Après les « injonctions » faites par le RPPRAC (Rassemblement pour la Protection des Peuples et des Ressources Afro-Caribéens) aux pouvoirs publics, la Martinique est entrée, à compter du 1er septembre 2024, dans un cycle infernal où la démocratie, le suffrage universel, ont été néantisés.
Le pouvoir s’est transposé des institutions à… la place publique !
Des personnes, non-élues, se sont autoproclamées représentantes du Peuple et les personnes mandatées par ce dernier se sont alignées sur les positions extrémistes de cette dictature de la rue.
S’il est un fait avéré qui emporte l’unanimité des suffrages en Martinique c’est bien la problématique de la cherté de la vie. Les territoires français transocéaniques en font beaucoup plus les frais que ceux du continent. Les experts s’accordent sur un différentiel des prix allant parfois au-delà de 40%.
Les événements de février 2009 avaient déjà fait la démonstration de cette insupportable pression, singulièrement sur le pouvoir d’achat des plus démunis.
Tout de même, certains points des revendications, mis en avant par le mouvement qui mène la fronde depuis le 1er septembre 2024, ne manquent pas d’interpeller, sur les plans économique et politique.


Adieu mon Coco !
« L’engagement est ce qui transforme une promesse en réalité »
L’homme court vers les places élevées comme l’eau coule vers le bas
« L’art émeut. De là sa puissance civilisatrice »
« Un homme libre ne pense à aucune chose moins qu’à la mort, 
Le score réalisé, en Martinique, par Marine Le Pen (10,94 %) à l’occasion du premier tour de cette élection présidentielle, le 22 avril 2017, interpelle même si ses chiffres sont, en valeur absolue, plutôt faibles car l’abstention réellement forte (60,02 %) ! 
Guy FLANDRINA est convoqué, le 30 mai 2016, par le délégué du procureur.
A compter du 18 décembre 2015, la Martinique commémorera, dans les jardins du Parc Floral de Fort-de-France, les 30 ans de la disparition de Marius CULTIER. Célèbre pianiste martiniquais qui tirait sa révérence le 23 décembre 1985.
Dans son dernier livre : « Pour les musulmans »
Après Antilles Télévision, le 23 septembre dernier, c’est au tour du quotidien France-Antilles, d’être, ce 30 septembre, placé en redressement judiciaire pour un semestre…
Dans la nuit du 10 au 11 septembre 2013, la statue de Victor Schoelcher – réalisée depuis 1964 – située à l’entrée de la ville éponyme a été vandalisée. Dans l’oeuvre originale, Victor Schoelcher tenait, dans chacune de ses mains, des chaînes brisées, symbolisant la fin de l’esclavage. Il est debout sur un bas-relief comportant un extrait du décret d’abolition de l’esclavage : « Nulle terre française ne peut plus porter d’esclave » . Sur la statue qui vient d’être saccagée des inscriptions outrageantes et exprimant de l’intolérance sont tracées. Le ou les illuminés ou pseudo révolutionnaires savent-ils seulement que de leurs mains sacrilèges ils portent atteinte à l’oeuvre d’une grande artiste martiniquaise ?