Objet : Demande de déchéance de la nationalité française
À Mr le président de la république française.
Mr le Président, nous vous faisons une lettre que vous lirez peut-être si vous avez le temps.
Nous sommes nés dans ce pays, la France, par hasard. Nous n’avons choisi ni de naître, ni de naître en France. Il en va ainsi de tous les êtres humains.
Jusqu’à présent, ce non-choix ne nous posait pas de trop gros problèmes. Nous aurions pu tomber plus mal.
Depuis déjà quelque temps, cependant, entre Notre-Dame-des-Landes et la condamnation de syndicalistes à de la prison ferme, nous avions quelques doutes sur votre capacité à faire rêver d’une France dite pays des droits de l’homme. Vous nous accorderez de ne même pas parler de socialisme.
Avec votre dernier tripatouillage politicard à propos de la déchéance du droit de nationalité, les choses sont claires. Vous jouez avec les allumettes. Vous savez que les terroristes se moquent comme de leur première chemise d’être déchus ou non de… Et pourtant, vous êtes en train de mettre en place un arsenal juridique démagogue qui assigne aujourd’hui à résidence des écolos et des syndicalistes et qui, demain, se retournera contre vous.

Prendre des mesures symboliques ne nous aidera pas à vaincre l’idéologie du djihad. La République doit plutôt déradicaliser ses citoyens qui ont basculé dans le fanatisme
Le second tour de l’élection présidentielle et des législatives n’a finalement pas eu lieu ce dimanche en Haïti, reporté à la dernière minute pour des raisons de sécurité. Si l’opposition, qui refusait de participer à ce qu’elle considère comme « un coup d’Etat électoral » fomenté par le pouvoir en place, s’en réjouit et réclame le départ immédiat du président Michel Martelly, les partisans du candidat du pouvoir, Jovenel Moïse, sont déçus et en colère. Ils estiment avoir été privés de leur droit de vote.
Culture Égalité, une jeune association féministe qui s ‘engage pour la défense des femmes et des droits humains.
— Par Soline Roy —
Bernard Lahire
Après le terrible attentat à l’hebdomadaire français Charlie Hebdo au début de 2015, de nombreux caricaturistes se sont solidarisés avec les collègues assassinés et, en signe de soutien, ont envoyé leurs œuvres à plusieurs médias du monde entier.

Refusons la déchéance de nationalité et la constitutionnalisation de l’état d’urgence
Le 13 décembre dernier, 92 parlementaires français ont été élus aux élections régionales. Parce qu’ils détiennent depuis deux mandats locaux, 42 d’entre eux sont tenus par la loi contre le cumul des mandats de renoncer à au moins une de leurs fonctions.
Les autorités de santé ont annoncé le début de l’épidémie d’infections dans les départements d’Outre-Mer, ainsi que l’accélération de la circulation du virus en Martinique.
A quelques jours de l’ouverture du forum économique mondial de Davos, Oxfam, l’ONG britannique, publie son enquête annuelle sur la répartition des richesses dans le monde. Des chiffres qui signent une effrayante accélération des inégalités.
Aux élus de la République, et au nom de la France, nous vous demandons de ne pas inscrire la déchéance de nationalité dans la Constitution.
Un jeune Cap-Verdien a été séquestré et grièvement torturé aux Abymes, commune la plus peuplée de Guadeloupe, en raison de son homosexualité.
Selon la Fondation France libertés : « Les distributeurs d’eau continuent à brutaliser les plus démunis dans une optique exclusivement commerciale. ».
Il est rare que les hauts magistrats sortent de leur sacro-saint droit de réserve et de leur légendaire prudence. Leur initiative est donc suffisamment rare pour être soulignée. Dans un texte commun rédigé jeudi 14 janvier, la conférence des premiers présidents de cour d’appel s’alarme contre les dispositions anti-terroristes que la garde des Sceaux Christiane Taubira doit porter dans les toutes prochaines semaines dans son projet de loi contre la criminalité organisée.
SUCRE – On ne s’en méfiera jamais assez. Bourrés de sucre, les sodas sont à consommer avec une très grande modération. Une nouvelle étude démontre qu’ils favorisent l’apparition de graisse abdominale souvent responsable de diabète et autres maladies cardiovasculaires.
Voila une opération qui se voulait emblématique du renouveau du chef-lieu de la Martinique dénommée désormais Ville-Capitale.
Le compromis est devenu aujourd’hui une nouvelle offre politique au point de brouiller tous nos repères …Dans les 28 pays membres de l’Union européenne, 11 sont dirigés par une coalition transcendant les habituels clivages entre la droite et la gauche. Même tendance pour certaines collectivités en outre-mer, au vu des résultats des dernières élections régionales du 13 décembre 2015.
La mémoire de Siméon Salpétrier, 75 ans, ancien premier secrétaire de la fédération socialiste de la Martinique, décédé hier à Fort-de-France des suites d’une maladie, a été saluée aujourd’hui par plusieurs réactions en Martinique.
Nous abordons bientôt le carnaval avec tous ses excès possibles : abus d’alcool, drogue, incivilités et surtout niveaux sonores excessifs. Chaque année, notre association AAbV (Association Antibruit de Voisinage) tente vainement de faire passer des messages sur la nécessité de baisser sur les niveaux sonores durant ces manifestations. C’est la période ou des groupes à pied s’entraînent ici et là dans les quartiers, enfin là ou ils peuvent, souvent au détriment de la tranquillité des riverains qui n’osent pas réagir, parce que la réponse sera toujours la même : c’est le carnaval, « c’est la culture ». Tout un chacun prend son pied comme on dit souvent en s’exposant à des sources sonores beaucoup trop élevées et pas forcément nécessaires et indispensables pour s’amuser. Ce comportement à risque à pour conséquence d’entamer l’audition, parfois d’une façon définitive. En 2004, des mesures effectuées à Fort de France, lors des passages de plusieurs groupes à pieds ont prouvé que les niveaux sonores dépassaient largement les 110 décibels. Le temps d’exposition toléré à ces niveaux sonore est d’environ 2 minutes.
Sur fond de lutte politique, l’hyperinflation et la chute des prix du pétrole minent un pays très dépendant de ses exportations de brut