Mardi 11 juin 2019 à19h, campus de Schoelcher
Fin de saison culturelle en images à la BU du campus de Schoelcher, avec, mardi 11 juin, 19h, la projection des mini documentaires réalisés par des élèves de l’académie de Martinique dans le cadre de l’Oeil du doc 2019. Lancé en 2016, cet atelier d’éducation à l’image – et au sens critique- est renouvelé chaque année depuis, avec des établissements différents.
Durant trois mois, de janvier à avril 2019, d’un côté ou de l’autre de la caméra – jusques et y compris durant la phase de montage-, des écoliers et collégiens de l’académie de Martinique se sont attachés à réaliser six courts films documentaires les mettant en scène à partir de thèmes choisis par eux après un vote démocratique en classe : l’historique de leur établissement, la question du handicap en milieu scolaire, la culture du cacaoyer et les secrets de la chocolaterie Lauzéa, le métier de pêcheur ou encore la visite guidée du centre historique de Fort-de-France.
Chaque saison de L’Œil du doc dévoile ainsi son lot de personnalités qui, au contact de la caméra, émergent, émeuvent et interpellent nos certitudes d’adultes cuirassés et omniscients.

« Bravo, tu l’as bien mérité ! » Tous ceux qui ont rejoint le camp des vainqueurs du jeu scolaire et universitaire voient ainsi salués leurs efforts et leur « mérite », leurs « capacités » et leurs « talents ». Mais ces éloges ont un revers : en élevant les uns, ils rabaissent les autres, définis précisément par ce qu’ils ne sont pas.
— Par Ali Babar Kenjah —
Marqué par une restructuration majeure de l’organisation de l’école et un autoritarisme manifeste distillé au fil de ses articles, le projet de loi dit « l’école de la confiance » ne s’attaque à aucune des difficultés du système éducatif. Au contraire, il risque bien de les creuser. Le SNUipp-FSU ne laissera pas faire. Pour un ministre qui dès son installation rue de Grenelle avait claironné que son nom ne serait pas associé à une énième loi sur l’école, Jean-Michel Blanquer se distingue.
Vendeur de glaces sur les plages, surveillante de musée, animateur en centre aéré, hôtesse d’accueil dans un camping, saisonnier agricole, chargée des inscriptions des étudiants à la fac, agent de centre d’appel, surveillante de baignade en piscine, distributeur de flyers pour un festival, barman… Vous êtes à la recherche d’un emploi saisonnier pour financer vos études ou vos vacances ? Retrouvez sans attendre tout ce qu’il faut savoir sur les jobs d’été.
Les repas servis en restauration collective devront, d’ici le 1er janvier 2022, compter
Les dossiers de bourse à la Formation Culturelle et Artistique pour l’année scolaire 2019/2020 peuvent être expédiés ou remis à l’accueil de l’Hôtel de la CTM jusqu’au vendredi 31 mai 2019, au plus tard. Ces bourses sont attribuées, selon des critères définis, à des jeunes qui envisagent de suivre des formations non dispensées en Martinique dans les domaines de la musique, de la danse, du théâtre, des arts visuels et de l’audiovisuel. La limite d’âge est fixée à 26 ans dans le cadre de ce dispositif.
Les étudiants extra-européens devront ainsi s’acquitter de 2 770 euros en licence et 3 770 euros en master et doctorat, soit plus de dix fois plus que leurs homologues européens.
L’usage des écrans par les enfants et les adolescents doit faire l’objet d’une « vigilance raisonnée », avertissent mardi des scientifiques, invitant aussi les parents à s’interroger sur l’impact de leur propre relation aux nouvelles technologies.
Le 17 avril, quatre ministères annonceront le lancement de «savoir rouler». Le but: apprendre aux enfants à respecter le code de la route.
Vous avez un enfant collégien qui intègre un lycée à la prochaine rentrée ou bien un lycéen qui n’est pas encore boursier et vous avez besoin d’une aide financière ? La campagne des demandes de bourse de lycée pour l’année scolaire 2019-2020 est ouverte et se terminera le jeudi 4 juillet 2019.
Le 19 février dernier, le projet de réforme du ministre de l’Éducation nationale était voté en première lecture à l’Assemblée nationale. Depuis, c’est l’incompréhension entre les enseignants et Jean-Michel Blanquer.
Dans la concurrence que se font en divers domaines la Guadeloupe et la Martinique, le département-région sait se faire aider par le gouvernement grâce à ses parlementaires et son lobby d’anciens ministres, de gauche et de droite. De ce fait, la mésestime de la collectivité martiniquaise pour les partis nationaux ainsi que son dédain pour les fonctions ministérielles sont perçus par Gwada comme des reproches en creux pour sa propre participation à des gouvernements français. Celle-ci se tait mais n’en pense pas moins. En tout cas, les postures de rupture du pouvoir local martiniquais ont un coût politique. La plupart des arbitrages gouvernementaux effectués entre les deux territoires se font au détriment de la Martinique.
L’université des Antilles doit communiquer le détail de ses critères de classement des candidats dans Parcoursup, selon une décision rendue par le tribunal administratif de Guadeloupe. Mais la transparence des algorithmes locaux est encore loin d’être acquise.
Le SNUEP-FSU, une nouvelle fois, condamne fermement les propos tenus vendredi par E. MACRON, cette fois-ci lors du débat sur l’outremer.
— Par AFP agence —
Le ministère de l’Éducation nationale apporte sa caution à des ateliers numériques proposés aux écoliers et collégiens par une association, Unis-Cité… au service de la multinationale de l’informatique.
La rédaction ambiguë de l’article 1 de la future loi Blanquer ouvre la possibilité de museler toute contestation des enseignants. Face à l’inquiétude grandissante de la profession, le ministre de l’Éducation nationale promet de réécrire son texte. Sans vraiment convaincre.

Une opinion piquée sur l’internet m’amène à faire plusieurs observations. L’internaute déclare : « Nos politiciens veulent se retirer du cadre français en se camouflant dans des partis bô caye ; personne ne veut s’intégrer dans les partis nationaux pour afficher le territoire au sein du gouvernement. On se replie sans arrêt et le résultat est devant nos yeux ». Ces mots s’appliquent bien au rapport au gouvernement de la classe politique martiniquaise.