— Communiqué de presse —
Paris, le 5 mai 2016
CRÉATION DE LA FONDATION «ESCLAVAGE ET RÉCONCILIATION»
À l’initiative du Comité Marche du 23 mai 1998 (CM98), des associations citoyennes, des personnalités, des entrepreneurs et intellectuels originaires de l’Outre-mer se sont réunis pour créer la fondation Esclavage et Réconciliation.
Dans la continuité de l’hommage rendu à la mémoire de Victor Schœlcher le 27 avril dernier au Panthéon et au cœur de la période traditionnellement propice aux commémorations liées aux victimes de l’esclavage et à son abolition, des descendants d’esclaves, de colons, et d’engagés indiens ont décidé de s’engager dans une démarche déterminée de Réconciliation.
Le constat effectué par les créateurs de cette fondation est que les sociétés ultramarines restent toujours bloquées par la prégnance d’une mémoire conflictuelle de l’esclavage.
Refusant de subir le poids d’une Histoire traumatique, lourde de ressentiments et de rejets, l’objectif de la fondation Esclavage et Réconciliation est de construire une mémoire apaisée de l’esclavage en vue de développer des sociétés solidaires, dynamiques et non conflictuelles pour les générations futures.
La fondation s’attachera particulièrement :
• à accompagner les initiatives généalogiques, éducatives et culturelles qui garantissent le travail mémoriel dans le sens de la réconciliation
• à amplifier les travaux historiques, anthropologiques, culturels et cinématographiques traitant de l’esclavage colonial et des sociétés post-esclavagistes.

De la Polynésie française à la Nouvelle-Calédonie en passant par la Guadeloupe et Mayotte, les parents d’Outre-Mer ont banni Louis, Lilou, Lena, Lina, Clément ou encore Timéo de leur classement des prénoms favoris.
L’écrivain a été retrouvé mort dans la piscine de sa ferme de Ciney. Il avait 93 ans. Né le 27 avril 1922 à Varsovie, il etait célèbre pour son livre « Au nom de tous les miens », dans lequel il raconte avoir perdu à deux reprises toute sa famille, d’abord dans les camps d’extermination nazis, puis dans l’incendie de sa maison dans le Sud de la France.
La république bobo
Le premier livre à dénoncer la glottophobie, discrimination par le langage.

Vous allez lire un livre passionnant.
Les exécutions de condamnés à mort ont bondi de 54% en 2015, atteignant leur plus haut niveau depuis 1989, selon les données recueillies par Amnesty International. 25 pays ont pratiqué des exécutions.
INTERVIEW Stéphanie Condon, chercheuse à l’INED et Jean-Luc Primon, sociologue, co-auteurs de l’enquête TeO.
Les conditions de détention et l’insuffisance des traitements médicaux aggravent les souffrances
Eéditions Les liens qui libèrent, 205 pages, 18,50 euros.
La Guyane abrite une prison hors de contrôle. Homicides réguliers, tabassages de détenus, mutineries et surveillants en roue libre accusant le directeur de l’établissement de néocolonialisme : Mediapart a eu accès à un rapport d’inspection des services judiciaires qui décrit un cocktail explosif.
L’enquête de l’INED, « Trajectoires et origines » mesure pour la première fois les discriminations et racisme dont sont victimes les « Domiens » et leurs descendants vivant dans l’Hexagone.
« Quand le luscinia et des millions,
Les origines du poisson d’avril restent obscures mais la tradition festive de personnes qui sont l’objet de farces ou de satires existe dans plusieurs cultures depuis l’Antiquité et le Moyen Âge : fêtes religieuses romaines des Hilaria célébrées le 25 mars ; la Holi, fête des couleurs hindouiste ; Sizdah bedar, fête persane ; Pourim, fête juive ; fête des Fous médiévale en Europe.
La Martinique n’est pas seulement un lieu, mais un acte qui arrache sur le chaos d’un milieu, des forces qu’elle condense, qu’elle rend visibles, qu’elle transforme.
Il y a quelques semaines, j’ai expérimenté un immense sentiment de solitude, d’autant plus paradoxal qu’il s’est produit lors d’un dîner « entre amis ». Outre les bons plats concoctés aussi bien par nos hôtes que par les commensaux, la littérature était au menu.
Un mois après le scandale à l’abattoir du Vigan, L214 rend publiques de nouvelles images tournées dans l’abattoir de Mauléon-Licharre (Pyrénées-Atlantiques). Ces images, publiées ce matin sur le site du Monde, montrent de multiples infractions aux règles de protection animale et des scènes de souffrance animale sévère, ainsi que de graves manquements et violences de la part du personnel de l’abattoir.
« L’« affaire Barbarin » est retentissante parce que le cardinal s’en tient à une « demande de pardon » aux victimes, révélant la distance entre le vieux repère religieux et le repère juridique. Elle ouvre pourtant sur un emballement médiatique qu’il faut regretter. »
En France et ailleurs dans le monde, les amis de Daniel Bensaïd (dont je ne suis point) évoqueront sans aucun doute ses soixante-dix ans, puisqu’il est né le 25 mars 1946.
Tribune —De ce qui suit, il n’existe aucune statistique fiable, et on ne peut le comprendre que par ce qu’on entend, partout, où qu’on soit et à qui qu’on parle.