Banksy est le pseudonyme d’un artiste britannique anonyme, actif depuis les années 1990. Il est connu pour son art urbain satirique (ou street art) et comme réalisateur de films.
L’artiste utilise la peinture au pochoir pour faire passer ses messages, qui mêlent souvent politique, humour et poésie. Les œuvres de Banksy sont des images humoristiques, parfois combinées avec des slogans. Le message est généralement libertaire, antimilitariste, anticapitaliste ou antisystème. Ses personnages sont souvent des rats, des singes, des policiers, des soldats, des enfants, des personnes célèbres ou des personnes âgées.
Identité contestée
Banksy est un artiste anonyme, dont l’identité fait l’objet de nombreuses spéculations.
Dans une interview de 2003 de The Guardian3, l’artiste est décrit comme « blanc, 28 ans, débraillé décontracté – jeans, T-shirt, une dent d’argent, chaîne en argent et boucle d’oreille en argent. Il ressemble à un croisement entre Jimmy Nail et Mike Skinner de The Streets ».
Le livre Banksy captured, de Steves Lazarides, publie de nombreuses photos de Banksy au travail. Une vidéo de 2003, retrouvée en 2019, dévoilerait également pour partie son apparence. Bien que son visage soit toujours masqué, Banksy y apparaît à chaque fois comme un homme blanc.


– Selon David Brunat, l’intervention de gendarmes auprès de vacanciers seins nus sur la plage de Sainte-Marie-la-Mer est une consternante illustration de l’évolution des mœurs. Cet esprit de pruderie venu d’autres cultures pourrait bien réprouver notre histoire de l’art qui a toujours mis à l’honneur le sein féminin, s’inquiète l’écrivain.
La généralisation du port du masque dans les lieux publics est l’axe d’action prioritaire des autorités pour lutter contre le coronavirus. Une concertation entre les maires et la préfecture a permis de mettre en place une liste de lieux les plus fréquentés des communes de Martinique.
Cette gratuité était déjà accordée depuis 2013 à leurs aînées de 15 à 17 ans.
Au centre Culturel Antoine Tangamen, ancienne habitation Gradis : première présentation au public de l’ouvrage d’Edmond MONDÉSIR,
TeneT
Nathan, Camerounais déraciné à Paris, se lance dans un voyage en Louisiane. Il part pour retracer la vie d’un oncle mort là-bas, mais, au fil des rencontres, il va surtout se retrouver confronté à lui-même, à son image des Noirs américains et à la fatalité. Fabienne Kanor fait de cette initiation un récit de voyage et un essai historique autant qu’un roman.
Fabienne Kanor
Oubliez les Dix petits nègres. Le roman policier d’Agatha Christie, un des livres les plus lus et vendus au monde, change de nom, amputé du mot «nègre» dans sa version française, pour «ne pas blesser».
C’est donc fini ! France Ô a cessé d’émettre. La chaîne française dédiée à nos Outre-mer aura cessé d’exister. Le lien audiovisuel entre la métropole et ses territoires éloignés est rompu.
À partir du 1er septembre, plus de 40 000 jeunes Martiniquais ainsi que l’ensemble des personnels de l’éducation vont reprendre le chemin de l’école. Le 14 août, 2 semaines avant la rentrée, le ministère de l’Éducation rendait public un protocole sanitaire assouplissant les exigences relatives notamment aux gestes barrières, au port du masque et à la distanciation physique dans les établissements scolaires. Suscitant étonnement et inquiétude chez les personnels.

Indignation et colère face au procès du 27 août ! — Groupe Révolution Socialiste
Le président Jean-Claude William m’a fait l’honneur de préfacer mon premier livre sorti en septembre 2019 aux éditions L’Harmattan. Ce livre est la biographie d’un des prédécesseurs de Jean-Claude William à la présidence de l’université des Antilles-Guyane, le Guadeloupéen Roland Thésauros. Cette biographie est aussi un historique du mouvement nationaliste guadeloupéen de sa création à nos jours. J’ai souhaité que la préface du livre soit faite par un intellectuel de la Martinique car Roland Thésauros, enseignant sur le campus de Fouillole et de Schoelcher est très connu par plusieurs générations d’étudiants martiniquais. Le choix de Jean-Claude William s’imposait à nos yeux. Il avait une longue relation d’amitié avec Roland Thésauros et ils avaient tous deux été responsables de l’université aux Antilles.
Avec quatre nouveautés pour la Rentrée Littéraire 2020, les éditions Idem proposent aux lecteurs quatre métalivres, c’est-à-dire des livres qui parlent d’autres livres, soit d’idéologie marxiste (avec Antonio Gramsci, ouvrage collectif où se retrouvent des contributions de Philippe Pierre-Charles, Danielle Marceline, pour ne citer que les plus connus chez nous), soit des canons de la littérature créole et du conte (avec l’essai et le roman de Jean-Georges Chali, dans le même livre), soit une introduction à la philosophie de Nietzsche à travers son livre Le Gai Savoir (par Edmond Mondésir : Ombres et lumières de la pensée moderne/ Vérité et illusions du Gai Savoir), et enfin l’ouvrage coordonné par Suzanne Dracius, où elle convie amie (Isabella Donaldo-Eustache) et poètes (Max Ponte, Giovanni Dotoli, universitaire à la Sorbonne et Bari) à raconter le drame vécu du confinement en Italie, premier pays d’Europe à avoir été touché par la pandémie, avec un clin d’œil aux auteurs de la Renaissance italienne : Dante, Pétrarque et Boccace.
Les professeurs s’apprêtent à retrouver leurs élèves. Après la situation inédite causée par l’épidémie de coronavirus, ils vont devoir faire face à des niveaux disparates et des classes à remotiver.
Depuis 27 jours, 30 lignes sont bloquées, la moitié du réseau de transport à l’arrêt. Les usagers veulent comprendre.
— Par Magali Bessone
La Journée internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition est célébrée le 23 août de chaque année. C’est dans la nuit du 22 au 23 août 1791 qu’a commencé à Saint-Domingue (aujourd’hui Haïti et République Dominicaine) l’insurrection qui devait jouer un rôle déterminant dans l’abolition de la traite négrière transatlantique.
Ce volume réunit les actes de la table ronde qui s’est tenue à Port-au-Prince, en décembre 1997, autour de la commémoration de l’événement fondateur de la révolution haïtienne, la cérémonie du Bois Caïman, censée s’être déroulée dans la nuit du 22 au 23 août 1791, sur l’habitation Choiseul, dans la grande plaine du nord de Saint-Domingue. Cette rencontre reçut le soutien de nombreuses associations et institutions de la République de Haïti.
Dans ma précédente chronique « Edouard Delépine : une intelligence et un caractère », j’indiquais que par son expression « génocide par substitution« , Césaire ne faisait pas référence à la Martinique. Certains lecteurs ont voulu en savoir davantage.
Vous souhaitez faire carrière dans le domaine culturel et artistique, obtenir une bourse pour vous formez, la CTM vous permet d’obtenir une bourse pour suivre des formations non dispensées en Martinique
Ki lidé ka pousé’w matjé anlè lidé ?