Lundi 21 juillet 19h30, au T.A.C. ‘ Théâtre Aimé-Césaire) FdF
Une tragédie sociale, une histoire d’amour contrariée, un cri de douleur et d’espoir…
Un œuvre de José Alpha, auteur, dramaturge et metteur en scène, qui explore l’histoire d’un homme brisé par l’amour et la trahison, et qui devient, malgré lui, un symbole de résistance.
Inspirée de faits réels qui ont marqué la mémoire de la Martinique entre 1942 et 1949, La Légende de Zadou retrace l’épopée tragique de René Beauregard, un homme dévoré par la jalousie, qui, après avoir tué sa femme, se réfugie dans les mornes pour une cavale de sept ans. À travers cette pièce, nous plongeons dans les failles de l’âme humaine, confrontée à l’injustice, la douleur et la survie. Un héros tragique, oubliée par l’Histoire, mais vivant dans la mémoire des résistants.
José Alpha mêle mythe, mémoire et poésie pour créer un théâtre de vérité, à la fois populaire et militant. C’est une histoire d’amour, de colère, de résistance et de quête de dignité.
Interprétation :
- Ahmed Diakité dans le rôle de Zadou, un homme dévoré par la douleur et la passion.


Qui est André Lucrèce ? (Quelques extraits de l’article de Wikipédia, à lui consacré).

L’épouse, le mari et la maitresse, répondront-ils à la question de la fidélité conjugale face au miroir de la Comédie créole ? Et puis, La fidélité n’est-ce pas pratiquer l’adultère essentiellement par la pensée ?
Dire que ce spectacle de la Cie des Asphodèles atteste de cette saine agilité et de cette intelligence vivace du jeu théâtral solaire, qui disparait malheureusement aux Antilles et singulièrement en Martinique, sous le poids de « pesantes et savantes préoccupations « sociopolitico scéniques et émotionnelles », est une vérité.
En reprenant la maxime de Louis Jouvet, je m’autorise amicalement cette observation à la lecture de
— Vu par José Alpha —
C’est devant un parterre de plus d’une centaine de spectateurs installés samedi dernier, en fin d’après-midi, sur le parvis de la Cathédrale Notre dame de l’Assomption de Saint Pierre, que les six comédiens amateurs du Théâtre de l’Histoire de la ville, ont raconté avec une grande émotion partagée, la tragédie de Lazare réécrite par le poète libanais Khalil Gibran (1883-1931) et mise en scène par José Alpha .
Dossier de presse :



Annoncée comme la meilleure édition de la nouvelle année qui a de plus en plus difficilement du mal à se libérer des turpitudes de l’année passée, les organisateurs du rituel du carnaval martiniquais qui marque la fin des hostilités et des rigueurs subies par les populations, entrent dans la transe des préparatifs d’une nouvelle ère à la faveur de la plus grande expression populaire planétaire.
(Photo de J. Alpha)



