Dimanche 9 juin 2019 à 19h au Garage Popular à Fort-de-France
Le Martinique Comedy Club présente Amour(s) le one man show de Certea.
Garage Popular 121 rue Lamartine FdF
« Pourquoi ma mère dit que l’amour c’était mieux avant ? »
-« Pourquoi l’expression « se poser », elle donne pas du tout envie de se poser ? »
-« Pourquoi on dit que l’amour dure 3 ans ? »
Après Story Teller, je reviens avec un nouveau spectacle que j’ai écrit suite à une rupture amoureuse, au début, je voulais l’appeler « Inchallah, tu retrouves jamais de mec » mais c’était pas trop long pour l’affiche.
Alors j’ai opté pour Amour(s)*, dans ce spectacle on va rire de l’amour, voir la notion passée et moderne du couple, de la passion, des fantasmes, de la communication, de la fidélité, du Titanic etc… Bref vous allez rire mais aussi apprendre des choses parce que oui j’ai fait plein des recherches scientifiques que j’ai transformées en blagues.
Honnêtement, le spectacle est drôle seulement dans 3 cas : si vous êtes en couple, célibataire ou dans un espace-temps flou entre les deux.

Ce mercredi 5 juin, le Pavillon Bougenot qui abrite à l’étage « L’Espace Lecture-Écriture Pour Déficients Visuels », accueillait en son rez-de-chaussée, sous l’aile de la responsable Nadine Léopoldie et sous l’égide de la Bibliothèque Schœlcher, un public nombreux désireux de partager le bel hommage rendu, en ce mois qui verra la Fête de la Musique, à Maurice et Thierry Jallier : père et fils, promoteurs et défenseurs du patrimoine musical et artistique martiniquais.
D’après « Le Costume » de Can Themba
À la veille de Noël, le retour imprévu d’un grand-père qu’on croyait mort bouleverse la routine d’une famille d’apparence ordinaire.
La réalisatrice et productrice, qui a marqué les années 1970 et 1980 avec des films comme L’Amour violé ou L’Affût, est décédée dimanche à l’âge de 95 ans, a indiqué lundi son entourage.
Par la troupe de l’atelier théâtre du service municipal de la culture de La Trinité.
La Ballade des planches visite l’univers du théâtre. Au rythme des saisons théâtrales s’enchaînent les scènes de répétitions des comédiens, les derniers préparatifs avant de monter sur les planches, les ultimes raccords d’un metteur en scène capricieux mais aussi la complainte d’un tube de fond de teint égaré, la danse d’un vieux rideau affolé, d’un costume ensorcelé et de bien d’autres accessoires encore…
Le chanteur et compositeur de jazz Leon Redbone est mort ce jeudi 30 mai, à l’âge de 69 ans. L’Américain était connu pour arranger à sa sauce des morceaux d’avant-guerre
Qu’il est beau, le décor imaginé par Christian Tirole et Jean-François Sivadier au Théâtre de l’Odéon. De grands rideaux transparents fendent la scène, reflétant la lumière qui ondule comme à la surface d’un lac. Ou sur l’eau qui alimente les thermes, « cœur battant » du bourg de province où se déroule Un ennemi du peuple (1).
Deuxième édition du Festival Sé Ta NOU !, de Jazz à la PoiNTe !, projet initié par Nicolas Losen. Au programme de l’édition parrainé par Alfred Varasse : quatre jours de concerts gratuits sur la plage de la Pointe Faula au Vauclin. Avec un village d’artisanat, des workshop, des ateliers bèlè, hip-hop, etc.
S’emparant avec gourmandise de l’Iliade et de l’Odyssée, Pauline Bayle, avec ses cinq comédiens, fait briller les récits d’Homère avec un minimum d’artifices, rendant à l’aventure toute sa chair humaine, passionnée et passionnante.
Au Théâtre du Vieux-Colombier, Pauline Bureau met en scène « Hors la loi », centrée sur le procès de Bobigny qui débouchera sur la loi autorisant l’IVG. Où l’on (re)découvre un grand moment de la lutte féministe.
De Michal Aviad
Pierre Beffeyte, président de l’association Avignon Festival & Compagnies (AF & C), explique l’équation compliquée de la manifestation pour les compagnies.
Au Théâtre National Populaire de Villeurbanne, Christian Schiaretti directeur conduit avec Jean Pierre Siméon (longtemps à la tête du Printemps des poètes) une aventure commencée au CDN de Reims : quinze jours consacrés à la langue et à son usage. Réinventer la langue, l’entendre avec des comédiens, des poètes, des passants, des écoliers, des habitués… : sacré pari ! Il y a des spectacles en sales, des cartes blanches, des lectures, les mots de minuit, les « vignettes », les grands cours, les consultations poétiques, des concerts, des rencontres et tout un programme hors les murs qui fait la part belle au jeune public A vos alphabets et à vos imaginaires ! Des gens connus comme Jane Birkin, Thibaud de Montalembert, François Morel, al Malik mais pas seulement : la parole vive est aussi semée par les brigades d’intervention poétique dans les écoles, les brigades d’action culturelle dans la rue. Si le souffle est donné avec « les poèmes dramatiques » de Sophocle, la gouaille, l’épique, le raffiné traversent les siècles avec entre autres Marot, Hugo, De Pisan. Les chemins de terre et de béton d’aujourd’hui s’appellent Demey, Azam, Joubert, Juliet, Siméon, Gatti.
Théâtre noir, l’expression est polysémique. Elle renvoie d’une part au Théâtre noir de Prague dans lequel des acteurs entièrement vêtus de noir jouent devant un fond noir leur permettant de choisir ce qu’ils veulent montrer aux spectateurs, comme des objets lumineux, phosphorescents, voire des personnages qui flottent dans l’espace. (
Ont été attribués :
Sous l’égide de Widad Amra, organisatrice de l’Atelier théâtre, et de sa complice de cette année, Rita Ravier comédienne et danseuse, les élèves du Couvent de Cluny ont donné sur la scène de leur établissement une bien plaisante adaptation de la pièce écrite par Joël Pommerat, Cendrillon, palimpseste de ce conte traditionnel qui a bercé nos enfances. Après s’être « attaqué » au Petit Chaperon Rouge, puis à Pinocchio, c’est cette histoire populaire tellement connue, venue du fond des temps et récrite par Charles Perrault ou par les frères Grimm, que le dramaturge a déconstruite, mettant l’accent sur la question du deuil. Comment accepter de vivre après la perte d’un être cher, et plus encore si l’on est un enfant et que la personne disparue est votre mère ? On se souvient au cinéma de la Ponette de Jacques Doillon. Recentré sur cette idée essentielle, mais aussi sur les rapports au sein de la famille recomposée, le texte permet aux adolescents d’interpréter avec justesse une histoire qui ne leur est pas tout à fait étrangère. Et la structure du conte, si on la conserve,
Dans le cadre de l’exposition « Pictural », la Fondation Clément propose un film à découvrir en plein air dans les jardins de l’habitation, « Faites le mur » de Banksy.
— Par Roland Sabra —