Le COVID tue chaque jour en masse, et par vagues successives en Guadeloupe.
Il ne fait pas de quartier, ni de distinction entre personnes âgées, jeunes et enfants et il étend désormais ses ravages aux nouveau-nés.
Le virus se joue des querelles et controverses comme des mystifications qui alimentent continuellement certains médias et les réseaux sociaux en contre-vérités, dénigrements et autres menaces haineuses.
Il sème le désarroi, la détresse et la désolation et, plus encore, la peur panique, au sein de familles décimées en cascades, au gré de ses incessantes mutations.
Les décès se comptent par dizaines chaque semaine, malgré le dévouement et l’abnégation des soignants et des responsables hospitaliers mobilisés nuit et jour dans ce combat pour la vie. 
Nul ne peut sérieusement ignorer aujourd’hui – irréductibles de la contestation compris – l’aggravation funeste de l’épidémie car la mort fauche dorénavant au plus près de chacun et de tous les côtés et nous allons, de jour en jour, vers l’hécatombe.
Les taux d’incidence de la mortalité hospitalière de la Guadeloupe sont alarmants et font le quotidien de la presse régionale et hexagonale .

Max Orville Président de Renaissance Martinique a répondu favorablement à l’invitation le jeudi 26 août de Serge Letchimy le Président du Conseil Exécutif, pour échanger sur la situation de la Martinique. Une fois accompli ce tour d’horizon, le président Letchimy a expliqué vouloir offrir aux listes écartées de toute gestion de la CTM, la possibilité de réaliser un élément de leur programme électoral pour la Martinique.
Depuis plusieurs jours circule sur les réseaux sociaux un flyer appelant à un mouvement de grève générale les 1
Brasilia – Le président brésilien Jair Bolsonaro a déclaré samedi qu’il avait trois alternatives pour son avenir proche: « Être emprisonné, mort ou victorieux », lors d’une rencontre avec des évangéliques au cours d’une visite à Goiania, dans le centre du pays.
 
Vivre en communauté, ce qui forcément correspond à être citoyen d’un pays, implique qu’on le veuille ou non la conscience d’une solidarité à l’égard de tous.
Communiqué de presse, 
Au moment où le débat international sur le biofilm chimique à l’intérieur des canalisations de transport de l’Eau de boisson, comme d’habitude en Martinique nous nous heurtons au refus de tenir compte de la littérature scientifique. 
Le péril mortel encouru par la population de la Martinique du fait du Covid 19 et le risque d’effondrement de son économie qui en résulte, exigent que tous les responsables politiques, syndicaux religieux et associatifs fassent front, fassent peuple,autrement qu’en paroles ,pour combattre efficacement ce fléau épidémique. En l’état actuel des connaissances scientifiques,il n’y a pas trente-six solutions : seule la vaccination, associée au respect des gestes-barrières peut permettre d’en juguler les formes graves et espérer le retour ,dans un avenir plus ou moins proche, à un semblant de vie normale. Pour ne pas l’avoir compris et admis ,nous nous trouvons aujourd’hui confrontés à un nouveau re-confinement. C’est le prix amer à payer pour cet aveuglement collectif, entretenu par des dirigeants politiques plus soucieux de satisfaire leur clientèle électorale en quête d’identité qu’à assurer la protection sanitaire de leurs concitoyens ; d’où cette invraissemblable motion “nègre- blanc”de la Collectivité Territoriale de Martinique, privilégiant à demi-mot le recours à la médecine traditionnelle ,à base d’ herbes médicinales et d’huiles essentielles pouvant être tirées de la pharmacopée créole ,sur la vaccination à grande échelle, préconisée par les autorités sanitaires et le monde scientifique, pour endiguer efficacement l’ épidémie virale du Covid 19 ( il ne s’agit certes pas de nier les vertus préventives ou curatives de nos rimèd-razié mais bien de reconnaître qu’ils ne peuvent intervenir éventuellement qu’en complément du vaccin ,qui reste la seule arme décisive contre le coronavirus) ;cette erreur stratégique majeure est à l’origine du tournant catastrophique pris par l’épidémie dans notre territoire ; le variant anglais, dit Alpha , était encore très largement majoritaire au début ; il fallait en profiter pour mobiliser la population afin qu’elle se fasse massivement vaccinée ,avant l’arrivée du variant Delta beauoup plus contagieux et dangeureux .Il
L’arrêté d’un maire portant sur un « 
Face aux risques élevés de rebond de l’épidémie de Covid-19 liés au variant Delta, le passe sanitaire est désormais exigé dans de nombreux lieux accueillant du public. Quels sont les risques à ne pas le présenter lors d’un contrôle ou bien à utiliser un passe qui n’est pas le sien ? À combien s’élèvent le montant des amendes ?  
Dans le but de renforcer la protection vaccinale face à la recrudescence du virus Covid-19 et de ses variants, le ministère de la Santé a saisi la Haute Autorité de santé (HAS) pour préciser les personnes éligibles à une dose de rappel de vaccin. Dans son avis rendu le mardi 24 août 2021, la HAS préconise, à partir de la mi-septembre 2021, l’injection d’une 3e dose aux plus de 65 ans et aux personnes avec des comorbidités. Cette dose devra être injectée après un délai d’au moins 6 mois suivant la primovaccination complète. Le détail de ces recommandations avec Service-Public.fr.
À la rentrée, une attestation d’assurance scolaire vous est demandée par l’école, le collège ou le lycée de votre enfant. Est-il utile de souscrire une telle assurance ? Est-elle indispensable ou même obligatoire ? Que couvre-t-elle exactement ?
A l’instar de la Martinique, la Guadeloupe va connaître un prolongement du couvre-feu et du confinement pour trois semaines, et la rentrée scolaire est repoussée au 13 septembre 2021 . C’est maintenant acté que les grands perdants seront une fois de plus les entreprises touristiques et commerciales fermées, mais également les agriculteurs et les pêcheurs. Désormais, l’asphyxie financière guette les entreprises martiniquaises et guadeloupéennes. Il est étrange que la gravité de la situation n’interpelle pas davantage les hommes politiques et nos élites économiques et sociales. Au risque d’une belle gueule de bois post « Covid-19 « , la Martinique et la Guadeloupe risquent de rester longtemps bloquées dans cette pesante apesanteur où rien de décisif ne se décide au niveau de la réflexion sur l’indispensable émergence d’un nouveau modèle économique et social . En fait, les économistes ne comprennent pas ce climat de légèreté, d’apesanteur, face à une réalité qui exigerait des décisions bien plus audacieuses, d’imagination. C’est comme si les responsables politiques pensaient que, comme à chaque fois, un peu de déficits publics et de contrats aidés vont suffire et que tout va rentrer dans l’ordre.
Monsieur le Président du Conseil de l’Ordre des Médecins de la Martinique, 
Fort-de-France, le mardi 24 août 2021 
Fort-de-France (Martinique).– Dans une Martinique frappée par une quatrième vague de Covid-19 particulièrement meurtrière, 
En Guadeloupe, les collectivités locales demandent un report de la rentrée scolaire, en raison de la situation sanitaire actuelle.
La crise du Covid n’est pas anodine, car elle va marquer les esprits et imprimer la peur dans les têtes, et pour cause, elle n’est pas quelque chose qui s’oubliera vite . Et comme le dit un proverbe persan :  » Ouvrons les yeux, de peur qu’on ne ( nous ) les ouvre « …. Ainsi, l’onde de choc de la COVID-19 a engendré une crise humaine planétaire à nulle autre pareille à savoir une crise sanitaire mondiale qui, en plus d’un bilan humain extrêmement lourd de plusieurs millions de décès ( 4 401 486 morts dans le monde dont 113.165 morts en France au 20 août 2021) est à l’origine de la pire récession économique mondiale depuis la Seconde Guerre . L’année 2021 sera ainsi marquée par une contraction de l’économie mondiale et des revenus par habitant, ce qui fera basculer environ 150 millions de personnes supplémentaires dans l’extrême pauvreté , selon les différents scénarios élaborés par la Banque mondiale . L’espoir d’une ère nouvelle n’est plus, car entre la peur du virus et la crainte de l’effondrement de l’économie, le monde, où la peur de la crise sanitaire et économique se répand comme une traînée de poudre, retient son souffle.
Pointe-à-Pitre – Le directeur général du CHU de Guadeloupe a rappelé « tous les personnels du CHU », qui « doivent regagner leur poste sans délai », alors que la « situation épidémique et ses impacts sur le tissu hospitalier ne cesse de se dégrader ».
Le Collectif Femmes en Colère appelle l’ensemble de la population à manifester son refus de voir un auteur de violences conjugales condamné par la Justice en France promu à la tête de la Gendarmerie en Nouvelle-Calédonie.
— Par Jean-Michel Hauteville(Fort-de-France (Martinique), correspondance) et Quentin Peschard —
Les personnes pour lesquelles la vaccination contre le Covid-19 est contre-indiquée peuvent demander à leur médecin un certificat médical pouvant être présenté dans les lieux, services, établissements et événements où le passe sanitaire est exigé. Un décret publié au Journal officiel le 8 août 2021 liste les seules contre-indications à la vaccination qui dispensent de la présentation du passe sanitaire et de la vaccination obligatoire dans certaines professions.
L’obligation du passe sanitaire entre en vigueur le 30 août 2021 pour les personnes qui travaillent dans certains lieux où le passe sanitaire est déjà exigé pour le public. Quels sont les professionnels concernés ? Dans quels lieux et pour quels types d’événement ? Que se passe t-il si le professionnel ne présente pas son passe ? La loi du 5 août 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire ainsi qu’une circulaire du ministère de la Fonction publique du 10 août 2021 précisent ces dispositions.