— Par Mathilde Golla —
SÉRIE #UNMOISSANSSUPERMARCHE 6/6 – Aidée par les internautes, une journaliste du Figaro.fr a cessé de mettre les pieds dans les grandes surfaces pendant un mois. Conclusion de cette expérience collaborative : on dépense moins en consommant mieux !
Pour aider les agriculteurs, j’ai relevé le défi lancé par les internautes de ne plus mettre les pieds dans un supermarché. Au terme de cette expérience collaborative, la conclusion est sans appel: quelles que soient les solutions adoptées chaque semaine, j’ai dépensé moins tout en consommant mieux. En un mois, j’ai dépensé 264,50 euros pour me procurer tous les produits de consommation courante: cosmétiques, produits ménagers et alimentation. Sur le mois précédant, j’avais dépensé 300 euros en me rendant uniquement en supermarché.

Alors que le pouvoir d’achat des Guadeloupéens et des Martiniquais stagne, que le chômage ne cesse de progresser et que les problèmes économiques et sociaux s’aggravent, les exécutifs de Guadeloupe et Martinique et leurs oppositions respectives persistent dans les cancans et les invectives à propos de problèmes budgétaires, et ce alors que la Région Guadeloupe et la Collectivité de Martinique figurent parmi les plus endettées de France . Les hommes et femmes politiques de la Guadeloupe et de la Martinique ne sont pas conscients qu’ils sont dans la situation d’un alpiniste qui est sur une paroi très raide et qui ne sent pas que les prises sont en train de lâcher : ont-t-il bien pris la mesure de la crise à venir en 2017 du fait de la réduction des dotations de l’Etat et de la progression inéluctable des dépenses notamment sur le plan social ?
Les chiffres de l’Insee viennent justifier – s’il en était besoin – le combat que
Puisque les médias du monde entier font leurs choux gras du Panama Papers, profitons-en pour évoquer quelques réalités.
Le 17 février dernier, un incident sur le réseau d’EDF a endommagé un grand nombre d’appareils chez plusieurs clients d’EDF. Certains ont quasiment tout perdu. EDF reconnaît l’incident mais le traitement des dossiers nous interpelle.
La Martinique n’est pas seulement un lieu, mais un acte qui arrache sur le chaos d’un milieu, des forces qu’elle condense, qu’elle rend visibles, qu’elle transforme.
De plus en plus, notre système capitaliste semble atteindre ses propres limites. Une croissance infinie dans un monde fini ne serait qu’un mythe. Face à cette impasse, un économiste sénégalais propose que l’Afrique apparaisse enfin comme une alternative, plutôt que comme une éternelle subalterne.
Tribune —De ce qui suit, il n’existe aucune statistique fiable, et on ne peut le comprendre que par ce qu’on entend, partout, où qu’on soit et à qui qu’on parle.
Non, la baisse des coûts du licenciement ne fera pas gagner la bataille de l’emploi, comme le croient ceux qui défendent le projet El Khomri. Il y a urgence à changer de politique économique.
Une fois de plus, le gouvernement oublie les droits des femmes. Le préambule de l’avant-projet de loi rappelle que « le principe d’égalité s’applique dans l’entreprise. L’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes doit y être respectée ». Voilà pour la théorie, et c’est bien le minimum quand on sait que les femmes continuent de gagner en moyenne un quart de moins que leurs homologues masculins et que la France se classe 132e en matière d’égalité salariale sur 145 pays. Le problème, c’est que cette déclaration de principe n’est accompagnée d’aucune mesure pour rendre enfin l’égalité effective.
Les différences salariales persistent dans le monde, affirme l’Organisation internationale du travail (OIT). Que 171 pays aient ratifié la convention de 1951 sur l’égalité des rémunérations n’empêche pas les emplois d’être déterminés par le genre plutôt que la compétence. Entretien avec Cécile Balima-Vittin du département des normes internationales du travail au BIT.
Un autre Code du travail est possible, qui soit à la fois plus simple, plus court, plus protecteur et mieux adapté à notre temps. Pour démontrer ceci, le groupe de recherche PACT, « pour un autre Code du travail » , s’est attelé à la rédaction d’un projet complet de Code du travail.
Dans un proche avenir ,une énorme déflagration économique et sociale nous menace , c’est celle du numérique conjuguée à la réduction de la dépense publique. Nous aurons encore beaucoup plus de temps libre pour nos loisirs, mais nettement moins de travail !!!
JOHANNESBURG/NAIROBI/TORONTO, le 17 février 2016 – L’UNICEF a annoncé aujourd’hui que près d’un million d’enfants en Afrique orientale et en Afrique australe ont besoin d’un traitement contre la malnutrition sévère aiguë. Deux années de pluies et de sécheresses imprévisibles combinées à l’un des phénomènes El Niño les plus puissants en 50 ans causent des ravages chez les enfants les plus vulnérables.
Il est possible de réenchanter l’avenir, y compris en matière économique. Tel est le sens de cet appel. La gravité de la situation l’exige : nous tenons aujourd’hui à souligner ensemble en tant qu’économistes – par-delà nos sensibilités très diverses – que des alternatives crédibles existent pour sortir de l’impasse.
Dans sa case le Monde en face, France 5 diffuse ce soir une enquête édifiante sur le transport par bateaux de marchandises.
Il y a un an presque jour pour jour que l’association VALCACO vit le jour le 6 février 2015 au matin dans les locaux du PARM (Pole Agroalimentaire Régional de La Martinique)!
A quelques jours de l’ouverture du forum économique mondial de Davos, Oxfam, l’ONG britannique, publie son enquête annuelle sur la répartition des richesses dans le monde. Des chiffres qui signent une effrayante accélération des inégalités.
Selon la Fondation France libertés : « Les distributeurs d’eau continuent à brutaliser les plus démunis dans une optique exclusivement commerciale. ».
Sur fond de lutte politique, l’hyperinflation et la chute des prix du pétrole minent un pays très dépendant de ses exportations de brut