Carnet de route du Laos

— Par Roland Sabra —
Le soir de mon arrivée à Luang Prabang je me suis donc précipité dans l’ancienne salle de bal et du protocole du Palais Royal de Luang Prabang aujourd’hui transformée en salle de théâtre pour voir le troisième épisode du Phralak Phrralam, une adaptation lao du célèbre Ramayana, considéré comme l’une des quatre plus grandes épopées, les trois autres étant le Mahabharata, l’Iliade et l’Odyssée. Au fil du temps, la version lao de cette épopée a perdu son association avec l’hindouisme et représente plutôt la vie antérieure du Bouddha. L’épopée a été introduite pour la première fois au Laos par des missions bouddhistes. L’histoire du Rama est décrite dans de nombreuses peintures murales et des sculptures en relief en bois sur les portes et les fenêtres de temples bouddhistes. Il existe deux versions connues de l’histoire de Ramayana au Laos: la version de Luang Prabang dans la capitale royale et la version de Vientiane peinte sur les murs du temple Wat Pa Khe. Phralak Phralam est devenu l’un des thèmes les plus populaires du répertoire du ballet royal lao jusqu’en 1975, date de la prise du pouvoir par le Pathet Lao.

Alors que le ministère de l’Intérieur a annoncé récemment la hausse des actes antisémites en France en 2018, Service-public.fr rappelle que les incitations à la haine raciale sont punies par la loi (45 000 € d’amende et 1 an de prison en cas de propos tenus publiquement).
Toutes les questions qui fâchent sur le foot à l’épreuve des faits scientifiques
En Tanzanie, 70 % de la population est entièrement dépendante de la terre pour pouvoir survivre. Or, selon la tradition, les femmes ne peuvent ni posséder ni hériter de terres. Pour s’affranchir de cette règle, les femmes du peuple Kuria, dans le nord du pays, utilisent une coutume baptisée Nyumba ntobu (« La maison des femmes »), c’est-à-dire le mariage entre femmes. Ainsi, elles peuvent conserver leur propriété et vivre en toute indépendance des hommes, dans un pays où 78 % des femmes ont été abusées sexuellement, physiquement ou psychologiquement par leur mari.
« Dans un salon consacré au livre, et à la littérature française, n’est-il plus possible de parler français ? »
Nécrologie
Si beaucoup de pères déclarent y songer, ils sont une minorité à choisir de s’occuper de leur bébé pendant plusieurs mois. Les blocages restent nombreux.
« Les révoltes et les révolutions ont toujours
Le procureur de Philadelphie, Larry Krasner a rejeté, le vendredi 25 janvier, la décision du juge Léon Tucker d’un droit d’appel pour Mumia Abu-Jamal. Larry Krasner, sans autre commentaire, a refusé ce droit d’appel quelques heures seulement avant l’expiration du délai légal de recours.
Le Conseil mondial pour les réfugiés (CMR) appelle les États à changer leurs lois pour permettre de redistribuer l’argent saisi dans le cadre d’affaires de corruption afin d’aider à l’accueil des réfugiés.
Le compositeur français Michel Legrand est mort dans la nuit à l’âge de 86 ans, a annoncé son attaché de presse à l’AFP.
Je suis une non blanche, une noire, avec une peau «plutôt bronzée» qui fait que l’on m’assimile plus à une arabe qu’à la noire que je suis réellement. Je suis née le premier novembre d’une certaine année, en territoire colonisé, et ma carte d’identité affirme que je suis française. Mon prénom c‘est Toussine, j’ai eu droit à la féminisation créole du mot Toussaint du calendrier. Cependant, heureusement que je ne suis pas née en chemin, car j’aurais hérité du prénom Chimène, comme on aimait à le faire, dans mon pays, non pas parce que ma mère eut été une fervente admiratrice du Cid de Corneille, (même si ce fut le cas), mais bien parce que tout bonnement la parturiente avait accouché en chemin. On poussait alors l’originalité jusqu’à ne pas respecter le calendrier comme parole d’évangile. Cependant si je m’appelais Chimène je l’accepterais volontiers. Une de mes bonnes amies est allée naître le 14 juillet. Sa mère se gardant de se fier « au saint » du calendrier, qui se prénommait « Fête Nat » choisit de ne pas l’affubler de ce « prénom bizarre » et de lui fabriquer le doux prénom de Galbertine, dé-respectant ainsi la loi napoléonienne, n’en déplaise à un certain Zemmour.
La nouvelle campagne de recensement commence le 17 janvier 2019. Vous serez des millions à être interrogés. Comment cela va-t-il se passer ? 

Le tribunal administratif de Cayenne a rejeté, jeudi 27 décembre, la requête de la collectivité territoriale de Guyane (CTG) qui réclamait 7,6 millions d’euros à l’État, au titre des rétributions qu’elle a versées aux prêtres catholiques de 2009 à 2015.
Un jugement intervenu jeudi permet à la défense de
Introduction et présentation de Jacques Chard-Marie-Sainte
Le christianisme : une religion impérialiste et opportuniste d’origine Romaine
Avons –nous besoin d’un nouveau drapeau ? certainement pas, tant que nous sommes français et prétendons le rester. On ne peut vouloir, à moins de malhonnêteté intellectuelle foncière, bénéficier des avantages attachés à la citoyenneté de la République française et rejeter systématiquement les signes de reconnaissance distinctifs qui la caractérisent à l’étranger : drapeau, hymne national.
Difficile d’analyser des événements quand, soudain -ce qui arrive parfois- l’histoire se met à bégayer. Nous tentons tout de même cette analyse étant persuadé que sa confrontation nécessaire avec d’autres serait une contribution au débat devant traverser l’espace public dans ces temps quelque peu obscurs.
— Par Edgar Morin —