Philippe Pierre-Charles a lancé cette pétition adressée aux autorités de Martinique
Il est de notoriété publique que la Martinique va connaître, dans les jours qui viennent, une expansion exponentielle du nombre de personnes atteintes par des formes bénignes ou graves du COVID-19.
Les politiques menées par l’État pour faire face à la pandémie sous-estiment de façon inquiétante deux exigences essentielles : des masques en quantités, des dépistages à une grande échelle. Très peu de Politiques disent clairement que les médecins cubains (qui ne sont pas encore là !) et la chloroquine ne suffiront pas sans ces deux éléments clés.
Les diverses initiatives prises pour répondre à ces objectifs sont louables mais dramatiquement en dessous des besoins.
Contrairement aux affirmations qui exploitent l’information insuffisante de la population et répandent le fatalisme, il est possible de réaliser en Martinique les tests nécessaires au dépistage et d’obtenir rapidement des masques en quantités suffisantes à des coûts faibles en comparaison des enjeux pour une population dont tout le monde signale le caractère vieillissant donc la vulnérabilité.
En conséquence, nous soussigné-e-s, refusant la passivité, nous exigeons que :
1 – l’ARS cesse de freiner la mise en œuvre d’une politique de généralisation rapide des tests,
2- la fourniture, nécessaire et possible, des masques en quantité suffisante.

Pointe-à-Pitre le 30 mars 2020.
Des dérogations au confinement sont possibles pour les personnes souffrant de maladies chroniques et qui nécessitent des soins réguliers. Mais que faire, par exemple, quand on a cassé ses lunettes ?
Avec la pandémie du coronavirus, nous sommes confrontés à une crise mondiale. Tout est arrêté, partout en même temps. En quelques semaines, le coronavirus et le confinement de millions de personnes qu’il a entraîné ont presque anéanti l’économie mondiale, au point que les économistes s’attendent à la récession la plus violente de l’histoire moderne, peut-être pire que pendant la Grande Dépression de 1929 . Avec cette crise du coronavirus, il s’agit du troisième et du plus grand choc économique, financier et social du XXIe siècle et il exige que l’on doit changer quelque chose de notre modèle économique et social actuel , c’est maintenant qu’il faut penser aux efforts qu’il faudra faire demain pour redresser autant que faire se peut une économie déjà passablement sinistrée !
Pourquoi l’avoir annoncé le week-end dernier, et l’avoir repoussée autour du 10 avril ? Le 20 mars, c’était vendredi, il y a 10 jours maintenant, Jérôme Salomon, le directeur général de la santé, expliquait que le pic épidémique en France était attendu d’ici 5 à 8 jours, c’est-à-dire ce week-end, celui dont nous sortons tout juste. Ce discours a été largement repris dans les médias, jusqu’à vendredi dernier où le Premier Ministre, Édouard Philippe, expliquait que « le sommet de la vague est prévu pour la fin de la semaine prochaine », soit selon plusieurs experts, entre le 5 et le 15 avril.
Alors Roxanne, tu es une jeune féministe, tu as passé 7 mois en Martinique et très vite, tu as rejoint le mouvement féministe et, tout particulièrement, l’association Culture Égalité. À quelle occasion ?
Ce nouveau crime avec préméditation ne restera pas impuni !
Deux documents de synthèse disponibles actualisés à la date du 30 mars 2020 :
Le tribunal administratif de Basse-Terre justifie notamment sa décision par la faiblesse du système de santé local
Monsieur le chef de l’État,
On nous l’avait cependant annoncé bien longtemps à l’avance ; on nous avait fait suivre sur la carte sa marche rapide et menaçante. Le fléau voyageur n’était plus séparé de nous que par cette mer étroite qui nous ramène et nous remporte, avec la mobilité de ses flots, nos rois rétablis ou déchus. Et pourtant, ce voisinage nous inquiétait moins que ne l’avaient d’abord fait les récits venus des pays lointains, doublement terribles par la distance et par la nouveauté. Tout notre effroi s’était usé sur les premières descriptions de ses ravages, sur les premiers dénombrements de ses victimes. Car le Parisien ne peut pas avoir peur longtemps du mal qu’il ne voit pas, lui qui s’habitue si facilement à ses misères. Et puis, quoi qu’on veuille lui dire, il a foi dans la salubrité de sa ville natale, dans l’air suave et pur que l’on respire depuis l’Estrapade jusqu’à la rue du Rocher, dans la limpidité des eaux que roule la Seine enflée par d’innombrables égouts, dans les émanations bienfaisantes des ruisseaux qui parcourent nos rues.
Face à l’incertitude et à l’isolement imposé par la propagation du Covid-19 en France, les bonnes idées et initiatives pour continuer par d’autres moyens nos activités favorites, nourrir notre vie intellectuelle et sociale, se multiplient. En voici quelques-unes qui ont retenu notre attention.
Entretien. Chef du service d’immunologie et des maladies infectieuses de l’hôpital Henri-Mondor (Créteil), le Pr Lelièvre évoque la nature du Covid-19, la mobilisation des personnels et la nécessité de changer notre vision du monde.
La pasionaria de l’orgue Hammond, 81 ans, dispense sa grâce gorgée de groove, dans son CD « Movin’ Blues ». Et, en ce temps de confinement, nous conseille des disques et livres.
Paris – Avec l’enseignement à distance, les parents d’élèves font « ce qu’ils peuvent », entre télétravail et tâches ménagères, pour maintenir une continuité scolaire à la maison, décrivant parfois une mission « quasi ingérable » à assumer.
Communiqué: Le rassemblement mensuel place de la Concorde à Paris pour la libération de Mumia est annulé.
L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.
Lycéens de Terminale, étudiants en réorientation, vous avez jusqu’au 2 avril pour finaliser votre dossier sur la plateforme Parcoursup avec les éléments demandés par les formations et confirmer chaque vœu pour les formations de votre choix dans l’enseignement supérieur. Le contexte sanitaire n’a en effet pas modifié le calendrier à ce stade. Mais il est déjà prévu que les concours postbac d’accès aux écoles seront remplacés par des examens des dossiers. Découvrez la suite du calendrier 2020.
L’épidémie de
Faux sites de vente de masques chirurgicaux, de gels hydroalcooliques ou de médicaments, cagnottes frauduleuses, messages bancaires trompeurs… Face à la prolifération des escroqueries profitant de la peur des Français pendant la crise du Coronavirus, la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) appelle à la vigilance.
Pendant le dispositif de confinement mis en place depuis le mardi 17 mars, à chaque sortie hors de son domicile, il faut se munir d’une attestation dérogatoire de déplacement ou d’un justificatif professionnel. Mais une attestation numérique est-elle valable ? Puis-je remplir l’attestation au crayon afin de la réutiliser ? Faut-il inscrire l’heure de sortie ? Quelles sont les amendes en cas de non-respect des règles ? Service-public.fr vous informe.
Le sociodidacticien et sociolinguiste haïtien Bartholy Pierre Louis, ancien étudiant de la Faculté de linguistique appliquée de l’Université d’État d’Haïti, a soutenu avec succès en 2015 une magistrale thèse de doctorat intitulée « Quelle autogestion des pratiques sociolinguistiques haïtiennes dans les interactions verbales scolaires et extrascolaires en Haïti ? : une approche sociodidactique de la pluralité linguistique » (tome 1 : 551 pages ; tome 2 : 125 pages). Cette thèse, défendue le 15 décembre 2015 sous le sceau de l’Université européenne de Bretagne (laboratoire « Plurilinguisme, représentations, expressions francophones information, communication, sociolinguistique », PREFics – UFR Arts, lettres, communication (ALC), a été élaborée sous la direction du linguiste Philippe Blanchet, professeur à l’Université́ Rennes 2. Sociolinguiste, spécialiste du plurilinguisme et didacticien de réputation internationale, Philippe Blanchet est l’auteur entre autres de « Les transpositions didactiques », dans Blanchet, P. et Chardenet, P. (dir.), « Guide pour la recherche en didactique des langues et des cultures. Approches contextualisées ». Montréal / Paris, PREFics, Agence universitaire de la Francophonie / Éditions des archives contemporaines, 2011 ; il est également l’auteur de « Politique linguistique et diffusion du français dans le monde », dans Bulot, T.
Rester vigilant ? Programmer une téléconsultation ? Appeler le 15 ? L’autodiagnostic