— Par Marie Barbier —
La libération de la parole des femmes qui s’opère actuellement sur les réseaux sociaux pour dénoncer les violences sexuelles est concomitante avec le renouveau d’un mouvement qui apparaît plus fort que jamais.
Elles « osent le clito », « balancent leur porc » et « payent leur shneck ». Comme les mots d’ordre de ces campagnes récentes, les féministes d’aujourd’hui ont le vent en poupe. Elles dénoncent les harcèlements sexuels, le tabou des règles, l’emprise des médecins sur leur corps ou la langue française patriarcale avec une audience que leur envieraient leurs ancêtres suffragettes. Cette libération de la parole autour des violences ne sort pas de nulle part. Elle s’ancre dans un mouvement profond qui secoue la France depuis plusieurs années. Nouvelle vague, renouveau, troisième vague ou nouvelle génération, si les mots utilisés font parfois débat, tout le monde s’accorde à dire que le mouvement féministe est aujourd’hui plus fort que jamais. « “Nouvelles féministes”, ça me fait penser à ces pubs qui vantent la nouvelle composition d’un produit, alors que c’est exactement la même chose qu’avant !

La mutation de la politique que vit actuellement le peuple martiniquais comporte une triple crise, dont les conséquences pèsent lourd sur les institutions régionales, et sur les doctrines des partis en cause : crise la moralité, crise des idées, crise de la démocratie, étroitement imbriquées, agent et effet l’une de l’autre.
Nous avons amené 547 produits divers : des produits d’entretien ménagers, corporels, hygiéniques, alimentaires, de maison, vêtements…
Nous avons récolté 650 euros.
Modeste collecte, mais cela a permis à l’association féministe Culture égalité, de partir pour la Dominique samedi 21 octobre 17 à 7h par l’Express des Îles qui nous a pris 4 cartons gratis. Nos valises et sacs perso pour 75 Kg.
Un 1er choc déja dans le bateau en voyant cette verte île (qui retrouve quelques feuilles) avec des arbres « déprélés ».
Nous sommes accueillies par 3 femmes de l’association dont Vania David la présidente. L’émotion est trop forte, trop contente de la serrer dans nos bras après avoir enfin pu les avoir au tél et là les embrasser.
Le choc continue dès le 1er pas posé. Roseau dans un état qu’aucune de nous ne pouvait s’imaginer. Du mal à retenir notre émotion quand nous allons au siège de la DNCW. Nous l’avions vu 2 ans plus tôt. Modeste mais accueillant, un peu comme le nôtre à Culture égalité.
Hac ex causa conlaticia stipe Valerius humatur ille Publicola et subsidiis amicorum mariti inops cum liberis uxor alitur Reguli et dotatur ex aerario filia Scipionis, cum nobilitas florem adultae virginis diuturnum absentia pauperis erubesceret patris.
J’approuve totalement l’article paru dans Montraykreyol :
Désirant se rendre à Miami avec son épouse, monsieur Jxxx. achète deux billets auprès d’ Air Antilles, pour un montant de 229,52€ (dont 10 euros de réservation. Si, si !…).
La gestion de nos déchets est l’une des préoccupations du législateur et de l’administration centrale. Cette ressource devient une forte valeur ajoutée dans l’économie circulaire et nous devrions la mettre en lumière pour l’amélioration de notre quotidien. Alors, ne serions-nous pas condamnés à organiser autour de nos déchets ces filières et leurs financements pour un développement durable.
Après avoir étalé leur totale incurie et leur manifeste irresponsabilité durant la phase antérieure et les 2 jours suivant le passage d’Irma, la France (cinquième puissance mondiale) a cherché, par la voix de Macron, de son gouvernement et de ses différents experts de service à reprendre la main, face à la masse des critiques qui leur ont été adressées.
La Martinique enregistre depuis près de 48 heures une forte pollution atmosphérique en raison d’une brume de sable très dense, a indiqué jeudi Madininair, l’association régionale de surveillance de la qualité de l’air.
Je suis à l’école, je te vois.
Les arts du cirque font leurs premiers pas à la Martinique par l’intermédiaire de Lorstrom Théatre qui créé l’école du cirque de la Martinique en 1988.
Au rebours du magnifique exemple d’unité ,de solidarité et de pragmatisme offert par la mobilisation générale des forces vives syndicales, associatives et politiques pour la sauvegarde des contrats aidés, le syndicalisme dévoyé et l’écologie dénaturée , pratiqués par certains groupuscules activistes, sont deux comportements déviants majeurs qui empêchent la Martinique d’avancer.
La FAO célèbre chaque année, le 16 octobre, la Journée mondiale de l’alimentation qui commémore la fondation de l’Organisation en 1945. Des événements sont organisés dans plus de 150 pays, faisant de cette journée l’une des plus importantes manifestations du calendrier des Nations Unies. Ces événements sont destinés à sensibiliser et à promouvoir les actions en faveur des populations qui souffrent de la faim, ainsi que la nécessité de garantir la sécurité alimentaire et des régimes nutritifs pour tous.
Voici ce qu’à la Collectivité Territoriale, on appelle la « plénière ». Maintenant s’entendent tous discours de ceux qui aiment discourir. Et d’un président d’exécutif, devenu point de mire des médias, qui se laisse à croire qu’il n’existe personne au-dessus de lui dans l’échelle politicienne. Rien ne s’oppose à ces diatribes, de type cyclone, jaillissant de sa gorge ! C’est le surréalisme en ses œuvres démagogiques ! Surréalisme, où notre président prétend jouir d’une supériorité absolue sur tous les autres élus.., autrement dit que la politique, le social, l’économie, le culturel, trouvent en lui seul, leur achêvement. Même le soit-disant président de la dite assemblée se fait poussière en son fauteuil présidentiel, pour servir le peu, attendu de lui.
Le 15 octobre 1987, à Ouagadougou, une expérience révolutionnaire exaltante prenait fin dans le vacarme des kalachnikovs. Le président du Burkina Faso, Thomas Sankara, était assassiné avec douze de ses compagnons. Trente après, son héritage est toujours vivant
Déclaration de Madame Mariam SANKARA, à l’occasion de la commémoration du trentième anniversaire de l’assassinat du Président SANKARA.
Au Burkina Faso, la chute de Baise Compaoré voici près de trois ans, a correspondu avec une renaissance du théâtre burkinabé. La comédienne Odile Sankara est de celles et ceux qui ont participé à le relancer.
Autour du Festival ALIMENTERRE, associations, enseignants, formateurs, individuels, collectivités et entreprises martiniquaises se mobilisent pour une agriculture durable et garante d’une alimentation saine et suffisante pour tous, en Martinique et dans le monde.
— Par Jean-Marie Nol, économiste financier —
(Cet article a été écrit avant l‘acte d’indépendance manqué du mardi 12 octobre 2017 du président de l’assemblée de la Catalogne).
Analyse. La question vénézuélienne est aujourd’hui, en France, une fracture de plus entre deux gauches de moins en moins réconciliables.