— par Pascal Saffache et Indira Roseau —
Les risques naturels majeurs ont toujours défrayé la chronique : inondations, ouragans, séismes, tsunamis, éruptions volcaniques…sont autant d’aléas qui ont modelé les paysages, perturbé ou ralenti l’essor des sociétés humaines, et surtout endeuillé les populations.
Certes, tous ces aléas ne présentent pas la même occurrence, la même puissance, le même impact, toutes les régions ne présentent pas non plus les mêmes enjeux, la même vulnérabilité, mais le risque est toujours vécu comme limitant, perturbant, c’est un frein au développement économique, un obstacle au développement humain.
Si tous les aléas naturels sont craints, il en est un qui a toujours terrorisé les populations, il s’agit du risque sismique. Comment expliquer cela ?
Les séismes sont des vibrations de la croûte terrestre résultant du mouvement des plaques tectoniques ou lithosphériques. La partie externe de la terre est en effet constituée de plaques qui sont en équilibre instable sur une matière visqueuse (de la roche en fusion) : l’asthénosphère. L’asthénosphère étant animée de mouvements internes en raison de sa température élevée, les plaques se déplacent alors à la manière d’un bateau dérivant au gré des courants.

Psychanalyste et psychiatre argentin, membre de l’Association psychanalytique internationale, Salomon Resnik est mort à Paris le 16 février
Si l’électorat catholique présent dimanche (05-03-17) au Trocadéro pour soutenir le candidat de Les Républicains est hanté par les questions relatives aux mœurs, il entretient un rapport décomplexé à la financiarisation de notre monde et l’argent roi pourtant dénoncé par le pape François.
« La » femme, c’est un fantasme masculin et ce choix du singulier en dit long sur les arrière-pensées plus ou moins conscientes… et conservatrices ! Car « la journée de la femme », ça fait un peu fête des mères… ou Saint Valentin ! Or, nous refusons la récupération de cette journée (aussi) à des fins commerciales, avec des pubs proposant de nous « fêter » par un cadeau ou des fleurs… sans doute pour mieux nous faire oublier l’ampleur des inégalités et des injustices qu’il nous reste à combattre.
Samedi midi, je rentre dans la pharmacie de ce centre commercial pour y faire un achat rapide. Une vendeuse m’accueille avec le sourire, m’écoute attentivement, me pilote jusqu’au bon rayon, me propose un produit, m’en explique les avantages, l’utilisation… Alors, charmée de son amabilité, en prenant congé, je lui souhaite bon week-end, ajoutant :
Culture
Madame la Candidate,
Les Journées Territoriales de Réflexion sur la Santé, se poursuivent le vendredi 10 mars 2017 de 9h à 16h, en salle Camille Darsières de l’Hôtel de la CTM, à Cluny. Ce troisième rendez-vous permettra d’échanger cette fois-ci sur le thème « Santé Mentale : que faire aujourd’hui ? »

Dictionnaire des féministes, France XVIIIe- XXIe siècle
Principaux faits
Chaleureuse ambiance, ce samedi 4 mars 2017, au siège du Secours populaire français, autour de quelques-uns – ils furent une quarantaine – des soldats français, la grande majorité d’entre eux communistes, qui refusèrent naguère de porter les armes contre le peuple algérien et qui le payèrent de l’enfermement dans les geôles de deux Républiques. On imagine leur émotion, car certains ne s’étaient pas revus depuis des années. C’est l’Association Agir aujourd’hui contre le colonialisme (ACCA) qui avait été à l’origine de cette rencontre. Et, comme un symbole, ce fut Julien Lauprêtre qui, naguère, mena tant et tant de luttes pour aider ces soldats et leurs familles, qui les accueillit, au nom de son cher SPF. Pour qui pouvait faire rapidement un calcul mental, en regardant ces hommes, il y avait là quelques dizaines d’années de prison pour la cause de l’indépendance de l’Algérie et, par delà, pour l’émancipation humaine. Mais aucun d’entre eux n’accepte ni n’acceptera le nom de « héros ». Ils ont fait, quand ils avaient 20 ans, ce que leur conscience d’hommes et de communistes (même si certains ne furent pas immédiatement compris par leur Parti) leur commandait.
La Famille et la Parentalité seront à l’honneur à travers les thèmes suivants :

Selon une enquête nationale de santé réalisée sur les élèves de CM2, la tendance au surpoids s’est stabilisée depuis 2002, avec de fortes inégalités sociales.
Dans la chronique publiée sur divers supports, le 30 novembre 2015, je posais la question suivante : Que feront les martiniquais si Marine Le Pen devient présidente de France ? Je disais « des hommes politiques martiniquais, [qu’] ils seraient bien inspirés de se pencher sur la perspective de l’arrivée au pouvoir du Front national qui, comme l’explique l’historien François Durpaire, ne peut plus être considérée comme une vue de l’esprit. L’avenir de la Martinique mérite mieux qu’une ruée vers l’aéroport Aimé Césaire pour s’opposer à la descente de l’avion d’une présidente de la république ».
Dans sa mise en cause de l’institution judiciaire, François Fillon franchit un nouveau palier. Avant-hier à l’occasion de l’annonce de sa convocation par trois juges d’instruction, il défigurait l’Etat de droit et la démocratie. Dans la foulée, il en appelait au peuple contre la justice, organisant ce dimanche une manifestation aux airs de coup d’Etat.
Pour une militante ou un militant politique digne de ce nom, la politique c’est le combat pour l’amélioration du sort du plus grand nombre au bénéfice des générations d’aujourd’hui et de demain. Pour une politicienne ou un politicien, la politique se réduit aux élections. Mais il y a pire : pour ce beau monde les élections n’auraient rien à voir avec la lutte des classes qui d’ailleurs n’existerait plus depuis le dix neuvième siècle !
Programme de l’association Culture égalité pour ce 8 mars, journée internationale de lutte des femmes.