— Par Robert Saé —
On sait que, sous le régime féodal, le roi et les seigneurs avaient droit de vie et de morts sur « leurs sujets ». Aucune autorité autre que la leur n’était habilitée à juger du bien-fondé de leurs décisions. Ils étaient intimement convaincus que l’aliénation dans laquelle les superstitions et la propagande religieuse maintenaient les manants et autres roturiers ne permettrait jamais que cet ordre des choses puisse changer.
Et puis, la Révolution bourgeoise de 1789 est venue balayer l’Ancien Régime. Depuis, on a beaucoup parlé du règne de la « raison », de « souveraineté populaire », et du respect des « droits de l’homme ». Bien sur, le pouvoir et la jouissance de privilèges restaient l’apanage des classes dominantes, mais on s’appliquait à le cacher derrière les écrans du formalisme institutionnel. Vive la République criait-on de toute part !
Avec la constitution de 1958, la République Française a pris une forme manifestement monarchique, la rhétorique de la démocratie s’accommodant ouvertement de l’apparat des châteaux de la dite République et des larges privilèges offerts aux gouvernants.
Depuis que le sieur Macron De la Financerie et la Reine Brigitte, ont été installés sur le trône de France, la Monarchie a décidé de se débarrasser des faux-semblants.

Des personnalités, en majorité d’outre-mer, interpellent le président de la République dans une tribune, « sur les conséquences de la crise sanitaire qui pourraient être dramatiques » pour les territoires d’outre-mer, « sous la menace d’une crise économique, sociale, morale et politique sans précédents ».
À partir du 1er juillet, il sera possible de voyager dans les îles tropicales d’Outre-Mer. Une destination opportune pour l’été, assure Gilbert Cisnero, président fondateur du tour-opérateur Exotismes, spécialiste de la destination.
La Martinique compte un citoyen français de plus et pas n’importe lequel : l’Artaban qui préside aux destinées du Parti (prétendument )Progressiste Martiniquais.
— Propos recueillis par
— Par Aurélien Rouquet, Neoma Business School —
Pucelle, sorti le 15 mai, est déjà salué comme la meilleure BD de ce début d’année. Cet album raconte la découverte de la sexualité chez une jeune fille qui grandit dans une famille très stricte.
— Par Ingrid Feuerstein —
Jacques Toubon, a demandé, jeudi 14 mai 2020, une « intervention » du ministère de l’éducation nationale afin que cesse une « différence de traitement » qui « stigmatise » dans plusieurs écoles maternelles et primaires des enfants des personnels soignants.
Les commentaires inspirés par mon
Les derniers chiffres confirment l’augmentation des violences faites aux femmes pendant le confinement. L’enquête de la cellule investigation de Radio France montre un bilan contrasté. Beaucoup de structures ont accompagné les victimes, mais les relais d’accueil dans les pharmacies et les centres commerciaux n’ont pas été un succès.
Les populations du bassin amazonien sont largement démunies face à la pandémie de Covid-19 qui frappe actuellement le monde entier. Face aux alertes qui se multiplient, plusieurs initatives bilatérales ont été lancées, respectivement par le Brésil et Colombie, puis par le Pérou et de nouveau la Colombie.
« Il est urgent de maîtriser nos peurs et d’aller de l’avant pour le bien des enfants. » Dans une tribune cosignée* par les responsables de sociétés de spécialités pédiatriques, le Pr Christophe Delacourt, président de la Société française de pédiatrie, regrette certaines mesures de protection excessives liées à « des craintes souvent non basées sur des faits » et plaide pour « une réouverture pragmatique » des écoles primaires et maternelles.
La ville italienne Capoue accueillit en 215 avant JC les troupes d’Hannibal. Il venait de reprendre celle-ci, qui était connue pour la facilité de la vie et les multiples plaisirs auxquels on pouvait s’adonner. Après une longue période de repos dans cette ville, les Carthaginois perdirent l’habitude du combat et ne tardèrent pas à être battus par les Romains qui, en guise de vengeance, rasèrent Capoue. On dit qu’une personne « s’endort dans les délices de Capoue » lorsqu’elle a tendance à se laisser bercer par une vie trop facile et sans contrainte.
Il est possible de tenter, d’expérimenter.
Vous avez été confronté à un refus de paiement en argent liquide chez un commerçant qui invoquait le risque de contagion par la manipulation des pièces et des billets ? Cela est illégal, et aussi discriminant comme le rappelle le Défenseur des droits. Le paiement sans contact reste un moyen pour payer en toute sécurité. Une ordonnance parue au Journal officiel le 8 mai 2020 relève le plafond de ce mode de paiement à 50 €.
Les syndicats CGTM présents dans les premier et second degré de l’Education nationale
Le coronavirus responsable du Covid-19 pourrait devenir endémique et ne jamais disparaître totalement, a prévenu mercredi l’OMS, alors que le bilan des décès approche des 300 000 morts dans le monde.
La peur, la violence et
De nombreux équipements de protection seraient trop grands pour les femmes, car conçus pour des visages masculins, expliqu
Emmanuel Demarcy-Mota et la troupe du Théâtre de la Ville sont restés très actifs pendant ces dernières semaines, et comptent bien le rester dans les mois à venir. Voici quelques extraits de La Tribune publiée le 15 mai 2020, dans « Scenweb, l’actualité du spectacle vivant ».
Qui est André Lucrèce ? (Quelques extraits de l’article de Wikipédia, à lui consacré).
« Même s’il est nécessaire, le port du masque brouille énormément les relations sociales » : pourquoi ne plus voir les visages n’a rien d’une évidence
Ghada Hatem-Gantzer est gynécologue à l’hôpital de Saint-Denis et médecin-chef de la Maison des Femmes. Elle intervient dans les formations des équipes mobiles franciliennes et leur apprend à se débarrasser de leurs biais culturels pour mieux « faire alliance thérapeutique » avec les patients.
— Par Thomas Jolly, directeur du Quai, centre dramatique national à Angers