Le Centre Pompidou présente l’œuvre peinte de l’inventeur des ready-made et de l’art conceptuel. Un contre-pied qui donne des clés pour comprendre l’artiste
Marcel Duchamp est surtout connu, en Europe, pour avoir, avec ses fameux readymades – objets déjà faits, choisis par l’artiste, et présentés comme œuvres –, remis en cause la peinture et la nature même de l’art. 1910-1923 : treize années, pourtant, au cours desquelles Duchamp investit le langage pictural, se dit peintre, expose dans les salons publics, tout en élaborant Le Grand Verre appelé aussi La Mariée mise à nu par ses célibataires, même.
À travers une centaine de dessins et peintures conservés pour la plupart au Philadelphia Museum of Art, auxquels s’ajoutent ses Notes autographes conservées au Centre Pompidou, l’exposition dévoile les recherches picturales de Duchamp, sa période fauve, ses emprunts symbolistes, ses explorations cubistes, mais aussi le non-sens et l’humour qui caractérisent son œuvre. Les sources livresques, picturales, scientifiques et techniques auxquelles il a puisé durant ces années cruciales – ouvrages rares de la Bibliothèque Sainte-Geneviève où il a travaillé avant son départ pour les États-Unis, objets techniques du Conservatoire national des arts et métiers, objets mathématiques de l’Institut Poincaré…– sont aussi présentées, témoignant de son intérêt pour la littérature et les mots comme pour les sciences optiques, physiques et mécaniques.


M. Alfred Marie-Jeanne. Madame la présidente, madame la ministre, chers collègues de l’Assemblée, « La transition énergétique pour une croissance verte », tel est l’intitulé du projet de loi que nous avons à examiner. L’objectif à atteindre est clairement défini. Tout le corps du texte est truffé de recommandations-sommations tels que « maîtriser et ne pas induire d’augmentation des émissions de gaz à effet de serre ». Madame la ministre, vos récentes déclarations sont venues conforter en tout point votre démarche toujours rectiligne. C’est ma première remarque.
Du Collectif « Préservons le patrimoine de la baie de Fort-de-France »
Des questions à propos de la mise à disposition gratuite des terrains régionaux à certains agriculteurs :
Aujourd’hui, les intermittents manifestent à nouveau dans tout le pays contre la convention Unedic et une concertation aux objectifs de plus en plus flous.
La Société des Artistes Comédiens Martiniquais et des Métiers du Théâtre Réunis (Sodarcomamétéré) INVITE les amis du Théâtre populaire aux manifestations qu’elle organise à LA TRINITE, du dimanche 5 au samedi 11 octobre 2014, pour la 23ème Fête des comédiens de Martinique.
De plus en plus d’organisateurs de spectacle incitent les intermittents devenir auto-entrepreneur, espérant ainsi gagner en démarches administratives et en charges salariales. Les intermittents, eux, peuvent y perdent leur statut.
Les abonnés, les spectateurs qui s’engouffrent dans ce lieu béni du théâtre, véritable cocooning interactif et intimiste, ne le font pas par hasard. Ils ne savent que trop les sélections attentionnées de pièces qui s’y jouent, la qualité de jeu des comédiens qui se régalent d’évoluer en ces lieux. Dès lors, ne devient-t-il pas inutile de ressasser périodiquement la réalité d’un succès annoncé ? N’y a-t-il pas là qu’une coquetterie du plus bel effet ?
Breuvage rituel et séculaire des indigènes d’Amazonie, le yagé, au pouvoir hallucinogène, s’est converti en phénomène urbain en Colombie. Il séduit même de plus en plus les touristes étrangers. Parfois au péril de leur vie.
Communiqué de la FSU suite aux incidents survenus la semaine dernière dans plusieurs établissements scolaires de la Martinique.
Après dix ans consacrés au développement du théâtre Aimé Césaire et la fidélisation acquise du public dans un contexte culturel qui demeure difficile, il m’a semblé important pour cette saison de proposer la thématique de la résistance créatrice, chère à Aimé Césaire dont notre théâtre porte le nom. Et si l’imaginaire prenait le pouvoir ? C’est un vieux slogan que se sont appropriés les créateurs de tous bords. La démarche est de proposer au public des oeuvres contemporaines ou classiques, avec des mises en scène modernes sinon intemporelles. Il s’agit avant tout de faire découvrir au public un art complet et de communiquer notre envie de théâtre. Il y aura donc cette saison, hormis le volet «Résistance », des classiques revisités.
Le travail présenté à Fond Saint-Jacques est le fruit d’une résidence de création du « Collectif de l’Âtre » à partir du roman de Fabienne Kanor « Humus ». La romancière a souvent expliqué l’origine de son opus. « C’est à Gorée, en visitant une exposition consacrée aux révoltes d’esclave dans la maison des esclaves que le thème s’est imposé à moi. En fait, une phrase a retenu mon attention : « Il se serait jeté de dessus la dunette quatorze femmes toutes ensemble dans un même mouvement ». Cette « anecdote » m’a profondément bouleversée. Par quel mystère des femmes, qui pour certaines n’avaient jamais pris la mer et qui peut-être ne se connaissaient pas, avaient-elles pris le parti de sauter, de préférer la mort plutôt que l’esclavage ? » Au delà d’un énième retour sur le thème de la blesse Fabienne Kanor fait le choix de donner parole à cette souffrance inapaisable à travers des dialogues imaginés entre les femmes qui vont bientôt se jeter à la mer. Elle le fait dans un style très écrit et tiré vers l’oraliture.
e confirme l’information que j’ai révélée sur les ondes de RLDM, ce dimanche 28 septembre, dans l’émission « La Parole au Peuple » :
Situation épidémiologique actuelle en Martinique
L’automne, est en France, la période où l’on parle le plus des livres, ou plus précisément des romans. Les éditeurs concentrent leurs publications sur cette période (qui s’étend en fait de la mi-août à la mi-novembre) et comptent sur l’effet « rentrée littéraire » pour en pousser quelques-uns. Cette année, 607 nouveaux romans sont ainsi proposés au public. Sur les 404 romans français, seuls 74 sont des premiers romans : quand on sait que le nombre des manuscrits reçus par les éditeurs chaque année se compte en milliers, on mesure combien sont minces les chances pour un auteur débutant de se faire publier par une de ces maison d’édition ayant pignon sur rue, dont tous les amateurs de littérature connaissent les noms et savent distinguer les jaquettes. Pour les nouveaux auteurs qui ne seront pas retenus dans le filet d’une sélection aussi impitoyable, il ne reste qu’à renoncer ou à se débrouiller par leurs propres moyens. Michel Herland, pour sa part, s’est adressé à l’un de ces éditeurs apparus avec l’ère internet qui distribuent des livres électroniques (e-books) ou les impriment à la commande.
TRIBUNE
Selon un sondage Odoxa pour i<Télé publié samedi, 73 % des Français et 56 % des sympathisants UMP ne souhaitent pas que la droite supprime la loi sur le mariage pour tous en cas d’alternance. « Si la droite revenait au pouvoir en 2017, souhaiteriez-vous qu’elle supprime la loi sur le mariage pour tous ? » : 73 % des sondés (56 % à l’UMP) répondent « non », 26 % (44 % à l’UMP) « oui » et 1 % ne savent pas.
L’humanité vieillit. L’espérance de vie augmenterait, dans les pays dits développés, à raison de trois mois par an, alors que le taux de natalité, dans la plus grande partie des pays européens et en Amérique du Nord, serait au-dessous du seuil de renouvellement des générations.
L’intercommunalité existe aujourd’hui en Martinique.
J’ai pris Transavia cet été deux fois pour me rendre à Athènes. Je ne la reprendrai plus jamais, quel que soit son développement futur. Jamais une compagnie aérienne ne m’est apparue aussi agressivement cupide à l’égard de ses clients (et j’ai pourtant souvent volé avec EasyJet !).
Dans FA du 19 septembre 2014 et dans Madinin’Art Philippe Petit, Président de l’UDI Martinique, pose une question : «
TRIBUNE
Le jeune réalisateur juge la pratique «ostracisante» et a refusé la Queer Palm qui lui avait été décernée pour Laurence Anyways. Quitte à agacer les militants et organisateurs de festivals.