les textes, une distinction fondamentale entre Français de naissance à raison de leurs origines, de très nombreux binationaux, de fait ou de droit, ont ressenti cette mesure comme une atteinte à leur dignité et à leur légitimité. Historiquement proposée par la droite ou l’extrême droite, cette mesure est perçue comme la réminiscence d’une inspiration essentialiste de l’identité nationale française dont la République n’a jamais réussi à se défaire totalement. Or ce modèle dépassé semble méconnaître le pluralisme fondamental du corps social dont la négation ne peut avoir que des effets destructeurs, aussi bien pour la cohésion nationale que pour la sécurité collective. L’horreur commence sitôt la première atteinte, le premier sang, le premier mort. Elle est d’emblée totale. Toute atteinte à l’humain déclenche un abîme sans limites.
L’horreur commence sitôt la première atteinte, le premier sang, le premier mort. Elle est d’emblée totale. Toute atteinte à l’humain déclenche un abîme sans limites.