Le prix Goncourt des lycéens a été décerné à David Foenkinos, mardi, pour son roman Charlotte.
Le 27e prix Goncourt des lycéens a été attribué mardi à Rennes à Charlotte (Gallimard), le roman de David Foenkinos consacré à une artiste peintre juive allemande assassinée à Auschwitz, déjà récompensé par le prix Renaudot début novembre. Les élèves de 57 lycées ont sélectionné ce livre parmi 15 autres ouvrages en compétition. Charlotte l’a emporté devant On ne voyait que le bonheur (JC Lattès) de Grégoire Delacourt, et L’amour et les forêts (Gallimard) d’Eric Reinhardt, a indiqué le jury. « C’est une émotion qui est très intacte tout au long de ce roman », a déclaré Naomi, l’une des 13 membres du jury, saluant dans l’oeuvre « la possibilité de s’identifier à Charlotte ». Favori du Goncourt, qui a finalement été remis à Lydie Salvayre, l’auteur de La Délicatesse se console donc avec une autre prestigieuse récompense.
« Ce prix, c’est un rêve pour moi »
« Grâce à vous, beaucoup de gens vont découvrir sa vie, son oeuvre », a déclaré David Foenkinos, intervenant par téléphone lors de la cérémonie de récompense.

Le 20 novembre à 14 h au Centre culturel du bourg du Lamentin

Mardi 18 novembre à la B.U de l’U.A. de Schoelcher

Du Bénézuélé au Venezuela, si lointain et si proche.
L’essence du « Mois Du Film Documentaire », est de faire découvrir la richesse du cinéma documentaire en fédérant les manifestations construites par des programmateurs passionnés.
Entre souffrance et engagement
Sanofi espère commercialiser au deuxième semestre 2015 le premier vaccin contre la dengue, maladie qui affecte 50 à 100 millions de personnes dans le monde.
L’auteure haïtienne Yanick Lahens a reçu, lundi 3 novembre, le prix Femina pour son livre Bain de lune. Yanick Lahens a publié son premier roman, Dans la maison du père, en 2000. Bain de lune, son quatrième livre publié chez Sabine Wespieser éditeur, est un roman d’une violente beauté sur son pays, traversé par la destruction, l’opportunisme politique, les familles déchirées mais aussi les mots magiques des paysans.
Théâtre & Arts de la Parole création inédite – Co-production Accueil en résidence : Compagnie CAHPA | La ferme du Vasais, Saint Jean de Monts. Avec le soutien de la Direction des Affaires Culturelles de Martinique De l’autre, les voyages, la métropole, l’Afrique, les événements de 68, le théâtre des années 70, le retour au pays natal, et l’engagement artistique.
Théâtre de masques pour jeune public de 7 à 99 ans
REPORTAGE – « Absorber l’horreur » de la mort pour rendre un corps serein et apaisé à la famille du défunt : c’est le quotidien de Léa, 38 ans, thanatopracteur en région parisienne. LeJDD.fr a passé une journée à ses côtés.
Ciné club de Pointe-à-Pitre revient avec la projection de documentaire, à partir du 3 novembre à la salle Georges Tarer
Depuis la thèse d’Etat d’Alain-Philippe BLERALD sur « L’histoire économique de la Guadeloupe et de la Martinique » (édit. Karthala, 1986), la critique de « l’économie de comptoir » et la réflexion sur les stratégies de développement en Martinique ont fait l’objet, de façon centrale ou connexe, de nombreux travaux, articles et colloques. Ils faisaient écho aux interrogations, dès les années 1960, des déçus de la Départementalisation, à celles aussi, à partir années 1990, des insatisfaits de la Décentralisation. Le débat sur ces deux sujets fortement corrélés est par conséquent loin d’être nouveau. Mais alors, qu’est-ce qui justifie que deux universitaires ès qualités, Kinvi LOGOSSAH et Hector ELISABETH, dans un texte intitulé « Plaidoyer pour une autre stratégie de développement à la Martinique » publié récemment sur le site Politique publique (09/10/2014) insinuent d’une manière aussi équivoque le contraire ? Troublante aussi cette quasi-simultanéité entre la sortie de ce texte et l’annonce deux jours après, lors de la rentrée politique du PPM, de ce thème comme un des trois axes politiques de ce parti.
Victor Hugo passe pour être l’auteur de l’observation selon laquelle « l’amour des Anglais pour la liberté se complique d’une certaine acceptation de la servitude d’autrui. » Si l’on réclame des preuves, c’est du côté de Domenico Losurdo qu’il faut se tourner, avec cette Contre-histoire du libéralisme qui paraît aux éditions La Découverte, traduction bienvenue d’un ouvrage italien, paru en 2006 aux éditions Laterza. Le philosophe d’Urbino, spécialiste de Hegel, nous y propose une enquête attentive sur les angles les moins flatteurs du libéralisme réel. Il insiste en particulier sur la permanence massive de pratiques attentatoires à toute liberté, dans les sociétés britanniques et américaines des XVIIIe et XIXe siècles.
Vous croiserez sa haute silhouette dans la quasi totalité des lieux de culture de l’île. Il est un des rares artistes à s’aventurer aux expositions des autres. Sa curiosité est sans limites. Il se nourrit de la rencontre. Tout gamin avec le Père Pinchon il grattait la terre rouge des Amérindiens à la recherche de fragments de cultes anciens enserrés dans les morceaux de poterie. C’est ce sillon qu’il creusera toujours, et encore. Étudiant aux Arts Appliqués à Paris, dont il sort meilleur élève de sa promotion, il poursuit ses recherches au Musée de l’homme. Un diplôme de physique chimie appliquée à la céramique en poche il persévère dans son besoin d’apprendre de l’autre. Il effectue des stages en France, en Angleterre, en Allemagne. Il peint, laissant le temps à l’incubation du désir de céramiste se déployer. C’est sa période noir et blanc autour de la Martinique et ses figures du nègre marron, du nègre rebelle⋅ Partir du plus proche pour aller vers le plus ancien et enrichir le présent des pépites du passé⋅Il n’y a nulle précipitation chez lui⋅ Il va depuis l’enfance d’un pas tranquille sur le chemin qu’il s’est choisi.
Le film choisi pour lancer le festival du film documentaire est : Tango Négro. Les origines africaines du Tango, de Dom Pedro, 2013 / 93 mn / VF.
L’atelier d’étude du créole martiniquais sous l’égide du Centre International de Recherches d’Echanges de Coopération Caraïbes Amériques (CIRECCA), poursuit ses activités avec cette année, une nouveauté quant à son organisation.