Pour la semaine du 18 au 24 avril 2016, l’épidémie de Zika se poursuit sur l’ensemble du territoire. La tendance de l’épidémie reste à l’augmentation.
Le nombre de cas évocateurs de Zika ayant consulté un médecin généraliste durant la semaine 14 a été estimé à 1600, portant à 20 980, le nombre estimé total de cas depuis le début de la circulation du virus.
Depuis le début de l’épidémie, l’infection a été confirmée biologiquement chez 184 femmes enceintes. Trois malformations cérébrales fœtales ont été décelées chez des femmes enceintes, dont une microcéphalie infirmée à la naissance.
Onze patients atteints de syndromes de Guillain-Barré (SGB) ont été confirmés biologiquement. Trois autres formes neurologiques graves ont également été confirmées au virus Zika.
De plus, des investigations biologiques pour le virus Zika sont en cours pour 3 patients atteints de SGB.
Le point épidémiologique complet sur la situation dans les Antilles Guyane est joint à ce communiqué.
L’ARS Martinique rappelle l’importance des mesures collectives de lutte contre les moustiques.
Il est impératif de supprimer toute réserve d’eau inutile, de protéger et surveiller les gites qui ne peuvent être détruits, de vérifier régulièrement les coupelles de pots de fleurs, les abreuvoirs à animaux, etc.…

Sur l’île, des groupes violents se sont constitués et mènent une véritable chasse aux étrangers sous le regard complice des autorités françaises. Les associations tirent la sonnette d’alarme.
Un accord a été trouvé dans la nuit de mercredi à jeudi par les organisations de salariés et d’employeurs du spectacle sur le régime d’assurance-chômage spécifique aux intermittents, à l’origine d’un mouvement d’occupations de théâtres à Paris et en province depuis lundi. En revanche, aucune information n’a filtré quant à une éventuelle levée des occupations de théâtres, mais la CGT spectacle a indiqué que ses instances se réuniraient ce jeudi pour décider d’une signature.
Ou une étrange vision du Pouvoir Populaire ! Procès . Poursuites. Mise en cause. X avocats !et négligence impardonnable, suite à une plainte déposée à une mauvaise adresse ! Opinion publique mobilisée . Absence remarquée des élus, frères, cousins et cousines. Tout cela fait l’actualité chez nous.
Voilà qu’au milieu des nouvelles d’attentats, d’épouvantables odyssées de migrants du Moyen-Orient vers l’Europe, de révélations sur de massifs transferts d’argent vers le paradis fiscal qu’est Panama par les riches et puissants de ce monde pour éviter de payer les impôts dans leur pays où sévit le chômage, souvent la misère, voilà donc qu’on nous annonce la transformation de l’homme par la conjonction de techniques biologiques, informatiques, nanotechnologiques. Est-ce une bonne nouvelle ?
LA MARTINIQUE
L’écrivain a été retrouvé mort dans la piscine de sa ferme de Ciney. Il avait 93 ans. Né le 27 avril 1922 à Varsovie, il etait célèbre pour son livre « Au nom de tous les miens », dans lequel il raconte avoir perdu à deux reprises toute sa famille, d’abord dans les camps d’extermination nazis, puis dans l’incendie de sa maison dans le Sud de la France.
Aux Antilles , que ce soit en Guadeloupe ou plus encore en Martinique, nous évoluons dans un environnement entouré d’incertitude : quel que soit le journal que vous saisissez, la radio que vous écoutez, la télévision que vous regardez, ce ne sont que des prévisions démenties, des reprises qui n’arrivent pas, des catastrophes et des annonces de licenciements inattendus.
La république bobo
L’épouse, le mari et la maitresse, répondront-ils à la question de la fidélité conjugale face au miroir de la Comédie créole ? Et puis, La fidélité n’est-ce pas pratiquer l’adultère essentiellement par la pensée ?
Le premier livre à dénoncer la glottophobie, discrimination par le langage.
Occupation du Théâtre de l’Odéon depuis dimanche soir et dernière séance de négociations hier.
Headbug, son nouveau album, est sorti vendredi. À la tête d’un groupe arc-en-ciel, le maestro franco-congolais envoie valser les étiquettes.
VIDÉO – La chanteuse américaine a levé le voile sur son nouvel album, accompagné d’un film présenté en avant-première sur la chaîne HBO samedi 23 avril. À l’instar de son premier single Formation, elle livre un document dont la portée est également politique.
Dire que ce spectacle de la Cie des Asphodèles atteste de cette saine agilité et de cette intelligence vivace du jeu théâtral solaire, qui disparait malheureusement aux Antilles et singulièrement en Martinique, sous le poids de « pesantes et savantes préoccupations « sociopolitico scéniques et émotionnelles », est une vérité.
La pièce a été créée il y 9 ans et profilée de nouveau en 2014. Elle a son compteur un nombre respectable et enviable de représentations. Sa longévité est gage de qualité. C’est une adaptation réussie du Dom Juan ou le festin de pierre de Molière. La pièce on le sait a un statut d’hybridité. Elle ne respecte pas la règle des trois unités chère au théâtre classique. On ne sait pas toujours à quelle catégorie l’affecter. On l’évoque donc quelques fois comme une tragi-comédie. Tous les metteurs en scène qui ont voulu ne s’en tenir qu’au texte rien qu’au texte ont été confrontés à cette hybridité, valorisant selon le cas tel ou tel aspect. Toute liberté prise avec le texte ne fait qu’amplifier, voire démultiplier ce questionnement. Adaptation et / ou réécriture ? Le Robert définit l’une comme la « traduction très libre d’une pièce de théâtre comportant des modifications nombreuses qui la mettent au goût du jour ou la rajeunissent ». On peut l’entendre comme une tentative de réappropriation culturelle d’une œuvre culturelle ayant déjà une identité qui lui est propre.
Les frais d’itinérance, ou “roaming”, facturés aux utilisateurs de téléphones mobiles quand ils voyagent dans l’Union européenne seront interdits à partir du 15 juin 2017. 

Il y a quelques semaines, j’ai expérimenté un immense sentiment de solitude, d’autant plus paradoxal qu’il s’est produit lors d’un dîner « entre amis ». Outre les bons plats concoctés aussi bien par nos hôtes que par les commensaux, la littérature était au menu.
A Dunkerque, un outil de création européen pour la marionnette contemporaine a ouvert ses portes.
Jim Harrison, l’écrivain américain qui qualifiait son pays de « Disneyland fasciste » s’est éteint à l’âge de 78 ans, a-t-on appris dimanche 27 mars. Cet amoureux des grands espaces et des bons vins laisse une œuvre considérable : quatorze romans et dix recueils de poésie.
De plus en plus, notre système capitaliste semble atteindre ses propres limites. Une croissance infinie dans un monde fini ne serait qu’un mythe. Face à cette impasse, un économiste sénégalais propose que l’Afrique apparaisse enfin comme une alternative, plutôt que comme une éternelle subalterne.