—Communiqué de Daniel Marie-Sainte, conseiller exécutif & porte-parole de la CTM —
L’EMEA est l’École Martiniquaise des Enseignements Artistiques (Musique-Danse- Théâtre).
Ce projet figure en toutes lettres dans le programme du Gran Sanblé pour faire réussir la Martinique publié lors de la campagne électorale de 2015.
Une fois élu, le Président Alfred MARIE-JEANNE a confié à deux élues (Marie-Hélène LEOTIN, conseillère Exécutive chargée de la culture et Christiane EMMANUEL, Président de la commission culture) la mission de réaliser cet engagement électoral.
Au terme de nombreuses concertations avec les milieux concernés, un projet a été retenu. Il se fonde sur des structures existantes et ne nécessite pas, dans l’immédiat, la construction de nouveaux bâtiments.
Ce projet a été validé par le Conseil Exécutif de la CTM, le 19 juillet 2018 et approuvé par un vote unanime des élus de l’Assemblée de Martinique, en SEANCE PLENIERE PUBLIQUE, le 30 octobre 2018 !!!
Cette école est un enjeu fort de la mandature et se veut un outil de développement au service du public. L’objectif visé est de favoriser l’accès des jeunes à la culture à travers les enseignements et les pratiques artistiques ainsi que de les former avec une exigence de qualité dans l’éventail des expressions : Dance, Musique, Théâtre!

Votée en octobre 2018, mise en œuvre par le ministère de la Cohésion et des Relations avec les collectivités des territoires pour faciliter la revitalisation des centres-villes, la loi crée un nouveau contrat intégrateur unique, l’
Dans une tribune au « Monde », quatorze représentants de peuples indigènes de différents continents, dont ceux de l’Amazonie brésilienne, lancent un appel à protéger le caractère « sacré » de la nature et à s’opposer aux projets du président du Brésil.
Mame-Fatou Niang et Julien Suaudeau estiment que l’œuvre très pop d’Hervé di Rosa, commandée en 1991, reprend des codes racistes et colonialistes. Ils demandent le décrochage de la toile. L’artiste dénonce une opération de censure.
Dans une tribune datant de quelques bonnes années (Service public ou délégation de service public !), nous exprimions clairement à la fois notre opposition à la délégation de service public passée entre la Région dirigée par S. Letchimy et une société privée de transport maritime, et notre parti-pris total au service public, dans le transport comme ailleurs. 
Les idéaux de progrès, de raison et d’universel sont-ils devenus obsolètes ? La philosophie du XVIIIe siècle, ennemie de toujours des intégristes religieux et de l’extrême droite, est aussi mise en cause par certains groupes militants à gauche.
Lori Lightfoot est une ancienne procureure fédérale qui a notamment dirigé une commission de surveillance des activités de la police.
Cela a assez duré
Ils sont philosophes, historiens, professeurs… Ils dénoncent des mouvances qui, sous couvert de lutte pour l’émancipation, réactivent l’idée de « race ».
— Propos d’Isabelle Barbéris : recueillis par Lucas Bretonnier —
Isabelle Barbéris vient de publier
C’est la question qu’on peut légitimement se poser à voir l’évolution du conflit à la société de transport SOTRAVOM.
Par arrêté du Premier ministre, du ministre de la culture et de la ministre des outre-mer en date du 28 février 2019, M. Christophe POMEZ, inspecteur et conseiller de la création, des enseignements artistiques et de l’action culturelle, est nommé directeur des affaires culturelles de la Martinique à compter du 1er mars 2019 (JO du 1er mars 2019). Il succède à Monsieur Fabrice MORIO qui a pris les fonctions de directeur régional des affaires culturelles de la région Centre-Val de Loire au 1er septembre 2018.
Présenté comme une réponse aux exigences et revendications du mouvement de colère des Gilets jaunes, le « Grand débat » organisé par la Macronie montre en réalité ce qu’il est : une opération en trompe-l’œil, de diversion et de communication, où Macron se met en scène en ignorant les vraies questions posées, pour n’aborder et répondre qu’aux sujets qu’il entend faire valoir.
« Lutter pour qui ? Lutter pour quoi ? Lutter comment ? » : C’est le thème proposé par « Jik An Bout » pour la tenue du IIème séminaire « Savoir Pour AGIR ». Comme pour la première édition, qui s’est tenue les 24 et 25 août 2018 dans la commune des Trois-îlets*, l’objectif de ces rencontres est de permettre un débat libre et réellement participatif, autour de problématiques dont la compréhension est déterminante pour notre action dans la vie personnelle et collective.
Pendant que les responsables politiques amusent la galerie avec des histoires d’hymne et de drapeau, les travaux du nouveau laboratoire d’analyses ,outil majeur de la santé publique à la Martinique et seul laboratoire agréé par les ministères concernés pour les analyses d’eaux et d’environnement ,piétinent et s’éternisent.
Ainsi donc, après la simagrée institutionnelle, voilà donc venue l’heure du drapeau. Un drapeau national, en attendant la nation. Un drapeau national et l’idéologie dont il est le porteur. Pourtant, le temps n’est plus où une idée minoritaire pouvait s’imposer, même si une pratique appliquée pendant un certain temps peut finir nolens volens par se faire adopter.
Pour pouvoir voter aux élections européennes du dimanche 26 mai 2019, il faut être inscrit sur les listes électorales. Si ce n’est pas le cas, n’oubliez pas d’effectuer votre inscription.
L’idée de Congrès des élus semble faire son chemin parmi les sentiers sinueux des logiques politiciennes. Il finira par se tenir, à la suite de quelques-uns sur 19 ans, convoqués alternativement par l’un ou l’autre des présidents, de la Région ou du Département.
Katjil asou péyi a…
Mesdames et Messieurs les Parlementaires,
Sur le plateau Chalvet
Pendant que certains se battaient pour le poste, moi je suis arrivé là au hasard de la composition de l’équipe gouvernementale. Ma réputation de Magistrat intègre et compétent y était pour beaucoup. J’ai affronté des tempêtes, déjoué des complots et évité toutes sortes de pièges. J’ai fait face à des grèves téléguidées en cascades et jonglé avec des politiciens véreux. Enfin, je me suis heurté à certains collègues ou proches du Président sans oublier les parlementaires, pour la plupart, des mendiants arrogants dont le pays se seraient royalement passés tant ils sont nocifs et inutiles. Ceci, pour décrire l’expérience que j’ai vécue dans l’arène politique haïtien pendant treize longs mois (23 mars 2017 – 23 avril 2018).