— Par Roland Sabra —
Dire que « Le Marchand de Venise » est antisémite est un anachronisme. Le mot n’a été créé qu’à la fin du XIXème siècle quand à l’aide du scientisme triomphant il a supplanté le terme d’anti-judaïsme. Qu’il s’agisse des Évangiles synoptiques, de l’épître aux Romains, de la première épître aux Thessaloniciens ou des Actes des Apôtres revient régulièrement la thèse d’un peuple meurtrier de Christ, meurtrier du fils de Dieu, meurtrier de Dieu lui-même. Cette thèse sera condensée au XIXeme siècle sous la notion de peuple déicide. Mais n’en déplaise aux anciens babyloniens, en l’occasion la chose n’avait pas besoin d’un nom pour exister, et il fallu attendre Vatican II, en1962 pour que Nostra Ætate, admette que les Juifs ne pouvaient être reconnu responsables de la Passion !
Le Marchand de Venise est une pièce bien plus complexe qu’il n’y paraît. On pourra lire avec profit (!) l’analyse de Christophe Perrot.
Rappelons l’argument. « Bassanio, ruiné, demande à son ami Antonio de lui prêter de l’argent pour séduire Portia, une riche héritière. Antonio se présente chez le Juif Shylock pour lui emprunter de l’argent contre intérêt alors qu’il n’a cessé de l’insulter publiquement à cause de la pratique Juive de l’usure.


A perfect day (Un jour comme un autre) », film de Fernando Leon de Aranoa, avec : Tim Robbins, Benicio Del Toro, Olga Kurylenko, Mélanie Thierry, Fedja Stukan, Comédie dramatique ; film espagnol Durée : 1h46min Festival : Festival de Cannes 2015

–– Par Janine Bailly ––
Le slam est une forme de lecture poétique considérée comme un mouvement d’expression populaire, initialement en marge des circuits artistiques traditionnels, aujourd’hui largement reconnu et médiatisé. C’est un art du spectacle oral et scénique, focalisé sur le verbe et l’expression brute avec une grande économie de moyens, un lien entre écriture et performance.
La fabrique à chanson est une opération originale et novatrice organisée par la SACEM , l’éducation nationale et le ministère de la culture et le réseau CANOPE.
Antonio, un riche marchand de Venise, décide d’emprunter trois mille ducats à l’usurier juif Shylock afin d’aider son ami Bassanio à gagner Belmont où il espère faire la conquête de la belle et riche héritière Portia.
— Par Christian Antourel —
— Par Christian Antourel & Ysa de Saint-Auret. —
Un film très vivant avec l’énergie débordante du théâtre itinérant et de la famille Fehner.
Rencontres pour le lendemain, Carte blanche à Jocelyne Béroard
Il me revient que mon article :
Texte de Rémi de Vos,
DIEUMERCI film français de Lucien Jean-Baptiste