« Nous appelons à lutter sans relâche pour l’éradication des violences à l’encontre des femmes et pour l’égalité des droits«
— Par Tribune collective —
À l’occasion du 25 novembre, Journée Internationale pour l’élimination des violences faites aux femmes, plusieurs féministes universalistes et laïques françaises, belges et québécoises dénoncent les violences, notamment religieuses, qui pèsent sur les femmes.
Les limitations du droit à l’avortement en Pologne, suivies des imposantes manifestations du mouvement « Grève nationale des femmes » pour rejeter cette énième tentative de restriction qui concerne, cette fois-ci, de graves malformations de l’embryon, illustrent bien l’intensité du combat des femmes en Europe et dans le monde. Ceci est encore plus vrai avec l’héritage laissé par Donald Trump aux États-Unis. D’un côté, des ultrareligieux portés par des courants politiques conservateurs ou d’extrême droite qui prennent les femmes en otage, quitte à fermer les yeux sur les drames des avortements clandestins, et de l’autre côté, une société en mouvement, libre, faisant preuve comme en Pologne d’un courage et d’une ténacité exemplaires qui ne se laisse rien imposer. Lorsque le parlement est bloqué, les femmes investissent la rue.

La loi visant en fait à interdire de filmer les violences policières fait l’objet d’une vive et légitime opposition en France. À dire vrai, si l’article le plus contesté de ce projet de loi entrait dans les faits ce serait, même avec les amendements tactiques discutés, l’une des atteintes aux libertés les plus graves depuis la guerre d’Algérie.
Selon l’enquête Virage, dont les derniers résultats ont été rendus publics lundi, un homme sur huit et près d’une femme sur cinq déclarent avoir subi des violences para ou intrafamiliales d’ordre psychologique, physique ou sexuel avant l’âge de 18 ans.
S’il est effectif que l’émission KTKZ (Kolé Tèt, Kolé Zépol, réalisée entre RCI et Pôle emploi) a permis depuis son existence, à quelques individus (jeunes souvent) en galère depuis un certain temps, de décrocher un emploi sur ce marché non officiel des offres d’emplois, il reste cependant que cette émission n’est rien d’autre qu’une forme de loterie, où le gagnant principal est le patronat.
En Martinique et Guadeloupe, la problématique de la dette et des déficits, on connaît déjà à travers la situation financière très dégradée des collectivités locales. Ainsi les deux-tiers des communes des deux îles sont dans une très mauvaise passe financière en raison notamment d’une masse salariale importante qui a augmenté de 14% en trois ans, selon la direction générale des finances publiques . La dette fournisseurs, fiscale et sociale des communes se creuse également, car début 2020 , elle avoisinait les 185 millions d’euros en Guadeloupe et un peu plus de 150 millions d’euros en Martinique .
Dans un appel confié à Mediapart, trente-trois personnalités de la société civile ayant voté pour Emmanuel Macron en 2017 lui demandent le retrait de projets de lois qui font «reculer les libertés d’information, d’opinion, de croyance, d’éducation, d’association, de manifestation et de contestation».
J’habite une blessure sacrée
Requiescat in pace Alexia, incarnation du féminicide !
L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.
Brigitte Grésy, la présidente du Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes (HCE), a rappelé jeudi les dysfonctionnements de la justice et de la police en matière de violences contre les femmes.
Elles sont femmes, elles sont d’ici, elles sont d’ailleurs, mais c’est toujours un regard personnel et singulier qu’elles portent sur le monde, avec leurs yeux de femmes grand ouverts, leur sensibilité de femmes, leurs engagements de femmes… Et par la caméra, en documentaire ou en fiction, elles nous découvrent de nouveaux horizons, que nous ne soupçonnions pas, ou que nous méconnaissions, ou que nous refusions de voir. Elles nous emmènent – nous qu’un fort vilain virus a contraints à l’immobilité –, dans leur sillage généreux
— Propos recueillis par Youness Bousenna —
En découvrant, à la télévision et sur des vidéos des réseaux sociaux, l’ampleur catastrophique des dégâts causés par l’épisode pluvieux de ce début novembre 2020, j’ai pensé à un autre épisode de pluie intense, celui de mai 2009, qui avait causé des dommages importants aux constructions et infrastructures du pays et qui m’avait inspiré une réflexion au sujet du risque d’inondations. J’en avais tiré un article publié dans la revue Antilla en juin 2009.
Si vous êtes étudiant boursier et que vous avez dû effectuer le stage obligatoire de votre cursus de formation pour l’année universitaire 2019–2020 après le 31 août 2020 du fait de l’épidémie de Covid-19, vous pouvez bénéficier, à titre exceptionnel, du prolongement du versement de votre bourse grâce au dispositif RESO. Un arrêté paru au Journal officiel le 7 novembre 2020 en précise les modalités.
Saïna Manotte est ce qu’on appelle une musicienne au grand cœur. Après avoir quitté sa Guyane natale pour la région parisienne, elle vient tout bonnement d’atterrir en douceur à l’Association Pour l’Information et la Prévention de la Drépanocytose (APIPD) dont elle devient ambassadrice.
A l’heure où la pandémie du Covid 19 ne cesse de nous mettre à l’épreuve, on oublie parfois la crise intellectuelle qu’une Martinique, voire dans une moindre mesure, une Guadeloupe mal à l’aise est en train de subir. L’intérêt des intellectuels pour le fonctionnement de l’économie et pour la prospective ( AU SENS DE PENSER LA MUTATION DU FUTUR ) , s’est dissout en France et s’est révélé mort né aux Antilles . On n’entend pas les économistes de l’université des Antilles. Pourquoi sont-t-ils muets sur les grands sujets économiques inhérents à la Martinique et à la Guadeloupe ?
Illustration : Épidémie dansante de 1518
Seulement 11 % de la population mondiale a pris l’avion en 2018, révèle une étude relayée par le « Guardian ». Les Américains sont les plus nomades.
Cher Père Noël,
Le ministre des Outre-mer, Sébastien Lecornu, a annoncé mardi 17 novembre que l’état de catastrophe naturelle serait décrété pour plusieurs communes de Martinique et de la Guadeloupe, frappées par de fortes intempéries ces derniers jours.
Monsieur Le Préfet,
Prenant part à la douleur des victimes de ces dernières intempéries, Pour Une Martinique Autrement (PUMA) adresse toute sa compassion et son soutien aux habitants à reloger et victimes des coupures d’eau.